Veangeance d'un Terminale L
La Littéraaaatuuuuure est réservé à l'élite, à la caste dominante des humains à l'intelligence sur-développé, aux êtres faits pour l'esprit, dont le rôle est de guider la gigantesque masse des gens cons. Les Littéraires, ils te disent des mots compliqués, ils ont lu des trucs énormes que toi tu te fais chier devant, mais c'est normal toi t'es con. Jamais le littéraire ne se fait chier devant un livre, nonnonnon. Le littéraire ne regarde pas de films par exemple, sauf ceux de Despleschins, parce qu'ils sont longs, mous et cons comme des gros livres, ce qui donne au littéraire l'exquis frisson de plaisir de se sentir supérieur, lorsqu'il déclare aimer ça, devant sa petite bande de faux-derches, avec sa petite clope et sa petite voix de merde.
Répertoire des fantastiques œuvres qu'on se doit d'avoir adoré si on est un littéraire et non un ignoble booof:
Le blanc et le jaune d'oeuf
Fabrice Luchini est un jeune arriviste ambitieux qui ne rêve que de tirer la comtesse Volfoni. Pendant 500 pages, à coup de saloperies bien placé, il parvient à devenir prêtre et représentant de la morale (ouhouhouhouhouh ! Que c'est ironique !) Mais là
TANTANTANTAN !!!
Rebondissement de ouf, il est emprisonné pour avoir buté un type qu'il a fait cocu (ouhouhouhouhouh ! c'est rigolo !) Il attend en prison et essaie de charmer une autre gonzesse. Alors qu'on allait l'empoisonner, cette gonzesse se jette sur le pain au dernier moment pour l'empêcher de manger, ce qui indique bien à Fabrice qu'elle est bien cochonne comme toutes les autres, hahahaha, la ptite garce ! A la fin, Fabrice se fait décapiter et la comtesse fait un bisous à sa gueule toute arraché. Et voilà. C'était l'histoire d'un brave gars qui voulait se faire une donzelle et qui a crevé comme un con !Hahahaha !
Les débuts dans la vie d'un Jeune provincial arrivé à Paris au numéro 7 de la Rue Saint Honoré, à la pension de madame Fourot, qui était une grande maison blanche à deux étages, et qui comprenait douze chambres, dont celles du Jeune provincial était la plus petite car la plus grande était occupé par le grand Romuald du Vivier, banquier de son état, né à Angoulême, homme mature aux cheveux grisonnants mais à l'air encore vigoureux, banquier de son état, ce qui intéressera vivement le jeune provincial arrivé à Paris, et qui occupera sa chambre du dessus et guettera ses allés et venus pendant tout le bouquin pour lui lécher les couilles, car la thune il adore ça, et je vais encore écrire une phrase, parce que putain Balzac, t'étais vraiment qu'un gros connard qui écrivait des pavés immondes rien que pour ton ignoble petit pognon de gros bourgeois de merde
Lucas de Larubandelabaaaampré était un jeune mignon, mais mignon, oh le mignonet qu'il était oh ! Oh ! OH ! LE MIGNON QU'IL ÉTAIT ! Et comme tous les respectables bourgeois de la Restauration Française, il ne pensait qu'à sa gueule et à sa thune. Mais comme il était con comme un balai, il se laissa engrainer dans plein de faux plans, puis creva comme le benêt qu'il était en s'empoisonnant, et je vous en fous 40 pages, parce que ça remplit et que ça bien chialer dans les salons.
Voilà. Une écriture chiante comme un annuaire, des métaphores minables, des histoires de sous-feuilletons télévisuels produits à la chaîne, des tonnes de guimauve de beaux discours pour enrober la cochonnerie et une morale prônant la tartufferie et le droit à toute les saloperie pour le pognon ! LE POGNON ! OUI ! HA ! VOILA CE QU'IL FAUT LEUR SERINER A NOS JEUNES DANS LES LYCEES !!!
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