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Léto Atréides, dit Frère Tuc fut l'Abbé du Monastère des 3 cloches, à Faumont les 3 Cahutes, et un des chefs de la Chalouperie.

Biographie

Frère Tuc est né en 1217 à Diedenhofen, en Lotharingie dans le Saint Empire Romain Germanique. A l'âge de 17 ans, il entra au séminaire, s'exila en France en 1240 et fut muté en 1247 à Faumont les 3 cahutes, soit trois ans avant la Chalouperie. Il est mort le jour de noël en l'an de grâce 1266, à l'âge avancé pour l'époque de 49 ans, d'une maladie inconnue à l'époque.

Son enfance

Troisième enfant d'une fratrie de 5 garçons, né de Hans Atréides et de Gretel Atréides née Achjawohl, il obtint le goût de la liberté et de la religion de sa mère, et le goût de la bière et de la fête de son père. Son père était un petit fonctionnaire d'origine Autrichienne, venu dans l'Empire car « là-bas, les bières sont meilleures », et sa mère venait de Ènèsdéhapé, près de Munich. Les Achjawohl était les tenanciers du Bunderbraukeller, une petite taverne Munichoise. C'est dans le Bunderbraukeller que Hans connu Gretel. Après s'être mariés (la fête fut retranscrite comme l'une des meilleures beuveries que l'Empire ai jamais connu par Flavius Josèphe dans son Apero Mundi), il s'installèrent à Berlin, avant d'être exilé pour une sombre affaire de vomi sur une impératrice) dans le coin le plus pourri de l'Empire : l'ouest profond (ce n'est pas pour rien que l'Allemagne et la France se battirent si longtemps et si souvent pour savoir qui s'en debarasserait), l'Elsass-Lothringen, ou Lotharingie. Son enfance ne fut ni particulièrement aisée ni particulièrement misérable. Il suivit des cours dans le monastère de Diedenhofen qui ne fut crée qu'un siècle plus tard. Il passait son temps à lire et à boire avec des potes. Mais comme tous les adolescents sans souffrance ni problème particulier, il décida de s'en créer et se rebella contre ses parents parce qu'il n'était pas assez aimé (normal à cette époque) et pour obscure affaire de Yogurt. Il décida dans un premier temps de rejoindre les Jeunesses Lorraines (Lothringen Jugend), un groupuscule indépendantiste d'extrême ridicule afin de faire enrager sa mère, monarchiste convaincue et son père, qui n'aimais pas la politique (en effet, il disait entre deux bières « tous des salauds! ») et qui n'en avait rien à foutre, puisqu'il était Autrichien, au départ.

Son entrée dans les ordres

C'est à ce moment de sa vie qu'il eut une révélation. Croyant convaincu, il apprit que certains ordres religieux cultivaient le houblon. Certain d'avoir trouvé sa vocation, il parti à Metz, le séminaire le plus proche. Il y passe 5 ans. Il s'y fit de nombreux amis comme Siegheil Schalgevuk, son mentor, et André Grobestiopoilu, un Français connu pour sa taille superieure à deux mètres et son haleine. C'est lui qui lui apprit le Français, ce qui sera pratique en France. Il en sorti ordonné prêtre. Il fut prêtre dans le petit village de Veckringen sous le nom de Père Atréides pendant un an. Mais sa vraie vocation restait le régulier. Il demanda donc à devenir Moine : mais l'Evêque de Metz, Mgr Zélote Liebethunes qui ne le supportait pas, lui refusa. Contrarié, il décida de passer la Frontière sur le conseil de Grobestiopoilu et de passer en France, où ils manquaient de vocation.

Son exil en France

Nous sommes en 1240. L'Evêque de Metz l'aida dans ses démarches. Il se serait écrié « Qu'il débarasse le plancher! » lorsqu'il aurait apprit les projets de départ de Léto. Mgr Liebethunes aurait conseillé Léto à l'Archevêque de Lyon, Mgr Tapasenbal qui le nomma direct moine urbain à Lyon. Mais ce n'était pas ce que Frère Tuc, puisque ce fut le nom qu'on lui donna lors de son entré chez les frères, voulait. Au bout d'un an, en 1241, Frère Tuc fut envoyé en ambassadeur chez les Templiers du Larzac, où il resta desespéré parmi ses stricts observateur de la loi (aucune goutte d'alcool n'est tolérée) où il resta 4 ans. Il y apprit à hair les ordres guerriers pour leur violence et leur stupidité (« Des gens qui en l'honneur du Christ, ne boivent pas, on t-il le droit de tuer l'hère qui refuse de donner sa maigre sacoche? »). En 1245, ayant entendu parler du Monastère des 3 cloches, il demanda sa mutation à Mgr Tapasenbal. Il accepta à condition qu'il accepte de faire un service de deux ans en tant qu'aumônier des armées. Avec son accent allemand, ses années furent terribles pour Frère Tuc. Mais il y survécu, grâce à une correspondance soutenue avec Père Grobestiopoilu et Maître Schalgevuk et à une volontée incroyable. Après près de 13 années de décéptions, Frère Tuc obtint enfin la place de Frère dans un monastère houblonnier. Ce fut en 1247. Ce fut le Monastère des 3 cloches, déjà remarqué par Frère Tuc et ce fut Faumont les trois Cahutes. Il passa les « trois meilleures année de [sa] vie » (Les trois dernières citations viennent de Moi personnellement Je) dans ce monastère, à prier, à cultiver le houblon et à boire. C'est alors que survint la chalouperie

La Chalouperie

Il faut savoir que si, au niveau religieux, Faumont les 3 Cahutes était Français, au niveau politique, Faumont était une monarchie indépendante. Mais le roi de France s'enfoutait royalement, puisque les seules richesses du coin étaient un gibet particulièrement joli et un monastère houblonnier. [description rapide de la Chalouperie]

Pensées

Il est difficile de rattacher Frère Tuc à un courant de pensée. Sa jeunesse fut marquée par son entrée dans un groupe indépendantiste, les Lothringen Jugend.Ce groupe était séparé entre les monarchistes et les républicains. Il semble que l'éducation de sa mère portait ses fruits, car il était dans le groupe monarchiste. Il resta de tendance monarchiste jusqu'en 1241, époque ou il devint aumônier chez les Templiers. Là il vit à quel point les Templiers, chargés d'aider les pauvres et d'assurer la Justice, faisaient fi de la morale. « Lorsque un pauvre hère se fait bastonner par un filou, le templare aide le filou » (Lorsqu'un pauvre paysan se fait attaquer par un brigand, le templier aide le brigand). Il commenca alors à former ses idées, comme quoi seul un peuple uni et libéré de l'autorité pouvait prosperer dans le bonheur. C'est ce qui le poussa a participer à la Chalouperie, neuf ans plus tard.

Oeuvres

Vers la fin de sa vie, Frère Tuc fut particulièrement volubile. Son époque autoritaire etait déjà passée, tous ces livres ont donc une conotations démocratiste.

  • Critique de Apero Mundi, 1263, critique littéraire
  • Moi personnellement Je, 1264, autobiographie jusqu'en 1250
  • Burp ou la vie monacale, 1264, description des ordres houblonniers
  • La Chalouperie vue par un chaloupier, 1265, description de la Chalouperie
  • Le Manifeste du Parti Communiste, 1265, injustement attribué à Karl Marx
  • Jordan le Fou et autres conneries, 1266, recueil de nouvelles
  • Ainsi sois-je, 1266, roman
  • Les Brigades, 1266, nouvelles

Il mourra le 25 décembre 1266, laissant sa Philosophie du Chaos son plus grand ouvrage, commencée en 1258, inachevée.

Citations

« Il y a plus de vieux alcooliques que de vieux médecins! »
~ Frère Tuc à propos de son amour de la bière
« Sic transit pruneau amat (Traduction incertaine) »
~ Frère Tuc à propos de la Schnel Katrine
« Sic transit apero mundi (Ainsi il a traversé les bars du monde; son épitaphe) »
~ Frère Tuc à propos de lui même
« Que demande le peuple? D'la poule et du vin! »
~ Frère Tuc à propos du Bonheur, à son époque monarchiste
« Je ne poserais qu'une question aux savants philosophes : mais où passent ses putains de secondes? »
~ Frère Tuc à propos de l'inanité des philosophes
« Frère Tuc »
~ des mathématiques
« Le vent c'est cool. S'il n'y avait plus de vent, les oiseaux tomberaient, et on inventera pas les avions. »
~ Frère Tuc à propos du vent qui avait cassé un arbre du monastère
« La démocratie c'est bien, surtout quand le peuple c'est moi! »
~ Frère Tuc à propos de la démocratie, à son époque monarchiste
« Mourir pour des idées, l'idée est exelente! Moi, j'ai faillit mourir de ne l'avoir pas eue. »
~ Frère Tuc à propos de la démocratie, à son époque démocratiste
« Seuls les cons changent pas d'avis. »
~ Frère Tuc à propos de son passage de monarchiste à démocratiste, dit à Mgr Liebethune qui l'interogeait
« Le Bonheur est une idée neuve en Larzac »
~ Frère Tuc à propos du Bonheur, à son époque démocratiste