Carcassonne

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Ceci est une ébauche de l’article sur Carcassonne, ville d'Occitanie. Vous êtes invité à la compléter.

Géographie

La ville est divisée en deux quartiers par le fleuve Aude : à l’Est la vieille Carcasse appelée aussi Cité du 93 ; à l’Ouest la jeune Carcasse appelée aussi Ville Basse.

La Vieille Carcasse : un ghetto d’immigrés

Au XIXe siècle la Cité n’est plus qu’une ruine habitée par de pauvres ouvriers, raison pour laquelle certains l’appellent la vieille Carcasse [1]. Mais elle fait alors l’objet d’une opération d’amélioration de l’habitat conduite par l’architecte Viollet-le-Duc. Malheureusement la « Cité aux soixante tours » est redevenue de nos jours un quartier mal famé, peuplé majoritairement de touristes étrangers venus de pays sous-développés tels que le Japon, les États-Unis ou la Chine. La Vieille Carcas reste toutefois la vitrine des productions locales, héritières d’un savoir-faire ancestral et unique envié par le monde entier, telle que l’épée en plastique Made in Taïwan ou la boule à neige Made in China.

La Jeune Carcasse : une ville dynamique

La Jeune Carcasse est un quartier festif et animé, particulièrement après la fermeture des magasins à 19 heures quand les racaille déboule a la calash

Histoire

Origine historique

La ville tire son origine d’un siège mené par l’empereur des Francs Charlemagne contre la sarrasine Dame Carcas au VIIIe siècle. On se reportera à la page Dame Carcas pour plus de précision.

Gentilé

Les habitants de Carcassonne sont appelés les Carcasses-au-nez, par référence à la carcasse de cochon lancée par Dame Carcas sur le nez de l’empereur Charlemagne.

Sports locaux

  • On pratique à Carcassonne le lancer de carcasses de cochon, sport inventé au VIIIe siècle par Dame Carcas et dont une variante n'est autre que le Rugby à XV qui se pratiquait autrefois avec un cochonnet vivant. (Certains prétendent que le nom de cette ville dérive de ce jeu et ne serait qu’une contraction de "Carcasse" et de "cochonne" : Carcassochonne puis Carcassonne.)
  • Le concours de flatulences, organisé par l'Académie du cassoulet Prosper Montagné, se déroule tous les ans au château Saint-Martin Trencavel.
  • La pêche aux voix. La voix est un poisson d’eau douce bleu-blanc-rouge vivant dans le fleuve Aude et que l’on pêche à intervalle régulier, généralement au printemps. Les amateurs de ce sport sont regroupés en plusieurs clubs concurrents tels que le P.S. (le Pêcheur Silencieux) et l’U.M.P. (Union des Mangeurs de Poisson). Certains clubs n’hésitent pas à ramener des voix provenant d’autres fleuves que l’Aude pour gagner les concours de pêche. C’est pour cette raison que les dirigeants du club U.M.P. ont été disqualifiés en 2009. Comme partout la multiplication des clubs et la surpêche entrainent une raréfaction des voix qui profite surtout à la F.N. (Fédération Nautique).

Personnalités contemporaines liées à la commune

(Lecture réservée aux Carcasses-au-nez).

Personnalités de la Politique

  • La Bardou. Immobilière mais pas immobile, tente d'être bardou à la fois en courant comme une rugbywomen d'une réunion à l'autre.
  • Le Boisson n°1. Ce Villemachois est parti, vêtu d’un manteau de templier, à l’assaut de la mairie de Carcassonne. Mais il a bu la tasse au premier tour.
  • La Dame Carcas n° 1. C'est l'héroïne qui donna son nom à la ville.
  • La Dame Carcas n° 2. Princesse qui règne en famille sur la Cité. Attaquée dans son royaume de l’UMIH par un André Daguin, elle a su vaillamment le repousser à coup de cochons.
  • La Dame Carcas n° 3. Cette dame dont le prénom évoque une spécialité grecque a été vue pour la dernière fois à la fête Cascarilh de Dame Carcas avec un pendentif en forme de cochon. Nous n’avons plus de nouvelles depuis.
  • La Dame Carcas n° 4. Princesse qui s’est glissée dans la peau de Dame Carcas pour conquérir la mairie dont elle pensait avoir hérité de son père Chesa Ier. Mais telle l’historique Dame Carcas, elle a dû faire un mariage forcé avec l’ennemi pour rester au pouvoir.
  • La Dame Carcas n° 5. La place est à prendre.
  • Le Daro. C’est un animal aux yeux bleus qui ne peut vivre que dans le petit écran et les journaux, raison pour laquelle il passe son temps à se faire remarquer, notamment en survivant à de multiples catastrophes.
  • La Drisse. Sait toujours trouver le sens du vent, qu'il vienne de gauche ou de droite, pour hisser la grande vergue et rester à la barre.
  • Le Lara. On se perd en conjectures pour expliquer l’origine du nom de scène de cet ancien « Bavard ». Est-ce parce qu’il a chanté ses promesses électorales à la manière de Lara Fabian, parce qu’il a conquis la mairie comme une Lara Croft, ou parce qu’il veut y jouer au dictateur sud-américain comme Guillermo Rodríguez Lara ?
  • Les Mercatarliers. On croisait régulièrement ce couple dans une petite auto, accompagné du chat Médiatec ou flanqué en été d’un Francis Huster. Ce couple est actuellement en vacances pour une durée indéterminée.
  • Le Mori(c)aud (البربري). Ce bleu marine domicilié dans le recoin d’un garage de Carcassonne exerce ses talents de gardien dans une prison d’Île de France en espérant faire de même un jour à la mairie.
  • Le Moutarde. Grâce à ses études de droit François Moutarde aurait pu devenir un « Bavard ». Il a préféré la communication avant de rejoindre le cabinet d’un autre « Bavard », Le Lara. Il a troqué le micro contre la cravate.
  • Le Perez. C’est un sans domicile fixe qui dort une partie de la semaine à Carcassonne et l’autre sur les bancs de l’Assemblée nationale.
  • Le Trencavel. Vêtu à la manière d’un chevalier et tenant sous le bras un panier gourmand, on le croise régulièrement à la Cité dont il est le Monsieur Propre.

Personnalités de la culture et des arts

  • L’Anton. Tel Astérix défendant son village gaulois contre l’envahisseur romain, l’Anton est un des derniers « ciutadins » à défendre sa Cité contre les hordes de touristes et le cassoulet en boite.
  • Lo Babel. Ainsi appelée car elle manie les langues de la tour de Babel et les mots du Moyen Âge.
  • Le Barbunogre. En roulant le week-end en direction de Carcassonne vous avez parfois l’impression que votre autoradio a des problèmes. Ne vous inquiétez pas : c’est le Barbunogre qui commente un match de Rugby dans une langue bizarre appelée l’Occitan. Pour trouver le Barbunogre, rien de plus facile : il n’est jamais loin d’un drapeau rouge décoré d’une croix jaune. On le reconnait à sa barbe noire qui fait peur aux enfants, à son ton facétieux et à sa Mirelha qu’il tient par le Braç.
  • Le Blanco. Ainsi nommé à cause de la couleur des cheveux qu’il n’a plus sur le sommet du crâne. Ce berger peut être aperçu certains week-ends en train de mener à la pâture son troupeau de Zamisdelaville à travers les rues de Carcassonne. On le croise aussi à la télévision.
  • Le Calvet. S’escrime à faire vivre la Maison des jeunes et des vieux.
  • Le Dupont. Directeur inamovible du festival de Carcassonne, bientôt classé Monument historique.
  • La Gardel. Une archéologue qui a fait son trou.
  • Le Gascon. Prophète illuminé qui prêche en latin aux visiteurs de la Cité.
  • Le Gérard Menvue-Autant-de-Médailles. Président d’une société savante carcassonnaise, ainsi surnommé car il collectionne les médailles et les récompenses honorifiques.
  • Le Martial. Comme son nom l’indique le Martial est un va-t’en-guerre. Il part en croisade contre tous les pourfendeurs du patrimoine. Certains prétendent que ce n’est qu’un être virtuel qui vit dans un monde étrange que le Barbunogre appelle dans sa langue Cara de Boc[2]. Mais on a parfois la chance de le voir place Carnot, gazouiller avec les oiseaux sur des airs de Luis Mariano.
  • Le Mishka (Мишка). Ce grand ours des cavernes a vécu en famille dans les grottes du Lazaret et de Tautavel avant de parfaire son russe dans l’Oural et au bord de la Neva puis d’élire domicile dans le château comtal de la Cité.
  • Le Monsieur Carcas. C’est un obsédé de la figure de Dame Carcas qu’il voit partout, même là où elle ne se trouve pas. Les mauvaises langues prétendent qu’il possède une poupée gonflable à son effigie. On le rencontre fréquemment dans les lieux mal famés de la jeunesse carcassonnaise tels que la Maison des Mémoires et la Société d’études scientifiques de l’Aude.
  • Le Robin des Bois. Il vit dans les bois de Minerve (le Minerbois) mais on le croise régulièrement dans la Cité où il vient délester le porte-monnaie des amateurs de spectacle et de musique régionaliste. Le Robin des Bois ne dit jamais non, il répond invariablement Oc dans sa langue qui est la même que celle du Barbunogre.
  • Le Sinatora. Il n’y a pas photo, c’est le meilleur.
  • Le Zarno. Pattamodeleur surréaliste.

Personnalités du commerce et de l’industrie

  • Les Benets. Le couple aux milles cochons.
  • Le Boisson n° 2. Le pianiste de la distribution.
  • L’Estudiantin. N’hésite pas à faire la grève de la faim pour gagner sa croute.
  • Le Ferrandis. Cherche à n… tous ses concurrents (le Rambo, le Boisson n°2…) avec son projet Rocadest.
  • Le Grand Donald. A réussi le tour de force de faire aimer le hamburger à des bouffeurs de cassoulet.
  • Le Pignon-sur-Rue. Ainsi surnommé parce qu’après avoir tenu boutique dans l’immobilier il est devenu la vitrine vivante des rues commerçantes de la ville basse où on le croise régulièrement.
  • Le Rambo. Grazaillois ayant réussi à n… Leclerc et Casino avec sa zone du Pont-Rouge.
  • Le Roger. Villemachois qui dégarnit les plantations municipales pour alimenter en aromates son restaurant de la Cité.

Personnalités des sciences

  • Foy Lamovèze, docteur en Ridiculogie, née à Carcassonne en 1901.
  • Albert Fert, prix Nobel de physique. (Et pour une fois ce n’est pas une connerie).
  • Paul Sabatier, prix Nobel de Chimie. (Ça n’est pas une connerie non plus.)

Notes et références

  1. Authentique.
  2. Face (de) Bouc en Français.


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