Utilisateur:Robbino0013

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Théorème Malliest

Définition : Le Théorème Malliest est une notion scientifique et anthropologique crée en 2008. Elle a pour but de caractériser les qualités d’une femme, et ainsi d’en juger son potentiel de séduction. L'étude se déroule en deux phases: L'évaluation du sujet au moyen du tableau Malliest, et l'analyse des résultats grâce à la methode Malliest.

Nom du sujet : ................. Cochez une case par ligne.


Tableau du Théorème Malliest
Vert Jaune Orange Rouge
1 CHARME
Visage o o o o
Regard o o o o
Cheveux o o o o
Seins o o o o
Fessier o o o o
Corpulence o o o o
2 CLASSE
Vêtements o o o o
Démarche o o o o
Voix o o o o
Style o o o o
Comportement o o o o
3 SYMPATHIE
Sens de l'humour o o o o
Gentillesse o o o o
Fidélité o o o o
Chianteur o o o o
Sujets de conversation o o o o
Moral o o o o
4 BONUS
Souriance o o o o
Douceur o o o o
Cochonnitude o o o o
TOTAL: o o o o

I. Exemples relatifs a l’utilisation du théorème Malliest

Introduction :

Certaines catégories de notre théorème peuvent être perçues comme peu utiles ou pour le moins floues. C’est l’objet de cette méthode qui consiste a éclaircir les notions que nous n’aurions peut être pas su traduire par le bon terme. Vous verrez qu’elles expriment bien plus que le simple mot qui a été choisi pour les formuler, et que l’évaluation de votre sujet à propos de ces critères pourra prêter à bien des débats !


Explication des termes du théorème, qui peuvent prêter à confusion :



  • Corpulence : ici, les deux protagonistes du théorème évoquent simplement, le rapport qualité / poids. On peu ainsi juger la corpulence d’une personne par sa taille, son poids, sa fermeté de peau, et sa silhouette en général. Entre autres, l’exemple d’une personne à la corpulence dérangeante et disproportionnée souffrirait de la plus mauvaise note. Ainsi, le critère « corpulence » mérite d’être remis au clair. Il s’agit en réalité de répondre à la question « est-elle bonne ? ». Question a laquelle il serait répondu « Et comment ! » pour le cas de la plupart des actrices de film pornographiques.


  • Style : Le critère « style » est un des plus complexe. Ici les auteurs on voulu rendre compte de l’impression visuelle globale du sujet. On s’identifie ici surtout à l’aspect physique, et à l’originalité de la personne en terme vestimentaire. Cependant, le terme « style » fait aussi référence à la personnalité de celle-ci. Si elle est créative, vivante jusqu’à dire même : piquante. Enfin, pour illustrer ces notions, on peu utiliser le cas de Hélène Ségara, emblème nationale de la non-personnalité, du conformisme, et du manque de goût total. A l’inverse, on peut proposer Gwen Stefanie...


  • Comportement : Autre notion susceptible d’être revue. Le comportement, ici mentionné, englobe en somme toutes les actions communicatives et gestuelles du sujet. C'est-à-dire, que l’on notera dans cette rubrique le comportement de la personne lorsqu’elle est en société. Cela semble utile d’être précisé, car au sein d’un groupe et donc face à un public et donc des spectateurs, le sujet adopte une attitude, qui peut être soit traduit par de la lourdeur, tel que Christine Bravo ou Daniella Lombroso savent si bien le faire ; ou bien par du dynamisme, du tact et de la sympathie, telle une Marie Drucker en pleine action, pour rester dans le domaine des présentatrices de télévision. Ainsi, c’est à vous de juger…


  • Chianteur : Ce terme bien qu’incorrecte, résume parfaitement LA caractéristique présente chez tous les sujets, conjugué de manière plus ou moins forte. En effet, si l’on a l’occasion de fréquenter une femme au moins une fois dans sa vie, on aura l’occasion de reconnaître en elle un certain degré de chianteur. Notion indissociable de la femme, elle est source de tous les conflits dans une relation. Par conséquent, si votre sujet possède un degré de chianteur assez élevé, vous lui attribuerez un gros rouge, à l’inverse un vert, mais cela reste peu probable.


  • Sujets de conversation : Cette caractéristique fut longuement discutée par ses créateurs, cherchant chacun a trouver le terme juste pour englober à la fois : l’ouverture d’esprit, la culture et l’intelligence. C’est donc ces critères auxquels se rapportent cette notion. Ceux là sont des vecteurs essentiels dans une relation à tendance durable. De ce fait, une fille qui ne possède pas de sujets de conversation perd de sa crédibilité auprès de ses prétendants et de son entourage, et ne mérite donc pas qu’on lui porte la moindre attention.


  • Moral : Autre pilier d’une relation, associable à celui de chianteur, le moral s’attache surtout à la pénibilité d’un sujet. Dans le cas ou la personne se trouve être bien noté pour son moral, cela signifie qu’elle est capable de ne pas extérioriser et empirer ses soucis et ses désagréments personnels. Ainsi, elle arrive en quelque sortes à positiver et garder le sourire malgré les circonstances parfois difficiles. Qualité hélas, rarissime et donc très recherchée.


  • Souriance : Mot également critiquable par sa grammaire, mais vénérable par sa signification. Précision faite, la souriance ne concerne non pas la qualité du sourire, mais se centre sur la joie de vivre, mimiquement exprimé, qu’il soit laid ou agréable. Certes, plus le sourire est beau, plus la souriance est importante, mais les deux concepts sont complètement dissociables l’un de l’autre, et un sujet souriant peut, même avec une mâchoire déplacée, des dents noires et une bouche pleine d’herpes, avoir une note correcte pour ce critère.


  • Cochonnitude : Un mot que beaucoup d’entre nous interprèterons justement, bien que son orthographe puisse laisser à désirer. Effectivement, vous l’aurez compris, il n’existe pas dans notre langage distingué, de termes permettant de dire d’une fille si elle est une cochonne ou une coincée (cul brodé pour certains). En ce sens, nous nous devons de restituer au mieux à travers cette expression, l’attitude sexuelle qu’ont vos sujets. Ainsi, une fille avec un degré de cochonnitude élevé, signifiera qu’au premier soir, son corps vous appartiendra tel une Tory Lane, ou bien à l’inverse qu’elle se tiendra sage telle une prude vierge.

II. Analyse et interprétation des résultats

Notes utiles a l’analyse des résultats : Il s’agit ici de tenter de dégager des règles générales à partir de l’analyse des résultats obtenus dans la partie notation. Bien sûr, chacun pourra les adapter à sa guise au regard de ses ambitions avec le sujet qu’il vise une relation plutôt durable ou au contraire une aventure de soirée. C’est ce que nous avons essayé de rendre dans ces notes.


En règle générale, un minimum de 3 verts est requis pour que le sujet soit qualifié « d’intéressant » et il est communément admis que 5 rouges (soit un quart de l’étude qui comporte 20 critères) suffisent a éliminer le sujet, sous réserve de leur répartition et du nombre de verts.


Si le sujet obtient un ensemble moyen ou plutôt négatif dans la rubrique « charme », (une majorité de jaunes reste le minimum), il conviendra de franchir le « cap » lors d’une soirée pour éventuellement faire abstraction de ces faiblesses. Toutefois, il convient de préciser qu’un sujet présentant des qualités uniquement dans la catégorie « sympathie » ne peut être envisagé que pour une soirée et présente un intérêt uniquement sur une relation a long ou moyen terme.


Ainsi, le dépassement du physique peut s’effectuer dans 3 cas majeurs : En cas de recherche désespérée de relations (ne peut fonctionner que si le sujet montre un réel intérêt pour vous), dans le cadre d’une soirée (éventuellement assortie de prise d’alcool ou autres stupéfiants en quantité proportionnelle au manque de charme du sujet) ou encore dans le cas, assez rare, où la connaissance du sujet s’est faite d’abord par l’intermédiaire d’un tiers et donc où le contact a été en premier lieu réalisé par une conversation a distance.

Enfin, dans le cas – relativement incroyable - où le sujet présente une majorité absolue de verts et aucun rouge dans la section « charme », il est communément admis que son intérêt n’est plus a prouver, et ce quelques soient ses résultats dans les autres catégories.


Les résultats obtenus dans la section « classe » ne doivent pas être pris a la légère. En effet, s’il y obtient une majorité absolue de verts et aucun rouge, un sujet ayant obtenu des résultats médiocres dans la première section peut ainsi voir son intérêt complètement relancé. Les résultats obtenus dans cette section son certainement ceux qui reflètent le mieux la vision globale du sujet par les amis ou les proches et sont donc capitaux car il contribuent directement a l’intérêt porté au sujet. Dans le cas ou le sujet obtiendrait des résultats plutôt mitigés (comme une large majorité de jaunes parsemée d’orange), le manque peut être relativisé par de bons résultats dans la section sympathie qui sauront faire apprécier le sujet.

Enfin, si le sujet obtient des résultats négatifs ou médiocres (a partir de 3 oranges et aucun vert) une relation durable ne peut théoriquement être engagée. Toutefois une relation de type sexuelle ou de type « soirées seulement » ne peut être remise en cause par les résultats obtenus dans cette section (sous réserve d’une majorité honorable dans la section « charme »).


A l’inverse, la section appelée « sympathie » est capitale dans l’optique d’une relation durable comme dans celle d’une relation de type soirée. En effet, un sujet ayant des résultats bons ou assez bons en « sympathie » (un ou 2 verts et au maximum un seul orange) peut vite grimper dans l’estime de tous et devenir fort intéressant.

A contrario, un bilan plutôt mitigé (2 oranges ou plus) prouve la forte inaccessibilité du sujet si le « cap » n’a pas été franchi et s’avère prémonitoire de moments difficiles s’il a déjà été acquis. On admettra communément que dans l’objectif d’une relation dite « de soirée » la barre des 3 oranges ne doit pas être dépassée lors de l’évaluation dans cette section sous peine d’extrêmes difficultés lors de la « conquête » du sujet (bien sûr, cette observation est relativisée par le nombre de verts obtenus dans la rubrique 1.) Remarque d’importance : à ce jour, tous les experts s’accordent à dire que seul les résultats de la section « sympathie » provoquent, s’ils sont suffisamment bons, le sentiment d’amour.

Il est a ce propos intéressant de refaire faire le test a une personne à un moment où elle est amoureuse du sujet : on observe irrémédiablement une augmentation des cases vertes (d’au moins 20% dans grande majorité des cas) et cela peut constituer une preuve en cas de négation d’un tel sentiment chez la personne testée.


Les « bonus » quant a eux constituent un « plus » qui sert communément a faire pencher la balance du bon côté. La case rouge ne s’y trouve pas car les auteurs on jugé qu’une telle qualification serait inexacte pour ces critères.


In Fine, on retiendra que l’appréciation globale des résultats revient a chacun selon ses préférences et ses objectifs. Voilà aussi pourquoi les auteurs se sont refusés a graduer les sections et les critères et a introduire des coefficients.