Bataille de Trafalgar
L'issue de la bataille de Trafalgar n'est en fait due qu'à un malheureux malentendu. Les anglais (dont la fourberie n'a pas d'égal) avaient alors abusé de la gentillesse des équipes de France et d'Espagne.
Déroulement
Tout commença en Australie un beau matin vers 1800 alors que le capitaine de l'équipe de France, Villeneuve, était invité à manger une paella chez des amis espagnols. Il se rendit donc au sommet du mont Trafalgar vers 25 heure moins le quart, parce qu'on mange vers 15 heure en Espagne et qu'il y a à peu près 10 heures de décalage horaire là bas. Il avait pris avec lui un Côte du Rhône pour faire genre qu'il s'y connaissait en vin, et s'en allait gaillard sur son bateau. En chemin, il dû s'arrêter au feu rouge. Les feux de ce type sont très courants en Australie et parfois dans d'autres pays, lorsque le soleil tape trop fort ou que des pyromanes, en bons enfants, jouent dans la forêt. Le feu était vraiment long, et le capitaine décida de le brûler, de toute façon il n'y avait personne. Mettre le feu à un feu n'est d'ailleurs pas une mince affaire. Mais laissons la pyrotechnique de côté et recentrons nous sur le sujet principal.
Villeneuve se remit en route pour Trafalgar et croisa en chemin son copain anglais Nelson. Mais les bateaux des deux protagonistes progressaient du même côté de la route, car les anglais ne connaissent pas le bon sens. Voilà les navires qui, peu maniables, sont incapables de s'éviter, et s’éperonnent violemment. Villeneuve se fait engueuler par son pote; l'ami râle (Nelson). Le capitaine français n'arrivera finalement à lui faire entendre raison qu'en l'invitant à venir festoyer avec les espagnols. Nelson s'en alla chercher une pièce de bœuf dans la cale et rejoignit avec quelques amis (qu'il avait incrusté) la paella party, où les français et espagnoles l'attendaient.
Un français fît remarquer à voix haute que le rosbif n'était pas bon, et qu'il sentait mauvais. On ne sait pas exactement à qui était destiné ce commentaire, mais les anglais le prirent pour un cas général et répondirent par des injures. La situation s'envenima, et l'équipe des rouges, qui avaient dissimulée des couteaux et des petits mousquets dans leurs poches, des canons sous la table, et des navires de ligne derrière les arbres passèrent à l'acte. Surpris, les français et les espagnols qui combattirent pourtant bravement, ne purent qu'essuyer une cuisante défaite. Nelson, très douillet, mourût pendant l’affrontement à cause d'une égratignure. Boromir et Oudinot en rigolent encore.
Bilan
Les pertes françaises s’élèvent à 47 tués, 9 blessés, 1 disparu, et 3 bouteilles cassées. Le bilan est bien moins déplorable pour les espagnols puisqu'il n'atteint que 47 tués, 9 blessés, et 1 disparu. Côté rouge, on compte 7 ou 8 morts et un Nelson.
Conséquence
Napoléon a quand même conquis l'Europe.
Citation
"Bonjour messieurs!" Villeneuve à ses hommes au matin de ce jour funeste.
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