Utilisateur:Monsieur Brouillon/Chimie orgasmique

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« Moi une fois, j'ai trouvé le point Z. »
« Moi aussi. »
« Moi j'ai fini les alphabets cyrillique et grec. »
~ Loana

Qu'est-ce que la Chimie Orgasmique ?

La chimie orgasmique, étudiée pour la première fois en 69, puis en 96, a permit de mettre à jour la formule du point G.
De long calculs ont debouchés sur la formule suivante qui permet, dans 99% des cas pour moi et 0,1% pour toi, de découvrir le point G:



La manipulation la plus simple nécessite un homme bien pourvu, une femme et un lit, ou pas.

Dans certains milieux autorisés, on murmure cependant que des recherches sont en cours sur la formule :



mais les chercheurs n'ont pas encore réussi à aller jusqu'au fond des choses, la pénurie de vaseline due aux émeutes en Grèce ayant stoppé pour l'instant les recherches.

Les grandes dates de la chimie orgasmique

Initialement étudiée par les femmes (nues), cette science a obtenu ses lettres de noblesse grâce à un chercheur Italien, le Dr Siffredi, qui découvrit le premier le point G au fond d'un trou noir, à l'occasion de la 69e Partouze Galactique.
De nombreux savants ont eux aussi apporté leur pierre à l'érection de la Chimie Orgasmique, citons par exemple :

  • Friedrich Kelenkulé, inventeur du célèbre serpent qui arrive à se sucer la queue et de la formule exacte du baizène ;

Quelques notions de Chimie Orgasmique

Les notions les plus importantes en chimie orgasmique sont celles de métamère et nictamère, encore que certains chimistes révisionnistes préfèrent niquer ta sœur.
On définit une nictamère comme une molécule qui est aussi bonne que sa mère dans un miroir mais qui ne lui est pas superposable, ce qui permet d'envisager des suites de réactions au potentiel souvent très intéressant. ( Il est à noter qu'une molécule qui est aussi moche que son image dans un miroir à peu de chance d'être impliquée dans une réaction de Chimie Orgasmique. C'est pour ces espèces que la main droite à été inventée.)
Pour initier une réaction de Chimie Orgasmique, il faut la rencontre de deux espèces présentant, l'une un fort caractère nichonophile ou baisophile ( espèces très communes ), et l'autre une lacune ouverte prête à tout recevoir ( plus difficiles à trouver, mais de nombreux composés permettent d'exalter ce caractère comme l'éthanol, la cocaïne, le GHB,...).
Le processus conduit généralement au vidage des orbitales de l'espèce nichonophile par mouvement alternatif de ses doublets.

Exemple de mécanisme

Une réaction de chimie orgasmique admet un mécanisme par stades :

  • 1ère phase : allumage
  • 2ème phase : excitation
  • 3ème phase : introduction
  • 4ème phase : conclusion