Weeaboo

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« OLOLOLOL Le Japon cé trop bien DESUDESU BAKAAAAAAAAAAAAA »
~ Un penseur Anonyme
« Lé meufs son enkor + sex en Hatsunez Micul o li »
~ Un Jean-Kévin qui cherche à draguer à la Japan Expo après un speed dating loupé
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L'Appellation "Weeaboo" (prononcez Oui-Bouh) est très ancienne. On ne sait pas vraiment de quand elle date. Certaines pistes remontent au Japon Féodal, d'autres remontent au Moyen-Age, on en retrouve des traces dans les témoignages de l'occupation Allemande, et elle refait surface aujourd'hui.

Nous ne savons absolument pas de quand date cette appellation, mais une chose est sûre : Elle est réapparue aujourd'hui. Et elle est peut-être prophétique. L'équipe de la Désencyclopédie vous propose dans cette page une enquête exclusive sur un mot qui a parcouru les âges, pour se retrouver aujourd'hui dans le dialecte de certaines personnes.

Histoire du Terme

Comme mentionné précédemment, on en retrouve plusieurs traces à différentes périodes de l'humanité. Comme si, de manière implicite, on essayait de nous faire passer un message. C'est assez dur à estimer précisément, mais plusieurs traces ont été trouvées.

Les premières traces remontent au Moyen-Age, et plus précisément lors des croisades. Certains brigands avaient pour habitude de prendre du haschisch, qui octroyait selon certains de leurs consommateurs des effets équivalents au dopage d'un cycliste : performances accrues, agir "contre sa volonté", et surtout, être "sponsorisé", entendez par cela le fait d'être engagé par les armées locales. Il est vrai qu'un huluberlu criant : "Marlar Ouakbarbe" en pleine rue avec son canif à l'air avait de quoi impressionner, et ces talents martiaux ont crée des émules. Certains ont voulu créer leur ordre d'assassins, avec leurs propres règles, propres méthodes. On a donc eu par exemple l'ordre des Tapis avec des assassins qui se camouflaient dans d'authentiques tapis roulés sur eux-mêmes, ou encore l'Ordre des "Khut-Librh", adeptes du saut de l'ange, des suicides collectifs, et du parachute ascensionnel, ayant pour commun la réception dans une meule de foin. On a donc eu plein de groupes disparates, n'ayant plus rien à voir avec l'ordre, prenant parfois des noms stupides comme "Dji-hâd- Djôh", ou encore certains utilisant les lépreux qu'ils infiltraient dans les souks et les bordels pour aller réclamer de l'affection à leurs clients.

On en voit également lors du Japon Féodal, lorsque les luttes intestines entre Seigneurs étaient de mise. Certains danseurs traditionnels de fête portaient parfois leur maquillage et leurs grosses têtes sur le champ de bataille, ce qui n'était pas aisé pour combattre, mais qui avait le don de surprendre l'ennemi. On note également que certains avaient des estampes japonaises collées à leur armure, au niveau de leurs parties génitales, avec parfois des coulis de colle traditionnelle fortement odorante mais qui faisait de l'effet envers les opposants et les geishas. Les geishas, également, avaient pour certaines d'entre elles la manie de s'habiller dans d'autres tenues mais avec des décolletés voyants, tout en demandant leur service. Même si certains trouvaient ça vulgaire, elles n'hésitaient pas à tenir tête, les plus farouches étant moins vêtues. Certaines ont eu de la célébrité, comme Mina Nee-Grih, qui était souvent chargée de relever les petits soldats blessés. (L'interprétation s'arrête ici dans les écrits historiques.)

Enfin, lors de l'occupation Allemande, les exactions des Nazis n'étaient peut-être pas la pire chose. Après de nombreuses enquêtes sur les témoignages d'Anne Frank et de gardes de camps, certaines méthodes de torture inhumaines et jamais vues auparavant étaient employées. Par exemple, on peut parler du "Kalinspiel-Kalinspiel" où un malade du typhus devait faire une accolade à plusieurs co-détendus enfermés avec lui, sous peine de mourir. Ou encore, l'obligation de sautiller en rythme dans la cour pour éviter les balles de Luger, la torture ressemblant à une véritable chorégraphie mortelle surnommée par les gardes "Der Birkenau Stahle"

On ne sait pas réellement quelle appellation a su perdurer jusqu'à aujourd'hui, mais une chose est sûre. Elle revient. Et on n'est pas préparés à ça. Même si l'Humanité est assez démunie face à ça, nous remarquons que le terme désigne souvent des personnes partant d'un groupe ou d'un concept pour le dénaturer en ridicule.

Utilisation Actuelle

Actuellement, le terme "Weeaboo" désigne les hybrides entre les kikoolol et les geeks, qui auraient été fortement exposés à de la culture nippone. L'incubation est possible même à l'écoute d'une musique, la découverte d'un groupe d'intérêt, ou par simple effet de mode. Le sujet sera donc adepte d'un language "Kikoolol", sera abonné à Japon Loisirs qui édite chaque semaine les 30 dernières secondes du combat entre Sangroku et Picoleur, qui se retrouveront ensuite face à Cellulite. Il peut aussi s'agir d'une histoire similaire, ou encore d'un roman sur le braconnage et l'histoire d'un clochard capturant des animaux irradiés pour vivre des "aventures" avec eux.

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Le Weeaboo se limitera à ce qu'il sait et ce que ses congénères lisent : Tout comme les soirées Club de Lecture d'E.L James teintées de cuir, ou les groupies de Tokio Hotel, les intérêts sont très limités et entrent parfois en conflit avec les non-initiés, qui sont rejetés ou traités de béotiens. Même si cela n'a rien à voir avec les Hipsters, c'est un phénomène grandissant, qui s'accompagne de plusieurs risques :

-Dégénérescence du langage, façon kikoolol

-Pratique du langage SMS

-Confusion des désirs et des réalités, du fictionnel et du réel (voir Fanfiction, Yaoi)

-Comportement résolument absurde et incompréhensible en société, ponctuée de smileys et de BAKA (Rien à voir avec le Caca, signifie Idiot en Weeaboonais)



Toutefois, même si les Weeaboo peuvent sembler un risque d'abrutissement de la société (qui est déjà pas bien lotie), on remarque que ce comportement peut servir de cache-misère de sa friendzone naturelle, permettant donc à des gens comme notre Jean-Kevin ci-dessus de pouvoir noyer son bâtonnet de poisson dans le sushi d'une jeune ingénue. Les Weeaboo sont donc un phénomène à ne pas négliger, même s'il est au final assez inoffensif et très divertissant. Si vous voyez des Weeaboo, qui sont généralement habillés, maquillés, et avec des perruques similaires et une voix sur-aîgue de jeune pucelle, balancez leur des grains de riz. Vous les verrez miauler tout en léchant les grains de riz pour se substanter.

Par contre, si vous entendez un "Notice Me, Senpai", cela est une demande de Free Hugs, ou pire. Nous vous conseillons de partir pour sauver votre santé mentale.


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