Utilisateur:The Jukebox
En une nuit de l'an 0 avant l'auteur de cette page, en pleine tempête, une femme franchis la porte de la clinique des Trépassés, d'un pas peu assuré. Elle frissonnait de froid dans son chandail en lambeaux et sa robe bleue, cachant un ventre énorme. Quelques heures, quelques cris et quel conque plus tard, naquit, pour votre plus grand plaisir, l'auteur de cette page, qui fut nommé après la beuver...la fête qui s'ensuivit du doux pseudonyme de "The Jukebox".
Des débuts difficiles
Une enfance désoeuvrée
Sa mère, après sa naissance, alla s'installer en banlieue, dans un ancien ghetto abandonné.
Afin de subsister à leur besoin, elle dû exercer un métier requérant l'utilisation de ses attributs féminins, qui la poussa parfois à vouloir noyer son désespoir dans l'alcool, auquel elle y consacrait la moitié de sa paye, le reste allant au pain rassis et à l'eau croupie destinée à nourrir son "putain de gosse".
Il naquit donc avec ce nom, qui lui causa quelques problèmes, ne serait-ce qu'au niveau administratif. En effet, qui donc, à part un communiste ou un kévin s'appellerait ainsi ? Personne. Il dû se résigner aux contrôles d'identité incessants depuis ses deux ans, ainsi que les brimades de la part de ses camarades de classe :
Je ne te le fais pas dire.
Une adolescence perturbée
Du jour au lendemain, notre cher The Jukebox se mit à voir d'affreux boutons pousser sur sa gueule purulente - qu'il gardera jusqu'à ses 25 ans parce que sa mère refusait de lui acheter du Biactol. Il grandit de quelques centimètres, fuma sa première cigarette, puis son premier joint paske sa fai tro reBelz. Il se mit à écouter du Trash Hard Heavy Black Industriel Métal, ne jura que par Belzébuth et toute sa clique, eu sa première histoire d'amour dans un bar gay, où une lesbienne accepta de coucher avec lui par profonde pitié.
Ashley la gothique incite au suicide collectif en disant : | |
Trop d4RK. |
Il eut ensuite le baccalauréat avec la mention crevard avant de préparer un BTS Imam, qu'il échoua à la surprise de tous.
L'âge de raison
Ce fut alors le début de la chute dans la tourbière de la médiocrité. D'abord sans emploi, il décida de jouer ses biens restants - dont sa propre mère - sur une partie de poker...
Il finit par errer seul dans les rues, en quête d'une quelconque pitance, afin de ne pas finir sur le caniveau baignant dans ses déjections.
Alors qu'il fit la découverte fortuite d'une flaque de vomi chaude totalement comestible qu'il s'apprêtait à lécher goulûment, il découvrit quelque chose qui changera le cours de son destin à tout jamais. Une chose magnifique, merveilleusement merveilleuse, qui lui fit oublier sa lèpre ainsi que sa petite vérole.
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