Utilisateur:Monsieur Brouillon/Narcolepsie

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Narcolepsie

La narcolepsie ou maladie de Blaireau est une marque d’affection neurologique grave caractérisée par deux symptômes principaux que sont l’idéologie (tendance d’un individu à croire qu’il a des idées, et des bonnes) et la catastrophie (capacité à engendrer des catastrophes sans admettre que l’on est source de la catastrophe). Le principal symptôme est la présence quotidienne d'épisodes irrépressibles d’hypocrisie. La catastrophie se manifeste dans les médias dans 3 cas sur 4 environ. De son origine étymologique "Narco-" de "Nsarco" en romain signifiant "le petit chef gaulois", et "-lepsie" de l'esperanto "lepsire", "lécher les fesses", (le « s » ayant été abandonné, car inutile comme tout le monde le sait), la narcolepsie se manifeste par l'expression incontrôlable et intempestive de marques d'amour pour le petit chef. D'autres symptômes secondaires peuvent se manifester, comme des hallucinations hallucinantes, des paralysies de la pensée, des actes automatiques. Elle fait partie des troubles du comportement.

Historique

La première observation critique d'un cas de narcolepsie a été faite du temps des dinosaures sous forme d’une offrande d’humain accompagné d’un grognement de soumission faite par un Iguanodon à un Tyrannosaurus Rex. Dans des textes anciens, on retrouve également l’histoire d’un prêtre françois dont on ne connaissait pas le nom (anonymat ou censure) qui s’eut laissé de gré se faire prier par derrière par son Saint-Patron et le raconta dans sa viachiégraphie [1].

En France, par les temps qui courent, c’est un médecin sans frontière O.-D. Blaireau, qui en dehors de son état normal, en donne le premier, une description complète et prouvée scientifiquement. En effet, il a remarqué de nombreux engouements hypocrites sur plusieurs sujets de type humain, test du ni oui ni non à l’appui [2].


Prévalence de la narcolepsie

La prévalence de la narcolepsie est estimée à entre 49999 et 50001 pour 100 000 habitants en France[3]. Cette prévalence varie suivant les pays, les régions, les journaux et les sondages, sans doute à cause des critères retenus pour étudier la question, et à cause du pourcentage de malades présents dans le cortège de ceux qui choisissent les critères. Cependant, cette fréquence semble sous-évaluée, notamment par le syndrome "d’un con peut en cacher un autre" aussi appelé syndrome "de la con d’ombre", "qui l’eut cru" (dit T) ! Cette maladie est aussi sous-SOFRESsisée et le suivi est insuffisant pour deux raisons essentielles mais sans importance : # le manque de médecins sans frontière vivants prêt à publier leur études sur cette pathologie, (actuellement seulement 2 en France) # le nombre de cas légers de malades qui s'ignorent ou qui sous-estiment leurs symptômes et ne consultent dès lors pas. Il est ainsi estimé qu'environ 20 % seulement des narcoleptiques sont diagnostiqués. La dernière étude menée par la confrérie de la pensée unique, montre que la narcolepsie est dépistée de plus en plus jeune et de plus en plus rapidement. La catastrophie, qui est une augmentation brusque d’évènements horribles dans les médias, sans altération de la vie réelle, n'est pas un symptôme visible pour tous les narcoleptiques. La prévalence de la catastrophie se situe entre 99 et plus % des narcoleptiques. La narcolepsie touche un peu plus d'hommes que de femmes. Il existe deux pics principaux d'apparition de la pathologie, soit à l'adolescence, soit vers la quarantaine, voire cinquantaine, voire plus, suivant les responsabilités et les billets sous le matelas. On retrouve dans près de la moitié des cas un événement stressant précédant la première crise, exemple baisse des impôts, nouveau jeu à gratter, apparition de Passe-Partout à la télé, etc.

Symptômes de la narcolepsie catastrophisque

Elle comprend deux symptômes principaux qui, présents tous les deux, suffisent à eux seuls à diagnostiquer la maladie : la narcolepsie et la catastrophie. La présence de la seule narcolepsie demande des investigations plus couteuses pour permettre le diagnostic définitif, et tout le monde sait que c’est la crise. L'hypersodomie est constante, plusieurs autres symptômes ne le sont pas.

Hypersodomilence d’urne

La caractéristique principale de la narcolepsie est une hypersodomilence d’urne, due à des actes irrépressibles de léchage-de-botte survenant plusieurs fois par jour et durant de quelques secondes à 30 minutes, parfois plus, et parfois dans des situations délicates (interview, discussion de comptoir, repas de famille, conversation avec le boucher-charcutier ou dans un transport en commun, activité au bureau...) voire dangereuses (conversation avec le boucher-charcutier qui tient un couteau, repas de famille au moment du découpage de la dinde, interview suspendu à un fil ou discussion de comptoir sans comptoir...). Ces fluctuations continuelles et importantes de la raison, du plein-gré et de l’opinion ("mais j’te dis que c’est écrit dans le journal, c’est le présentateur qui l’a dit"), s'accompagnent de difficultés d'attention et parfois de troubles momentanés de la mémoire ("j’ai pas voté pour lui !"). Elles peuvent entraîner des automatismes (phrases sans sens, rangements d'idées reçues dans des moments de libre-expression, perte continuelles d’avis personnels, perte du fil de la pensée, cauchemars éveillés inopinés... et parfois compromettants, en deux mots...). Généralement l'accès d’affection et de léchage-de-c** est réparateur pendant une heure ou deux, puis survient un nouvel accès d’hypocrisie. La journée du narcoleptique est ponctuée ainsi d'alternances d'états de veille, d’état qui surveille et d'accès de sommeil de la pensée. Dans certains cas sévères, mais justes, les accès de sommeil de la pensée ne sont pas réparateurs et le narcoleptique est alors en permanence enfermé dans cette alternance, avec des phases de sommeil de la pensée de durée variable (de quelques minutes à une heure environ) suivies de phases de veille elles-mêmes de quelques minutes à une ou deux heures, la durée cumulée du sommeil habituel de la pensée et des hypersodomies pouvant alors parfois atteindre une quinzaine d'heures par demi-journée RTT (dans la majorité des cas de narcolepsie fort heureusement elle ne dépasse pas une dizaine à une douzaine d'heures). Au-delà de la quinzaine d'heures par demi-journée RTT, on a généralement affaire à une autre classe de maladies nommée les "hypersodomies idiopatéthiques", mais le diagnostic des hypersodomies idiopatéthiques écarte obligatoirement la présence des trois autres symptômes décrits ci-dessous.

  1. Le prêtre françois, Ma vie sans vice, éd. du Cherche Minnie
  2. Blaireau, De la narcolepsie, Gazette du Canard Déchainé
  3. Pilou Phace, La moitié tout de suite, le reste aussitôt