Utilisateur:Frère Tuc/roman
Chapitre I : V pour Vécé
"Arrête de lécher ce crapaud : c'est le mien !" cria Voltaire à Victor Hugo le 15/15/1515. "Non, c'est Charles de Gaulle qui me l'a prêté pendant qu'il était en cale sèche !", répondit-il en tirant la langue " En plus il n'y a que 12 mois dans l'année ! (Car le 13ème mois n'a pas encore été inventé)" Pendant que nos compagnons se disputaient,, le Zèbre de Thiéfaine, passant par là, bourré comme il se doit, avec 0,2g ... de sang dans l’alcool, montra aux deux lécheurs de crapaud une petite épée, fichée dans une motte de beurre, avec l'inscription Carlos V sur le plat de la lame. "Cette épée est Excalibeurre, l'épée magique ! Quiconque la tirera de sa motte de beurre dirigera les Commandos Pernod ! Cabrel a déjà essayé, mais il a échoué. Il s'est pendu avec une corde de guitare - Pauvre guitare! s'exclama Hugo"
Alors, il jeta le crapaud à la figure de Voltaire, arracha l'épée des mains du Zèbre. Alors, Voltaire cria, en se renversant dessus de l'eau (de l’eau bénite par le pape Innocent VI, qui n'avait d'Innocent que le nom car coupable d’inceste pédophile nécrophile envers ses deux sœurs qui pourissaient reposaient dans leur tombe, en compagnie de Dracula, traqué par Van Helchiasse) sortie tout droit d'un barbecue : "Noooon ! Hugo, les Commandos Pernod sont Môôôôdits! - Comment ça ? Le Zèbre est gentil, il ne me donnerait pas une épée maudite! - Mais le zèbre n'a qu'un oeil ! Et en plus il ferait n'importe quoi pour une bouteille de rhum ! - "Il a pas tort, fit le zèbre." Mais tout le monde l'ignora. "De toute façon, il s'est étouffé avec un gâteau chocolat-banane." Ce fut le coup de grâce, et Hugo, dégoûté, partit en oubliant même le crapaud, qui avait pourtant l’air d’aimer ça. Le zèbre avait bien vu, car sa vue était excellente. Avec un seul œil et une seule oreille, c’est pas facile de mettre des lunettes : il avait donc tout intérêt à bien voir ! Alors Voltaire partit d'un grand rire démoniaque, et arrachant son masque, se transforma en Mitterrand. "Je serai le futur Commandant des Commandos Pernod ! Et en plus j'aurai le crapaud pour moi tout seul !" Et il essaya de tirer l'épée de la motte de beurre. Mais jamais il n'y parvint. C’est à ce moment là qu’il fut défait par le peuple, mené par Hugo, qui rétablit la peine de mort. Tonton, la tête tranchée, parvint à prononcer ces mots pleins d'étoiles, et qui allaient engendrer une nouvelle guerre : "Victor ! Je suis ton père !". Hugo fit sembla de ne rien entendre et shoota dans la tête de son défunt père, cria "Goaaaaal", en fit un film, prêta la tête pour le tournage de la vie de Louis XIV, puis, se reprenant, prononça cette phrase historique : "Les peuples ne devraient pas craindre leur gouvernement, c’est le gouvernement qui devrait craindre le peuple ". Là-dessus, Hugo décida de se débarrasser du crapaud. Le peuple décida de se débarrasser d’Hugo, il eut droit à la peine capitale pour parricide, où il avait envoyé tant d’innocents dans ses romans, et contre laquelle il se battit pourtant toute sa vie. Laquelle a été considérablement raccourcie en même temps que lui. Ces longues années de combat lui ont fait perdre la tête, et n’auront servi à rien. Sa tête par contre fut servie au zèbre ressuscité par le loup-garou, planqué au restaurant chinois avec un car de japonais, qui s’étaient encore trompés de chemin en cherchant le 58 de la Boucle, et se sont retrouvés devant le 57, et même pas dans la même ville ! Le peuple fou de rage, ressuscita Hitler en criant "Heil Staline" (à moins que ce ne soit Heil Lénine, père d’un proche ami allemand) et porta Proudhon au pouvoir en récitant l'Ave Maria. Mais ceci est une autre histoire. Nous vous la conterons quand nous l’aurons retrouvée, il faut demander aux frères Grimm qui ont perdu leur livre de compte dans la forêt môôôôdite.
Le Zèbre se retourna vers la caméra, et dit d'un air inspiré: "Moralité : lécher un crapaud pour trouver la sortie du bois môôôôdit, c'est comme regarder V pour Vendetta en Divix sur un DVD : c'est stupide."
- PS : Remember, remember the 5th of November !
- PS 2 : 'tain le zèbre et sa manie des moralités...
- PS 3 : Mais qu'est devenue la souris? Ça, l'histoire ne le dit pas.
- PS 4 : Faut pas exagérer dans l'exagération ! Après ça veut plus rien dire !
Chapitre II : Le grand Van Helchiasse, le beau Van Helchiasse!
/!\ Attention! Cette histoire contient un nombre incroyable d'allusions scatophiles et racistes contre les montagnards qui ne sont pas forcéments scatophiles! /!\
C'était le soir du 9 novembre 2007. Et toute la France est occupé par les légions de Grattcula.Toute ? Non ! Car un petit squat résiste encore et toujours à l'envahisseur. Et la vie n'est pas facile pour les cars de CRS de Prentonviagra, Boujtoidla, Boahntamela, Saïrakomesa… Les jeunes de ce squat ont en effet en leur possession une herbe magique qu’ils réduisent en poudre pour en faire une substance illicite qui leur donne des trips surhumains ! Cette potion est fabriquée par Padkokaïne, le cultivateur de pavot, qui seul connaît l’endroit où poussent ces herbes. Nous aussi à présent, et nous pouvons vous le révéler : dans les toilettes, tout au bout des canalisations, au plus profond de la fosse septique. Evidemment, elles poussent ! Vous vous attendiez à ce qu’il se passe quoi d’autre ? Essayez donc ! Bref, cette poudre a été l’objet de nombreuses tentatives de viol [1] de la part des CRS, qui ont même tenté d’infiltrer le squat et de conspirer contre le meneur. La révolte eut lieu le 5 novembre, contre toute logique, car le meneur était absent, et fut un échec retentissant à cause de l’écho des ruines (c’est pas écologique). Cette date est restée gravée dans les mémoires comme le jour de la Conspiration de Poudres Hallucinogènes. Il s'en passee des choses ce 5 novembre !
Pendant ce temps, à des centaines de scheiße [2] d’ici, donc relativement près (je pars du principe que vous appartenez à l'espèce humaine), se passe une autre histoire qui n’a absolument rien à voir avec celle-ci.
Un jour, Marie Madeleine, vit passer sur son grand cheval brun un homme nommé John qui faisait honneur à la dynastie des Pice. Il était tout de jaune vêtu, à l’exception d’une cape brun merde (brun pour la couleur, merde pour l’odeur) alors qu'elle était à la montagne, chez sa cousine célibataire Heineken, une bière blonde s’enfilant des belges à longueur de journée, et/ou l’inverse, après dix whiskys je sais plus très bien... Se demandant qui était cet homme masqué, elle courut dans la petite maison de Heineken dans la prairie. La jeune femme, conne comme seule savent être les gens des montagnes, mit du temps à comprendre de quoi lui parlait Marie Madeleine, qui était miraculeusement apparue près d’elle. Enfin, après de multiples questions et de répétitives réponses, l'étiolée montagnarde consentit à chanter le lai de Van Helchiasse. "C'est l'histoire du beau, du grand Van Helchiasse, qui lutta toute sa vie contre l'UC (Union Constipataire), son PDG Grattcula, et toujours accompagné par sa fidèle amie, la bonne Catherine Schnell ! [3] Il est né en 4230 CA [4]
- ↑ Désolé, j’ai mis un « i » en trop. Si vous n'avez pas remarqué, arrêtez tout de suite de lire ceci, espèce de pervers !
- ↑ Scheiße : unité de mesure en Scatophilie, un petit pays de merde. Cette longueur est variable, entre 15 et 20cm. Si plus long, consultez un médecin proctologue.
- ↑ Vous remarquerez que le lai n'a ni vers ni rime, mais c'est un lai montagnard...
- ↑ Calendrier Alcoolique, l’an 0 est l’an -8000 du calendrier grégorien, l’année ou la Bière a été découverte, suite a une mauvaise conservation du blé et d’une sécheresse incroyable. L’assoiffé qui goûta au liquide sorti du blé trouva ça meilleur que l’eau. Et il avait raison. Pour notre plus grand bonheur à tous !