Vulve

Un article de la désencyclopédie.
Aller à la navigation Aller à la recherche

La vulve est une plante sauvage de la famille des vulviacées. Originaire des Antilles Françaises, elle a été très convoitée par les colons dans le temps des colonies.

Les plus grands explorateurs, dont Napoléon Bonnepatate dépassant la moyenne en taille physique, ont tous sans exception eu une période de fascination pour cette beauté végétale. La fleur de cette plante était tellement mystique qu'un certain Christophe Côlon l'avait appelée Asie.

Description

Il y a plus d’une espèce de vulve, jusqu'à maintenant les brouttanistes et les botaniqueurs en ont catégorisé plus de cent quarante. Il s’agit d’une plante vivace à une fleur. La fleur à l’apparence de la lèvre humaine attendant un baiser, elle a le don particulier de produire une rosée à partir de son calice, plusieurs brouttanistes s’exaspèrent encore à comprendre son fonctionnement.

Étrangement, la fleur d’une vulve est impossible a cueillir, il faut se contenter de la caresser, certains curieux iront plus loin, jusqu’à y introduire un doigt ou autre appendice extérieur de l’anatomie. Il est bien connu que la fleur est l’organe reproducteur d’une plante, chez la vulve seul des pistils peuplent le calice, il s’agit d’une plante femelle sans espèce mâle. Autre étrangeté, il n’y a que les champignons de la famille des phalussiens qui peuvent l’inséminer, pour cette raison, plusieurs abeilles prises de circonspection se tiennent loin de la vulve.

Effet de la vulve

Plus ton abstinence lubrique est exacerbée, plus la vulve devient métaphysique et obsédante, c'est pour cette raison que plusieurs guerres éclatèrent en son nom. Ainsi la guerre de 7 ans a débuté à l'arrivée du printemps lorsque les vulves émergeaient du sol, parfumant de délices olfactifs les continents entourant les Antilles et affolant les plus braves des guerriers et chefs politiques jusqu'à les faire rejeter la paix pépère en laquelle ils se complaisaient sans fleurs. À ce sujet, un obscur poète connu seulement par les élites de la poésie à dénoncé les folies conquérantes dans son recueil nommé : Les Fleurs du mal.

La vulve dans l'art

Ce végétal a inspiré plus d’un artiste, par exemple Gustave Courbet s’est courbé plus d’une fois sur la question au cours de sa carrière florissante de peintre, ``L’origine du monde`` est considéré par les critiques comme étant le chef-d’œuvre vulvaire de tous les temps. Pour ce qui est de l’art moderne, Hans Bellmer a aussi fait le tour de la question avec des centaines de lithographies dénudant l’anatomie complexe des vulviacés.

Sans la vulve, la poésie serait bien pauvre. À partir du XVIe siècle, le poète se devait de produire au moins un poème sur deux à l’éloge de cette plante.

La littérature étant ce qu’elle est, l’on trouve bien des passages abordant le sujet, l’effleurant, mais n’arrivant jamais à vraiment lui rendre sa gloire entière, mis à part une panoplie d’ouvrages théoriques de tout genre qui n’ont rien à voir avec la littérature, il n'y a guère que le roman ‘’Baubo : la vulve mythique’’ par Devereux qui a su capter l’essence du mystère de la vulve.


voir aussi cet article variable : diverses vulves.


Cet article a une chance non nulle de figurer dans le Best Of ou de ne pas en être.
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.