The Wall

Un article de la désencyclopédie.
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« Je suis vraiment génial »
~ Roger Waters
« Comme pour Dark Side, ça aurait pu être mieux si les autres du groupe s'en étaient pas mêlés. »
~ Roger Waters à propos de la qualité de l'album
« Et c'est moi qu'on traite de fou ! »
~ Syd Barrett à propos de la citation de Roger Waters
« Finalement, le meilleur dans cet album, c'est la pochette. »
~ Storm Thorgerson toujours à propos de la drogue

( Vous remarquerez que les réaction des "artistes" sont pratiquement exactement les mêmes voire un peu plus que pour l'album Dark Side Of The Moon.)

« Moi aussi, je joue dedans ! »
~ Rick Wright à propos de The Wall

La face cachée de la thune.

Après le succès important de leur album The Dark Side Of The Moon, Pink Floyd Roger Waters devint très riche. Il décida alors d'enchainer deux albums merdiques, "Wish You Were Here", (un hymne à Staline, mort un peu avant la conception de l'album) et Animals, (où notre Roger international avoue son penchant pour la zoophilie, et la drogue, comme d'habitude).

Mais un jour, Waters (Evian, Badoit ou même Vittel pour les intimes) en a marre de gagner trop de thunes, alors il prévoit une superbe opération pour faire couler le groupe. The Wall (Le Mur) est né. Le projet de l'album comprend trois axes importants pour Waters : Trouver le titre le moins original possible juste après le White Album des Beatles ( Personne ne fit jamais mieux ), adapter l'album en un navet cinématographique par Alan Parker et enfin, comme d'habitude, insulter Syd Barret( À ne pas confondre avec Sid Vicious, pas encore mort à l'époque ).

Waters, persuadé d'être un Dieu vivant, et la réincarnation de Jésus Christ (et la caravane passe), mais en mieux, commence l'album et le finit tout seul. Le problème, c'est que, même s'il est un peu meilleur que les autres membres du groupe, surtout depuis que Barret à été évincé, son album est jugé merdique par son producteur puisque le mot |Pink Floyd| n'apparait pas sur la pochette (on ne pouvait plus se permettre les pochettes mystères sans nom du groupe dessus suite au suicides en masses de nombreux consommateurs qui achetaient ces fameux vinyles et retombaient toujours sur le même groupe, c'était comme trouver à chaque fois le même jouet dans un kinder surprise. ). Cependant, Waters refuse, comme d'habitude de signer sous le nom du groupe alors qu'il a tout fait tout seul. Il demande alors aux autres membres du groupe de jouer à "Formule 1" sur Playstation en même temps qu'il repasse la bande de l'album, ce qui expliquerait les nombreux délires vocaux sur l'album.

« Vous avez tout à fait raison mon cher Jean Louis »
~ Formule 1 98' à propos la mauvaise conduite de David Gilmour.

(Ce passage sera passé en accéléré et à l'envers puis traduit en Chinois et adapté en Suédois pour enfin donner une sorte de "Weed ont nid deux no édu quassion" phrase qui ne sera jamais retrouvé dans l'album )


Finalement, on peut employer des termes aussi divers que variés pour essayer de définir The Wall : il peut être considéré comme un (Soap)Opéra Folk, un album-concret (jungle), une comédie musicale ou même une |autoradio|. Aucun de ces mots n’est complètement approprié, mais il y a une part de mensonge dans chacun d’eux.

Des briques, Un marqueur

Un peu avant le projet de l'album, Waters avait fait carreler son séjour. Alors que le groupe cherchait une pochette d'album absolument pas originale sans pour autant copier les Beatles (White Album), Waters déclencha sans faire attention son superbe appareil photo alors qu'il était posé au sol. Et boum ! La pochette de The Wall était née ! En fait, Waters avait confié l'installation du carrelage de son séjour à Syd Barret. Ce dernier, analpha-bête, ou bien, sous l'emprise de L.S.D, n'avait pas réussit à installer correctement le carrelage, malgré les indications de Waters, inscrites en gros sur les briques. Du coup, le "Wall" ( rappelons que le groupe est chilien, et parle donc le russe ) s'est retrouvé au plafond. Si Waters avait photographie le mur, l'album se serait appelé "The Plafound". Un vrai nom de merde, merci Barret ( vous comprendrez dorénavant pourquoi il apparait dans les remerciements dans la double page 7 et 8 du feuillet de l'album. )

L'album, musicalement

À l'instar de The Dark Side Of The Moon, l'album comporte plusieurs pistes, même si concrètement on entend pas toujours la coupure. C'est en effet en regardant le chiffre changer sur notre lecteur vinyle que l'on peut constater la supercherie. C'est ingénieux et inutile à la fois. Par contre, c'est très chiant d'avoir à retourner le disque pour écouter la face B en plein milieu du morceau "Goodbye cruel World".

In The Flesh?

Gilmour, bourré, demande à Waters si il veut aller au théâtre pendant que Nick Mason essaye de jouer à Guitar Hero IV avec sa batterie, malheureusement, le jeu n'était pas encore disponible. On entend le producteur chantonner derrière. A la fin, il y a un remake de Tarzan, avec le bruit d'un avion qui se crashe sur le studio ( mais sans rien casser ) et qui dépose un bébé beuglard dans les bras d'une sorte de guenon qui va se mettre à chanter, mais pas tout de suite. Idée originale de Roger Waters. Référence possible à l'enfance de Barett.

The Thin Ice

Le bébé arrête peu à peu de pleurer, surement achevé par l'horrible son de piano. Roger Guenon entame le premier couplet, puis part en délire sur une glace à la framboise sur laquelle il veut skater, tout en racontant comment les autres membres du groupes voulait la lui voler. On entend clairement Roger se faire assassiner puis ressusciter sous les coups d'archets de cornemuse. Idée Eau-riginale de Waters Référence possible aux goûts alimentaires de Barret

Another Brick In The Wall Partie 1

Première partie du plus grand massacre musical de tout les temps. On y entend R-eau-ger Waters se taper tout un délire sur un père qu'il n'a jamais eu, et qui serait mort lors du naufrage du Titanic, non loin des cotes du Black Pearl Harbor. Le Titanic est donc responsable de la construction du mur. Merci à James Cameron, non mais... vraiment... Idée originale de Waters. Référence possible à Jack Sparrow. L'avion re-décolle du studio des dégénérés.

The Happiest Days Of Our Lives

On reprend le même couplet musical que pour ABITWP1 ( Qui signifie Another Brick In The Wall Partie 1, ABITWP2 et ABITWP3 signifiant respectivement Another Brick In The Wall Partie 65 et Another Brick In The Wall Partie 134. ) Waters cherche des excuses à son piètre parcours scolaire en accusant les professeurs de l'avoir maltraité. L'association des parents d'élèves portera plainte contre cette chanson, assurément diffamatoire. Idée Ori-géniale de Rogeure Badoit. Référence possible à Syd Barret (de shit)

Another Brick In The Wall Partie 2

Massacre musical, deuxième acte. Ici, après avoir séquestré de nombreux enfants chinois récupérés dans diverses usines (Nike, Mattel, Asic...). Waters les faits chanter en cœur après leur avoir montré comment faire. Il expose également ici son idéal anarchique soviét-biélo-hongrois de dominer le monde en supprimant l'école du système mondial.

« Comment des gens comme lui peuvent être laissés en liberté tandis que d'innocent pédophiles remplissent nos prisons ?  »
~ Michael Jackson à propos de l'idéal de Waters.

A la fin du morceau, le producteur appelle Nick Mason qui allait se vautrer à force de ne rien faire. On annonce parallèlement aux enfants qu'ils sont désormais libres, mais sous condition. En effet, malheureusement (pour eux), ils seront ensuite transformés en steaks hachés pour le film adapté de l'album. Idée H²0riginale de Roger H²0. Référence possible à Syd Barret.

Mother

Victime de pédophilie lors de sa jeunesse, Waters écrit une chanson sur sa mère ultra protectrice, qui visiblement testait toutes les copines de R0g€r. Cette chanson sera responsable d'une daube musicale qui sera écrite par John Lennon un peu plus tard. Idée Vaginale de Roh!J'ai water (mes croops)!. Référence possible à Syd Barret.

Goodbye Blue Sky

Une piètre chanson sur la météo de l'époque qui annonçait que des bombes allaient tomber du ciel, un peu après l'auto-destruction de Tchernobyl. Idée Originale de Roger Waters-closet. Référence possible à Homer Simpson.

Empty Spaces

Cette chanson parle pour ne rien dire. Faut dire, que, depuis ABITWPt2, le disque commence sérieusement à s'affaiblir. Anecdote : Gilmour jonglait avec des kiwis au début du morceau, mais ça, tout le monde s'en tape. Idée Originale de Roger (Smoke on the )Water. Référence possible à James Bond.

Young Lust

En parlant de "Lust", c'est plutôt Waters qui voulait se faire lustrer le manche. Il rechercha donc une petite salope un peu partout en ville, un bonasse qui couche sans poser trop de questions, une genre avec de gros nibard. Pour les adolescents en manque, le clip tiré du film montre une tripotée de |Pif-paf-pouf| les nibards à l'air, donc allez-y mollo avec le papier toilette. Idée Originale de Roger Waters. Référence possible à Syd Vicious Barret.

One Of My Turns

Agacé par la durée d'enregistrement de l'album, Waters pète un cable lorsque Gilmour se rend pour la deuxième fois aux toilettes. Après une reprise ratée des Beatles en première partie (The Fool on The Hill), Waters commence à balancer tout les objets du studio sur les membres du groupe et massacre tout le monde. Heureusement, |Sangoku| rassemble les 8 |Dragon Ball| et ressuscite le producteur. Gilmour et les autres sont re-clonés puis ré-intégrés au groupe. Crise originale de Roger Waters. Référence possible à Syd Barret.

Don't Leave Me Now

Après le massacre intégral du studio, Roger, au plus bas, supplie les membres du groupe de rester avec lui pour continuer l'album. C'est Roger qui décide de quand il part (et reviens), donc, les autres sont forcés d'accepter.

Another Brick In The Wall Part.3

Massacre musical, 3ème acte. Non content d'avoir déjà massacré le studio, Waters s'amuse à allumer toutes les télévisions du studio (environ 7) et les exploser. Pas grave, il en redemandera au |Père Noël|. Idée originale de Roger Waters. Référence probable à Syd Barret

Goodbye Cruel World

Ça y est, le mur, et le premier album, est fini, Waters va se coucher, et Gilmour, bourré, fini le magnifique solo de clavecin orthodoxe par un chant complétement incompréhensible. Vous ne rêvez pas; The Wall est fini. Non, ce serait trop beau, Waters n'a pas encore dilapidé toute la thune du studio. Il va donc falloir en remettre une couche monétaire. Le producteur accepte, après tout, ce n'était qu'une brique de plus dans le... le quoi déjà ?


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