Utilisateur:Thorkild l'armoricain/brouillon

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juste un essai pour voir comment xa marche

Thorkild l'armoricain/brouillon
Drapeau Drapeau france.png
Langue officielle Néo-Français.
Devise Nationale La travail, la mi-fa é la patry ^^ c tp b1 mdrrrr
Capitale Prolétairepolis.
Régime Conseil suprême des responsables kholkoziens.
Superficie De taille impériale.
Population 240 millions de citoyens soviétiques.
Monnaie Ticket Restaurant
Hymne national L'internationale
Religion La révolution.

La République Soviétique Française ou France Soviétique est un état de type communiste de l'ouest de l'Europe des 12, qui elle même est la partie ouest de l'Europe, ce qui en fait un des pays les plus à l'ouest de toute l'Europe. Il s'agit du pays le plus peuplé d'Europe et de la première puissance mondiale économique, militaire, agricole et tout et tout depuis maintenant bien des années.

Histoire

Origines du régime soviétique (1848-1869)

Les origines de la France Soviétique se situent dans le Second Empire, alors gouverné par l'empereur tyrannique Napoleon III, ce dangereux dégénéré sexuel est un fou assoiffé de sang et d'argent. Cette époque est fortement marquée par l'expansion territoriale et coloniale d'une part et industrielle de l'Empire Français. Cette période de révolution industrielle modifiera totalement la corpulence maigrelette de la France à cette époque ainsi que tout son fonctionnement. En effet, c'est en ces temps que naît dans les couches populaires, la prise de conscience de la notion de classe. Ces mouvements sont soulignés et soutenus par le politicien français Charles Marques, foutu en exil à Londres pour propos qui risquait d'envoyer en l'air l'ordre établi.

Mis à part ce climat de grogne sociale, il est important de préciser que ces temps de révolution industrielle ont engendré un big-gangbang démographique infini en France. Ce phénomène peu courant désigne un fort accroissement démographique qui perdure sur les siècles. Cet accroissement naturel bien membré poussera la population jusqu'à 242 000 000 de personnes au jour d'aujourd'hui. A titre de comparaison, les experts démographes du Centre de Recherches Statistiques de Prolétairepolis ont admis que si la France n'avait pas suivi son instinct révolutionnaire communiste et qu'elle était resté dans son pitoyable régime capitalo-infanticide, la population actuelle du pays peinera encore à arriver au symbolique stade des 100 millions. 65 millions pour être précis, comme nous le disait en bon Néo-Français notre défunt 7e guide de la Révolution, Nabil dit "le rappeur du 92" "Ah la zermi".

Guerre Franco-Prussienne et déclenchement de la Révolution (1870)

En 1870, le pittbulesque Napoleon III, tout plein de désirs morbides de sangs et de populaces étrangères soumises à la loi de la couronne impériale française, décide sous d'un coup d'envahir la Prusse Nazie. Personne ne connaît réellement la vérité sur le lancement de cette invasion. Il faut admettre que Popol-Leon a bon dos avec les historiens qui n'en savent pas plus que nous. Il n'y a plus de survivants qui puisse nous informer, d'un autre côté ce n'est pas plus mal, parce qu'il n'y a rien de plus casse-burnes qu'un vieux qui nous étale sa science!! Les raisons de cette guerre sont donc inconnues, et les théories des historiens tiennent plus de la légende qu'autre chose.

La légende la plus répandue est la suivante : la femme de Napoleon III, l'impératrice, était la reine des saucisses. Et elle profitait bien de sa situation de première dame de France, et aimait faire joujou avec ce gros engin qu'est la machine impériale française, en clair elle aimait s'incruster dans les décisions d'état, histoire de laisser des traces dans l'histoire française. Elle aurait donc suggérer à son mec Popol-Leon Third de déclencher une guerre pour le fun, Napoleon III aurait refusé, mais vous connaissez les femmes vous ne faites pas comme elles veulent et après oh gnagnagni et gnangnagna! et je ne sais quoi comme ronchonneries inutiles. Napoleon III serait entré dans une phase de frustration sexuelle horrible, et aurait finalement accepté d'envahir la Prusse Nazie.

La Guerre est en marche. La Grande Armée revient juste de Trafalgar où elle vient de défaire la minable armée du minable royaume britannique 5 jours plutôt et est déjà sur les chapeaux de roue. Les légions franchissent les ponts du Rhin, le Bagad de Lann-Bihoué encourage les troupes de ses marches militaires endiablés, les drapeaux tricolores sont levés et brillent dans le vent de ces terres de choucroute. C'est avec la tête fière que nos valeureux grognards déboulent dans ce bordel de petits duchés et principautés à la con qui séparait à l'époque l'Empire Français de la Prusse Nazie. Une fois arrivés aux portes de la Prusse, les soldats français n'en croient pas leur yeux. Sur cette ligne de fortifications défensive prussienne, la ligne Mein Ginöthen, les miradors crachent le feu. C'était donc ça, le feu, mystérieux feu, les nazis entraient ce jour là dans l'histoire, c'était la première tribu de toute la Pangée à maîtriser le feu!! Pris de peur, les français battent retraite, c'est un jour doublement historique car c'est la première et dernière fois que l'Armée Française utilise la lâcheté comme stratégie militaire.

Les boches, conscients de leur avancée scientifique qui les rendait surpuissants face à l'ennemi bouffeur de grenouilles, jaugèrent la situation quelques minutes, et se lancèrent dans ces typiques véhicules hippies : les vans wolskavaganaganen (malgré le très faible avancement de l'humanité à cette époque, l'orthographe des marques de bagnoles allemandes était déjà fort casse-burnes). Ils avaient commencé la chasse au français, plus connue dans les livres d'histoire sous son nom allemand qui fait mal à celui qui l'entends : la Shoah! Les prussiens entrent en France dans la journée. Ils se comportent comme des jeunes sauvageons marginaux des quartiers défavorisés, ils cassent tout! Au bout de 15 jours, ils repartent chez eux à bord de leurs drakkars, le ventre alourdi de fruits qui ne poussent pas dans leur pays froid et de bonnes femmes françaises bien robustes qui n'existent pas non plus dans leur pays froid.

Les bons citoyens français qui paient leurs impôts et vont à la messe tous les dimanches n'entendent pas ce viol de la France que l'empereur ne réprimande pas de cette oreille. Et la ville de Paris le ressent, elle est foutue sans dessus dessous, c'est le début de la révolution. Et cerise sur le gâteau pour bien faire chier l'empereur, ils vont faire un truc qui leur fait pas forcémment plaisir, mais il faut bien le faire pour ce connard d'empereur, ils vont faire un truc de feignasses de gauchistes : ils vont prendre de force la direction de la ville et des usines et autogérer Paris.

La Guerre Civile (1871-1875)

Après 5 semaines de glandouille révolutionnaire, les parisiens en révolte renomment la ville Prolétairepolis. Ce même jour, le 17 août de l'an I de la Révolution (1871 dans le calendrier capitaliste) les conseils d'ouvriers prennent le contrôle d'autres villes en France. Ces grands mouvements sociaux ne plaisent guère aux monarchies voisines, les rois de ces dernières commencent à un peu gueuler sur Popol Leon qui est un peu dépassé. Parce que s'il ne se bouge pas le cul vite fait, ces idées de révolte ouvrière proches du satanisme vont se répandre partout en Europe. Et les rois ne veulent pas de révolution dans leur pays où tous les sujets sont des petits saints qui idolent leur bon roi!

Napoleon III, de peur d'invasion de légion étrangères sur le sol français, prend au pied la lettre les ordonnances de ses confrères. Il crée les Compagnies Républicaines de Sécurité dès le 19 août, certes un peu à l'arrache, certes, mais il les crée. Le lendemain les CRS sont envoyés dans les points sensibles de Paris dans un premier temps pour discuter en leur faisant comprendre que c'est pas en faisant tout ce bordel dans Paris qu'ils vont avoir leur bac et qu'ils vont trouver un travail plus tard. Les ouvriers n'étaient pas dupes, en effet, qu'est ce qu'ils en avaient à foutre d'avoir le bac, ils ont déjà un travail, et le 20 août s'acheva dans la violence.

Dès le 28 août, le camp des ouvriers signe une victoire historique. Après le plasticage à la caserne des CRS, la toute nouvelle institution est mise au tapis après 9 jours d'existence. Les ouvriers sont alors maîtres incontestables de Prolétairepolis où ils fondent la République Soviétique Française son territoire se limitant à la ville de Paris et sa proche banlieue ; le reste de la France étant alors toujours le second empire. Ils créent en même temps l'Armée Révolutionnaire qui a pour première et unique mission de libérer la France du despotisme de l'empereur qu'ils foutent en dehors de Paris sans argent ni bouffe ni garde du corps.

Après 11 jours de marche à pied épuisante, l'empereur que tout le monde pensait assassiné sauvagement par des brigands, disparu ou décédé fait son apparition au petit matin du 8 septembre de l'an 1er de la Révolution dans la ville du Mans. A 12 Heures Pétantes environ, il prononcera un discours devant le peuple manceau, dont la tendance politique est largement impérialiste. Il les convainc de les suivre afin d'entreprendre une lutte sans merci contre les foyers de révolution. Il fonde l'armée du Tsar dans l'après-midi et un cache-cache interbelligérants fera coûler le sang jusqu'en 1875. C'est le point de départ réel de la guerre civile.

Inférieures en nombre les légions de l'armée du Tsar ont vite du mal à lutter contre la glorieuse Armée Révolutionnaire. Les rois des monarchies étrangères lui propose des bataillons armés afin de l'aider dans cette lutte pour la pureté de l'empire, chose qu'il ne refusera pas. Cette guerre devient celle des ouvriers français contre les bourgeois de tous les pays. On retrouvera principalement des prussiens nazis, des bavarois, des anglais et des espagnols, tous envoyés par leur propre rois, on trouvera aussi des italiens ou des polonais quant à eux envoyés par le Vatican. En effet, le pape n'aura de cesse que de soutenir les forces impérialistes lors de cette guerre civile.

La guerre civile ne touchera sa fin qu'en l'an V (1875), le 14 juillet, moment où Napoleon III, leader des impérialistes proclamera qu'il a perdu son combat contre l'Armée Révolutionnaire qui remporte donc la victoire militaire et idéologique finale. Dans les faits, rien n'était perdu pour l'Armée du Tsar, les deux armées étaient encore à égalité dans ce conflit, mais c'est juste que Napoleon III et son célèbre homonyme Napoleon 1er, ils se sont foutus dans un de ces états à la gay-pride commémorative du 14 juillet, ils se sont vidés 1 Litron de Vodka pure chacun le soir même. Et une fois saouls comme des petits polaques démunis, Napoleon 1er il dit à Napoleon III chiche d'annoncer la victoire des révolutionnaires devant tout le monde. Et ce con là était chiche. Vous connaissez la suite.

La Glorieuse Ascencion (1875-1896)

Karl Marx (1875-1887) Normand l'amour (1887-1906)

La Première Puissance Mondiale (1897-1929)

Normand l'amour (1887-1906) Connard le Barbant (1906-1915) Thierry la Fronde (1915-1924) Léonid Blum (1924-1942)

Un modèle dans un monde de conflits (1930-1945)

Léonid Blum (1924-1942) Big Brother (1942-1972)

Leader du Bloc Rouge et Modernisme(1946-1990)

Big Brother (1942-1972) Nabil dit le rappeur du 92 (1972-1972) Prépunk (1972-1979) Clotaire le détrôné (1979-1985) Gouvernement par le peuple (1985-1997)

Cohésion et Bien Etre de la Nation (1990-1997)

Gouvernement par le peuple (1985-1997)

Dictature du Prieuré de Sion

Restauration des Mérovingiens, comme roi le créateur du Prieuré de Sion (1997-2002) Mais on a demasqué le roi qui n'avait pas de sang mérovingien

Glorieuse France Soviétique (2002-Aujourd'hui)

2002-2007 : après des élections d'un président de la République on remet à la tête de l'état celui qui nous avait arnaqué avec ces conneries de mérovingiens à conditions qu'il reste sur des bases soviets 2007-Aujourd'hui : Gouvernement par le conseil des responsables kholkoziens.

Géographie et Démographie

Anciennes dénominations des villes