Utilisateur:Yoshkill/Noëliste

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Le terme "Noëliste" désigne plusieurs choses à la fois :

  • la vocation des compositeurs et auteurs de chansons religieuses de Noël au XVIIIe siècle
  • une catégorie d'être vivant résultant d'une expérience néo-nazie ratée

Par extension, on qualifie de "noëliste" tout ce qui touche aux chants sur Jésus et ses potes et/ou au genre de pathologie psychique provoquée par des actes atroces pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Histoire

Tout commence en 1733, une année dont on se passerait bien si elle n'avait pas une place importante dans mon article ; autrement dit si j'avais pensé à une autre date (choisie au pif) pour écrire mon texte.

Il est bien connu qu'en 1733, le compositeur et écriveur de chansons Antoine Peyrol se fait peu à peu connaître avec ses morceaux « Jésus est né, c'est super » et « Bébé Jésus, je t'aime très fort ». À l'époque, les gens commencent à parler de lui, notamment par le bouche-à-oreilles, et malgré l'absence évidente d'internet, Antoine Peyrol parvient progressivement à gagner le cœur de Jésus, ce qui propulse ses deux singles en haut des chartz pendant tout une semaine de ventes, devant les morceaux « La messe est dite » de Jean-George Pastifion et « Je suis marin et j'ai péché » de Jean-Jean Miraculus.

Alors sur le point de sortir un album, Antoine Peyrol décide d'attendre 1734 et son nouveau tube « Une relation avec Jésus » pour connaitre un succès phénoménal et signer chez Abbaye Records. En sortent de véritables perles, comme « Nous aimons Jésus », « Pour un love de Jésus », « Coucher avec Jésus », et « Jésus, domine moi ». Le Comité des Petits Pédés Catholiques est unanime quant à la qualité de ces chants et en font de ce fait les chants traditionnels de Noël (qui malheureusement seront détrônés par « Happy Christmas » de John Lennon et Yoko Ono)), ainsi que d'Antoine Peyrol l'initiateur d'un nouveau mouvement qu'ils nomment simplement "noëlisme". La décoration d'Antoine Peyrol est inaugurée par une petite fête durant laquelle les religieux amateurs de musique se masturbent et éjaculent sur la pochette de l'album, qui présente Jésus dénudé et accroché à une croix de telle sorte à ce qu'ils ne puissent se débattre d'aucun type de traitement corporel.

La suite de l'histoire se déroule en 1942, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Nous sommes en Allemagne nazie, dans un camps de concentration. Un scientifique du nom de Kurt Höffelsalat y pratique des expériences sur les êtres humains. Pour bien comprendre d'où naît le noëlisme, il faut se placer dans le contexte de l'époque : l'eugénisme marche très fort, et l'obsession des nazis à créer des sur-hommes se compense évidemment par la curiosité et l'envie de créer également quelques sous-hommes. Höffelsalat imagine alors un être aux capacités mentales restreintes, dépourvu de personnalité et de bon sens au point de pouvoir idolâtrer n'importe-quoi. Le but initial étant de pouvoir faire idolâtrer Adolf Hitler plus qu'il ne l'est déjà à l'époque, afin de le faire ré-élire démocratiquement (Adolf Hitler n'étant en aucun cas un tyran). Le premier noëliste se nomme Samuel Hel Jacques et est créé à partir d'un homme Juif moyen, père de famille d'un mètre soixante-dix, vendeur de salade au marché et banquier à ses heures perdus ; malheureusement, l'expérience échoue car le sujet n'est nourri que de viande pour tyrannosaure, et de ce fait, meurt au bout de deux semaines (Samuel Hel Jacques n'étant en aucun cas un tyrannosaure).

Mais Höffelsalat n'abandonne pas. Il décide de recommencer sur quelqu'un d'autre, et cette fois-ci, il utilise un mélange de viande pour tyrannosaure et de soupe italienne (fournie par Mussolini). L'expérience semble fonctionner correctement, et donc la potion est tout de suite appliquée à une grande partie de gens, et elle prend vite effet. Mais malheureusement, Kurt Höffelsalat a encore gaffé, en ne s'en rend compte que trop tard. En effet, les résultats de l'expérience sont bel et bien mentalement défaillants, mais lui semblent incapables d'idolâtrer quoi que ce soit, pas même une choucroute, et en tout cas pas Adolf Hitler. Ce qu'on ne sait pas à l'époque, c'est que les sujets sont bel et bien assez défaillants pour idolâtrer une choucroute (si elle n'est pas garnie de saucisses de Francfort), et même plus : ils peuvent vénérer un émoticon représentant un individu jaune et souriant, portant un bonnet de Noël. Cette figure attendra l'aube du 21e siècle avant d'apparaître sur le forum du site français Jeuxvideo.com, et, n'existant pas encore à l'époque d'Hitler, ne pouvait pas du tout être connu d'Höffelsalat, qui ne se doutait de rien. Ce qu'il avait créé allait changer le monde.