Vandamme Jean Claude

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«  High kick vaut mieux que low tue Laura  »
~ JCV


La biographie alternative de Jean Claude

Vandamme, Jean Claude,né le 18 Octobre 1960 à Berchem-Sainte-Agathe (Belgique),philosophe belge, fils d'un pâtissier industriel spécialisé brioches et d'une mère cenaire. Le petit Jean Claude, pour se faire des amis prit très tôt l'habitude de distribuer les pains (de pire en fils) étant relativement timide d'entrée de jeu.

Sa vie d'enfant est un échec, l'école ne l'intéresse pas "super très beaucoup" et à part le sport et les bandes-dessinées "qu'ya pas besoin d'air pour les lire parce que l'air c'est le vent et que le vent il tourne les pages à ta place donc t'as pas le temps de lire des romans, les BD c'est plus rapide, sauf si tu lis enfermé chez toi dans ton lit parce que le lit est fait pour lire" (ouf), le petit Jean claude préfère de loin la méditation qui lui permettra ses célèbres sorties lyriques plus tard en plus de ne pas avoir à penser tout de suite.

À 12 ans, voulant canaliser cette énergie son père le présenta au Roi Léonidas, grand fabricant de chocolats Belges par boîte de 300 (fourrés à l'alcool de Xercès) et accessoirement maître de karaté en slip qui l'entraîna durement durant quelques années, histoire que le petit Vandamme devienne grand.

5 ans plus tard, Jean Claude est devenu moins timide et a pris de l'assurance, en même temps à se faire entraîner par un guerrier en slip dès l'âge de 12 ans on le serait à moins. Il s'intéresse à la musique classique, surtout les percussions et suit également des cours de danse classique. Il remporte tout seul en 1979 le championnat d'Europe par équipe de karaté, ses équipiers ayant eu la main fracturée en lui disant bonjour et s'envole ensuite pour le championnat du monde de Wako en Floride. Jean Claude aimant tout ce qui claque, une tête, un muscle,... est bien évidemment subjugué par les États-Unis, oublie de s'entraîner en slip et se prend une branlée mémorable en finale par un autre Belge qui avait la frite nommé Tagueule. Jean-Claude lui fit ravaler son cornet 2 mois plus tard en deux temps et un seul mouvement.

La genèse d'un départ. Loin si possible.

De retour en Belgique, Vandamme décide d'ouvrir une salle de body-building, ayant appris entre-temps à ouvrir une porte avec une clef. C'est d'ailleurs un succès parce que même les gens qui n'ont pas sa clef arrivent à rentrer dedans et se muscler. Jean Claude quant-à lui pèse désormais une petite centaine de kilos et supporte le double de bêtise en "développé-coucouche panier" (nullement importée de Cambrai, les bêtises).

Pour autant, fan de son corps, il décide de se la péter auprès de tout le monde et d'entrer dans le monde du cinéma. Grosse déception, sa clef de la salle de muscu ne fonctionne pas pour les cinémas. Tenace, il s'entête à trouver des serruriers un peu partout, en Belgique ainsi qu'en France pour finir par s'exiler au pays qui claque: les younaïtede Staïtss ov Eumérika.

Il exerce plusieurs petits boulots, chauffeur de pizzas, livreur de taxis, conducteur de train/démineur, clone tueur, Soldat Universel, légionnaire et street fighter mais toujours pas de rôle au ciné à part "rue Barbare", "Karaté Tiger" et quelques rôles dans des pubs (voir ici) .


En 1986, de dépit, Vandamme prend le taureau par les cornes et décide de lui botter le train: il fait une démonstration à Golan, gros producteur hollywoodien de ses talents à la sortie d'un restaurant. le spectaculaire mawashi s'arrête à quelques centimètres dans le visage de Golan, qui, pour le calmer décide de lui offrir un rôle le lendemain.

Ainsi commence la carrière cinématographique réelle de Jean Claude. Après bien des péripéties et des remorques complètes de cascadeurs en puzzle, sort en salles "BloodSport", un film qui aime réfléchir avec les pieds et tant qu'à faire les utiliser. Le film est un succès et sa carrière est lancée.

Tellement bien lancée qu'il doit courir derrière pour la rattraper mais la réputation d'acteur martial est faite, il continue sur la lancée en enchaînant quelques succès comme "Time Cop" l'histoire d'un flic qui vérifie si les pendules sont à l'heure. En exécutant des grands écarts.

Entre-temps sa deuxième femme divorce après 6 ans de mariage et deux enfants, la première femme, anecdotique, ayant été mangée un dimanche alors que le frigo était vide et le ciel pluvieux.

Les années galères et la lumière au bout du tunnel.

Il se remarie dans la foulée, l'appart étant franchement crade et de cette union qui durera jusqu'en 1997 naît Nicolas, petit génie surdéveloppé à croissance rapide, déjà vieux avant d'être grand et actuellement président Français (adore le cinéma et les lumières comme son père).

C'est en 1998 en revenant de Chamonix, snowboard à la main qu'il déclare être accro à la poudreuse, ce changement de ton ne plaît guère à la branche radicale des Karatékas non-surfeurs. Se coupant d'une partie de son auditoire, Jean Claude enchaîne les galères parce que pendant les avis de tempêtes, vaut mieux que les galères restent au port. Comprenant très vite qu'une bonne poudreuse pouvait parfois cacher une méchante plaque de verglas, il laisse tomber la drogue, se coupant cette fois-ci d'"un autre type d'auditoire mais c'est pas grave" et décide en 1999, outre de faire péter la lune en y envoyant son pote Chuck Norris un 13 Septembre où une colonie de mecs en pyjamas faisait des expériences, de regagner sa seconde épouse, la troisième faisant un ménage effrayant. Seconde épouse, donc qui vit toujours et entière à ses côté (le seul truc c'est bien de rester à côté mais pas devant pour pouvoir survivre).

Aujourd'hui il enchaîne encore les high kicks, low kicks ainsi que les tournages à plusieurs millions de dollars, bien que vu la force du dollar face à l'euro les décors en pâtissent un peu. Il travaillerait actuellement sur un film retraçant une partie de sa vie, un peu comme Bruce Lee avec "Dragon" sauf que pour Jean Claude c'est "Lézard" au vu des emmerdes qu'il a pu avoir.

Aujourd'hui, il est reconnu comme une pointure du Cinéma comique et ne craint plus personne, à tel point qu'il n'en est même plus francophone et à décidé d'inventer une langue dérivée du Klingon mais en plus simple: "Le Vandamme".

Quelques sorties de choix sur les grands médias ont fini de l'aider dans sa quête titanesque de reconnaissance mondiale, en voici quelques-unes:


- "Je suis fasciné par l'air. Si on enlevait l'air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre....Et les avions aussi.... En meme temps l'air tu peux pas le toucher...ca existe et ca existe pas...Ca nourrit l'homme sans qu'il ait faim...It's magic...L'air c'est beau en meme temps tu peux pas le voir, c'est doux et tu peux pas le toucher.....L'air c'est un peu comme mon cerveau... "


- "Une noisette, j'la casse entre mes fesses tu vois..." (tiré de "Tchaïkovsky pour les nuls").


- "Le monde est composé de flèches et de molécules, et d'électricité,comme le Big-Bang tu vois, et tout ça ensemble, ça forme l'Univers." (cité de "Apprendre l'Univers à Hubert Reeves")


- "Entre toi et moi il y a un produit qui s'appelle un produit, et c'est un produit qui s'appelle l'oxygène, alors si tu fais ça [inspiration/expiration] comme ça, tu vis, mais si je tue l'oxygène comme sur la lune, tu meurs !!" (Ce qui est une prétention infondée de Jean Claude car il est de notoriété publique que seul le Chuck est capable de tuer l'oxygène).


- "Tu regardes à l'intérieur de toi et tu deviens aware of your own body!" (sorti à son proctologue)


- "Un replicant quand il naît, il est physically formé comme un gars de 40 ans, mais son brain... comment on dit ? son computer brain ? son cerveau, il faut qu'il absorbe tout ce qu'il y a autour, qu'il voie les couleurs, qu'il touche comment sont les choses, il est aware..." (sorti à Harrison Ford pour Blade Runner)

Récapitulatif de sa philosophie ici.


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