Utilisateur:Monsieur Brouillon/Francis Bacon( le vrai, pas le peintre!)

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L'histoire ne retiendra de Francis Bacon que cet éminent philosophe, pionnier de la pensée scientifique moderne et homme d’État anglais, né en 1561 et décédé lors d'un tragique accident de bilboquet en 1626. Cependant, ces messieurs Karl Veinshert et Angstreïm Peurngourf de l'Universisté de Kronenbourg mettent à jour lors de leurs investigations sur la raison de la disparition du dodo (Raphus Cucullatus) à l'île Maurice un élément propre à remettre en cause l'ensemble de la biographie officielle dressée en 1894 par Ann Jerkenberf : une source anonyme (ci-dessous dénommée monsieur S.) rencontrée dans le bar du Troisième souffle à Sébastopol aurait déclaré : « Bjeufgreuuuh... Franceuis baicaun s'est ke débobar » [1]. Forts de cette instruction, ils entreprirent de mener une recherche plus approfondie de l'histoire de notre éminent philosophe.

Francis Bacon, un chouette type

Né en 1561 à Londres dans le strand de son père Nicholas Bacon, Francis Bacon apprit très vite les règles fondamentales de la vie de la haute société lors de sa scolarité. En effet, l'expérience traumatisante de l'échange à tort d'un Dracofeu contre un Smogogo dans la cour des collégiens alors qu'il avait 8 ans fut pour lui un profond traumatisme, mais ne fit que renforcer sa compréhension du phénomène social et des jeux de duperie dans le cadre de son étude de l'emprise dominatrice des stéroïdes. Il publia en effet la même année « Pour toi, Papa », texte qui -habilement déguisé sous forme de poème pour la fête des pères- traite de ces phénomènes psychotiques dans une analyse novatrice qui inspirera Nietzsche par le futur dans sa théorie de la volonté de puissance. Bacon était alors décrit comme « un chouette type » (source : Mme Lysette, sa concierge du 4ème) habile en société et généreux de politesses.

Francis Bacon, entre ombre et réalité

Les clairs obscurs biographiques masqués par l'obscurantisme religieux dominant de la Renaissance ne dévoilent de Francis Bacon que la partie émergée du glaçon dans un verre de whisky. Francis Bacon souffrait en réalité du Nanismoguerituculum, une maladie extrêmement rare qui ne peut être attrapée qu'en jouant de l'harmonica en salopette lors du solstice d'hiver, retardant considérablement la croissance physique du malade. Ainsi, si officiellement la date de naissance de Francis Bacon fut déclarée du 22 Janvier 1561, Francis Bacon avait à cette époque l'age de 34 ans. De fait, une prodigieuse « précocité » fut remarquée alors qu'il avait officiellement 12 ans à l'Université de Cambridge. Francis Bacon avait alors élaboré la recette de la « coke à Cola » à partir de feuilles de Coca que lui avait rapporté en guise de souvenir son ami Christophe Colomb lors de sa découverte des Indes en 1492. Cette recette sera d'ailleurs retrouvée en 1885 par John Perberton au fond d'un pot de moutarde, et ce dernier s'empressera de la commercialiser en se gardant bien d'en énnoncer le véritable créateur.

Francis Bacon, sa vie, ses putes

Francis Bacon est gestionnaire de 24 mines d'or au Pérou en 1602 pour le service de Sa Majesté. Cependant, les mines seraient fausses et on n'en extrairait qu'une sorte de gros caillou translucide inflammable sans valeur. A la même époque, sa fortune personnelle s’accroît considérablement, et ses adversaires politiques prennent des décisions souvent promptes quant à leurs retraites anticipées. Il devient ainsi Solliciteur général en 1607, attorney général en 1615, membre du conseil privé en 1616, Garde des Sceaux en 1617 et grand chancelier en 1618. Il jugeait en effet qu'à éliminer plus d'un adversaire par an, son ascension semblerait suspecte à la presse locale. L'élaboration d'une langue universelle et la création d'un code de chiffrage des messages diplomatiques ne lui serviront ensuite qu'à crypter en filigranes ses techniques « politiques » déchiffrées quelques décennies plus tard par Don Vito. Parce qu'il n'aime pas qu'on se moque de lui, Francis Bacon use de ses pouvoirs pour rendre obligatoire le port de la moustache, qu'il a fort bien d'ailleurs. Il désire par ailleurs conserver l'exclusivité du port de la fraise en Grande-Bretagne, et en l'interdit donc lors des soirées mondaines à qui n'aurait pas pour initiales F.C. C'est ainsi que le 30 mars 1618 il adresse à Fried Chicken (futur dépositaire d'une grande chaîne de fast-food) : « On se retrouve demain soir pour la Boum de Lizzi, et ramène pas ta fraise ! ».

Francis Bacon, un scientifique sans blouse blanche

L'invention prépondérante de Francis Bacon est sans conteste celle du bilboquet en 1624, qui révolutionna le monde des salons (en fait, le plupart des gens s'en servait comme objet sexuel et ignoraient tout du génie de cette invention). Invention qui par ailleurs cause sa perte lorsqu'il tenta en 1626 d'en confectionner un nouveau modèle de style moyen-ageux sous forme de morgenstern. Il soufflait également ses inventions à Léonard de Vinci, ce cancre qui ne rendait jamais ses travaux à temps aux Borgia, qu'Ezio Auditore aura tout le temps d'éliminer par la suite. A travers son précepte « on ne commande la nature qu'en lui obéissant », ce bon vieux Francis met en évidence que le pouvoir sur les choses ne vient que de la connaissance du sujet. Ainsi, pour asseoir sa domination sur l'espèce humaine, il entreprend d'éventrer quelques jeunes femmes près de White Chapel pour mieux entendre à l'organisation du tractus digestif des Homo Sapiens Sapiens.