Utilisateur:Monsieur Brouillon/Le Grand Amour
[[Image:]]Le Grand Amour, aussi appelé "L'Amour avec un grand A" est une vieille légende ancestrale selon laquelle un homme et une femme seraient dans la possibilité physique et émotionnelle de se supporter durant toute une vie. Fichier:Http://media.koreus.com/200802/homme-femme-amour.jpg
Les premières traces de ce mythe sont méconnues. Toutefois on sait aujourd'hui que l'un de ses plus grand pionnier est un anglais du nom de Shakespeare qui, en tentant désespérément de prouver l'existence de ce mythe, réussit à réunir deux personnes de sexes opposés et de leur insuffler des sentiments de semi-respect mutuel pendant tout un livre, même si ces derniers finirent par en mourir. Une frasque qui impressionna tout un continent, si bien qu'un peuple primitif appelé "ricains" fonda une utopie de modèle de vie selon laquelle l'homme et la femme doivent vivre dans une grande maison à la pelouse bien taillée, avoir deux enfants et se sourire mutuellement, voir parfois s'embrasser ou du moins devant un hypothétique public. En effet les "attouchements" publics font partie intégrante de que l'on nomme le "Maisnonjenemepourripaslaviejesuistrèstrèsheureux effet", indispensable à l'application du Grand Amour.
Premières résistances
Toutefois pour ne pas trop souffrir de ces modèles, un groupe résistant du nom de Chuimieuseul intégra dans les moeurs une règle selon laquelle un homme ne devait pas approcher une femme de trop près avant le mariage. Règle publiée dans le Gentleman Code (prestigieux journal publiant l'apologie de la connerie humaine) et qui résista jusqu'à nos jours. Elle est toutefois toujours appliquée dans certaines régions très aristoCRITiques du monde et ceci notamment grâce à l'aide de la religion (arme utilisée contre les humains afin qu'ils jettent leur argent, récitent des textes barbants en latin et croient que toute la merde qui leurs arrive est justifiée).
L'envie mondiale de croire en quelque chose de stupide fit imaginer aux plus intrépides femmes qu'il était possible de passer une vie entière avec un homme qui éprouverait de l'attirance pour la même femme même lorsque ses seins commenceraient à se rapprocher dangereusement de ses pieds.
Mais les moeurs évoluèrent, si bien qu'à partir du début du XXe siècle l'homme accepta parfois de rester plusieurs années avec la même femme pour autant qu'elle fasse la cuisine, le repassage, le ménage, qu'elle s'occupe des enfants et qu'elle lui amène une bière pendant qu'il regarde un match de foot. Fichier:Http://ricardoblog.fr/wp-content/uploads/2008/05/windowslivewritersoiretvbiresfoot.etiam-11bacguystv-thumb1.jpg
1990 : L'année de la vérité
Cependant, en 1990 un grand scandale éclata lorsqu'on découvrit qu'une télé américaine payait des inconnus pour qu'ils racontent à quel point ils se sentaient bien ensemble et qu'il s'aimaient. En effet, l'une des émissions fini par le suicide des faux-époux après que le public ait scandé : "un bisou, un bisou!!!". En protestation à cette désillusion, un mouvement gai vit le jour. Ce mouvement consiste à ce que les hommes se conduisent comme les femmes et inversement tout en portant des vêtements très serrés pour les hommes, très larges et masculins pour les femmes, tout en répugnant le sexe opposé.
Pour contrer la menace d'une disparition du mythe, le gouvernement américain fit des expériences secrètes sur les prisonniers gays de la prison de Guantanamo avec un virus appelé VIH (virus d'incontinence humanitaire). Ces mêmes prisonniers furent libérés et transmirent le virus à d'innocents civils gays qui partirent se réfugier en Afrique, amenant de ce fait le virus avec eux (Les effets de l'incontinence se firent vite sentir puisqu'un grand nombre d'africain se retrouva avec une peau très foncée).
Au début du XXIème siècle toutefois, un homme ayant souffert de ces traumatismes en Afrique fût nommé à la tête du gouvernement des United States Of America et grâce à lui on trouva une solution afin d'épargner de longues années de supplice aux hommes et aux femmes du monde entier. Il inventa le divorce, c'est-à-dire le fait de pouvoir se marier à quelqu'un, profiter de lui sexuellement, lui voler la moitié de sa fortune, faire une descendance et partir librement ensuite. Une véritable révolution à laquelle les WASP (We Are Suffering of too much Proudness), un parti américain luttant pour l'intégration d'une vie compliquée, fastidieuse et insupportable pour tous, déclara "No, you can't". Le président répliqua "Yes, we can".
Ainsi, depuis lors on raconte le conte du grand Amour aux enfants afin de leur faire croire que la vie est belle et pour mieux qu'ils réalisent plus tard que la vie est merdique. Fichier:Http://blogleponge.unblog.fr/files/2009/07/421princecharmant.gif
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