Utilisateur:Kruger44

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'SOCIALISME''''


Origine, vie et mort

Doctrine née au XIXe siècle avec deux dents : une pour mordre au cul des gros capitalistes, l'autre pour se mordre soi-même. Sa mère Machinisme et son père Progrès ne cessèrent de se foutre sur la gueule le siècle suivant d'où une constante schizophrénie chez leur rejeton qui n'a jamais bien compris ses co-géniteurs. Socialisme est deux demi-frères, l'un né de Desperada et prénommé Anarchisme, l'autre né de Paupera, répondant au doux nom de Communisme. Devenu adulte, c'est-à-dire bon à rien et prêt à tout pour le rester, Socialisme alla lécher les burnes d'Hitlérisme et Fachisme à partir de 1936, mais hélas, se pris une tôle de Panzer en 1940.

Revenu sur le devant de la scène en 1944, il promit des jours heureux, fit un programme commun, se décommunisa, se désocialisa et mourut à Bad Goldensberg. Une foi encore, les boches avaient gagnés. De nouveau, il se mit partout à lécher les bourses, tandis que Communisme se suicidait en avalant du fil de fer barbelé. Anarchisme quant à lui, mourut maintes fois, en 1939, en 1947, en 1968, en 1981 et chaque fois avoua que non, en fait c'était pas vrai, c'était une plaisanterie.

Les copains et descendants de Socialisme

Jean Jaurès : Devenu vivant après sa mort, pour mieux l'enterrer.

Jules Moch : "Tout étranger pris à faire la grève sera expulsé" (1947), un glorieux patriote à petite moustache.

François Mitterrand : "L'Algérie c'est la France" (1955) et de donner des pouvoirs de police aux militaires afin que les centrales électriques à Maghrébins éclairassent les cahutes des tortionnaires.

Jacques Ségéla : "Si à 50 ans t'as pas une rollex au poignet, tu as raté ta vie", ses campagnes de pub politiques ne réussissent que s'ils fait la com' des dictateurs réelus à 99 %. (voir Eyadema)

Colonel Khadafi : membre de l'Internationale socialiste, périt dans un tuyau à merde, transformé en méchoui.

Ben Ali : membre de l'Internationale socialiste, périt en vie dans le royaume où l'on s'emmerde, l'Arabie Séoudite.

Saddam Hussein : membre de l'Internationale socialiste, périt pendu comme un saucisson après avoir mariné (le pen) dans un trou à rats.

Gerhard Schroder : inventeur du SMIC à 600 euros grâce aux accord Hartz II, grâce auquel les boches nous ont encore battus : ils sont plus pauvres que nous et nous emmerde.

Tony Blair : grâce à lui les mômes purent travailler pour payer l'école et ses conférences à 100 000 livres l'heure.

Dominique Strauss Kahn : chef du AFFAMIE, la presse étasunienne a résumé ce gourmand : THE PERV.

Pascal Lamy : l'ami du pognon, des banques pleines de sous, en faillite, pillées ou brûlées : ils les aima toutes !

Flanby : néant toisé par Barack Obama : "Ah bon ? il existe encore des 'socialistes' en France ?".

Ségolène Royal : divorcée du néant, s'éleva avec grâce à l'insignifiance.

Martine Aubry : commode ou pas commode, non, buffet froid.

Pierre Mauroy : il était si intelligent qu'il devint ex premier ministre socialiste pendant presque tout le temps que dura sa vie.

Pierre Beregovoy : range-balles, un bon meuble pour les choses précieuse, c'est toujours utile.

Jacques Delors : fossoyeur du socialisme en 1983, pour cela donna naissance à une pelle à tarte puis s'enfuit en Europeland plutôt que d'affronter, en 2001, un navet borgne teint en blonde aryenne.

Michel Rocard, parti trop tôt, arrivé trop tard, il ne put accomplir son ouvrage de fossoyeur et tomba dans le trou.

Jacques Attali, transhumain président de la grosse BERD, pondeur d'ouvrages écrit à quatre mains et deux cerveaux recommandant le suicide et donnant le mode d'emploi.

Harlem Désir : niaiseux qui voulait repeindre les cages d'ascenseurs des banlieues pour repousser le chômage, la violence, la drogue, le racisme, la mort, la vieillesse et la dérive des continents.

Roland Dumas : vendit son âme pour des chaussures en eau de zobi pakistanaise, valida les mécomptes de campagne de don Chirac et don Balladur, il laissa sa chevelure se BHLiser pour paraître en Afrique.

Jean-Marc Ayrault : working class hero, chef de l'immobilisme révolutionnaire, de la force débile et de la mèche blonde rebelle.

Christiane Taubira : Tu m'en Taubira tant, de ces infâmes pucelles nazies brandissant des bananes à ton passage, car les simiennes ne sauraient être tiennes, le Front des Nasiques à encore frappé !

Charles Hernu : Profil de coup d'état, ambition d'un général Boulanger, fini dans le pétrin du ridicule.

Gaston Defferre : Bouille à baisse marseillaise, on fit tout un pastis de ses fausses fractures alors que ses administrés l'avaient dans l'os.

Edith Cresson : Bouffa les pissenlits par la racine quand les machos FNSEA embellirent son bureau en le saccageant et cause de la dernière érection présidentielle.

Mazarine Mitterrand : fille de.

Laurent Joffrin : qui c'est ?

Guy Bedos : Il n'y a rien de plus drôle qu'un cocu du socialisme qui se débat sur scène.

Barbara : Ne trouva jamais l'Homme à la rose rue de la Grange aux Loups, quand elle arriva à son chevet, il était déjà mort.


Analyse sémantique

Décomposons ce mot pour comprendre son sens primaire :

SO(T) CHIA LIT SSSS MEUH

Traduction : Imbécile lisant dans les chiottes, avertissant que non, il n'est pas une vache. Dans Analyse il y a 'anal', il est fatal donc que nous aboutissions à cette conclusion grotesque.


Emblèmes et autres sex-toys

La rose sans épines : se fane en quelques mois, on a retiré les épines à cause du second symbole.

Le poing fermé : comme la rose ça pique, on a retiré les épines pour qu'il puisse la tenir dans sa mimine.

Le dentifrice Ultra-brite : une belle gonzesse post-hippie tint entre ses dents une rose avant de s'élancer faire du surf. Ainsi Socialisme contribua à libérer la femme en en faisant certes une pute, mais une pute libre.

Le chapeau mou : truc pour se couvrir quand il pleut au début, puis pour cacher sa calvitie de grosse tête de l'ENA (voir Laurent Fabius).

L'écharpe : truc pour ne pas prendre de rhume au début puis pour se déguiser en journaliste (voir Christian Barbier).

Le drapeau rouge : pour arrêter le train de l'Intelligence au carrefour des décisions à prendre

Le drapeau bleu-blanc-rouge : dernier avatar, pour lécher la moule de la fuehrer du moment.

Le panneau publicitaire : pour financer les campagnes électorales en loucédé, avec ou sans fille nue, rose entre les dents.

L'abri de bus changé tout les six ans : même cause, même effet, pour financer les municipales.

L'aéroport : pour péter plus haut que son cul avec la jet set et surtout, éviter les jets d'écrous, tomates, oeufs, farine, lait, lisier, feuilles d'impôts, arrêts de la magistrature etc.

La Fête de la Musique : pour assourdir les cris des mécontents avec du son, du son, du son, mais le reste de l'année, silence et fermeture des 'rues de la soif'.

La techno parade : pour effacer les homos banalement prolos ou classes moyennes qui n'ont que l'indignité de se contenter de vivre ou survivre.

Paris Plage : pour faire oublier que sous le sable, y'a maintenant des pavés, et que mai 68 c'est fini et qu'enfin, la Seine est toujours un véritable cloaque.

Les autoroutes : pour aller plus vite se faire chier d'un point à un autre tout en payant des bandits de grands chemins qui nous ont même pas été présentés.

L'épouse journaliste : bonne femme bonne à bon papier pour bonne réélection. Les politiciennes n'épousent pas, elles, des journalistes et quand on voit Nicolas Demeurant, on comprend.

L'indignation : coupable pris la main dans le sac scandalisé qu'on se contente des faits sur sa personne et non du culte de la personnalité.

Fausses-cartes d'adhérents du PS : pour faire triompher le minable face au neuneu, recette éprouvée contre les rocardiens.