Comment faire chier ces putains de cyclistes

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Ahhhhh, Les cyclistes... Comme vous le savez tous, ces espèces de vers luisants transgéniques en collants "gay pride", qui se godent le cul sur leur selle profilée, ne servent à rien, à part à faire chier le monde, créer des accidents sur la route et se prendre pour des dieux, alors qu'en général ils n'arrivent pas à pédaler plus de 10 minutes sans avoir le palpitant dans la zone rouge !

Le comportement typique du cycliste

Les différentes catégories de cyclistes

Avant de décrire leur comportement, il faut bien différencier les individus concernés. Car il existe en fait deux catégories de cyclistes :

  • Les VTTistes (je sais pas si ce mot existe, mais on s'en fout) : Ils pratiquent donc le VTT, et on ne les voit presque jamais. Ils prennent plus de plaisir à aller s'ouvrir le crâne sur des rochers pointus qu'à emmerder les gens sur la route. Leur sport est cool, leurs vélos ont de la gueule, c'est du solide, et perso sur la route ils sont loin d'être chiants, et on n'en croise pas souvent. Côté style vestimentaire, il y a de tout, mais c'est généralement du style branché, mélange skateur avec des protections et un casque sur la tête. Ils sont peinards...
  • Les cyclistes "tapettes" : La grande majorité des cyclistes que vous croiserez sur la route, VOTRE route, c'est ceux-là ! Les collants fluos rasés de près avec leur monture en papier à cigarette qui coûte un bras, un oeil, un bout du foie et un orteil ! Ceux-là se prennent pour les rois du bitume ! Ils portent généralement un dossard avec un sponsor aussi crédible que Cochonou ou Monoprix, sur lequel on trouve également un sigle du conseil général du coin (ça fait classe, chez les adeptes de ce sport). Le cycliste tapette porte également des lunettes ridicules, que même un skieur chevronné aurait honte de posséder.

Mode de vie et comportement routier

On va parler des "tarlouzes en collants", puisque c'est ceux-là qui sont responsables de 90 % des emmerdes que nous causent ces putains de cyclistes sur la route.

Leur mode de vie est très particulier : ils se rasent les pattes encore plus souvent qu'une gonzesse, ils se lèvent à 4h30 du matin pour arriver au boulot essoufflés dès 8h00, en ayant mis près de 2h00 à parcourir les 1400 m qui les séparait de leur lieu de travail ! Généralement, au boulot ils sont aussi odieux avec leur collègues (on devrait dire "relations imposés par le contexte professionnel"), qu'avec les voitures qu'ils croisent sur la route au cours de leurs trajets. Le cycliste "tapette" a généralement une très haute estime de lui-même. Taillé comme une crevette asthmatique et anémique, et étant totalement incapable de soulever en même temps deux bouteilles d'eau, il se croit cependant supérieur à la race humaine, parce-que lui, il fait du vélo, quoi ! Il est viril, lui, avec son néoprène luisant flashy emprunté à la dominatrice du coin, vous voyez...

Sur la route, il est infect, coupe les priorités, grille les feux, se dandine du cul et se trémousse à l'arrêt devant votre bagnole, alors que vous venez de vous taper toute une montée de col de montagne à ne pas pouvoir le doubler. Ben oui, un cycliste, même seul occupe un maximum la route, sur toute sa largeur ! Et si vous les croisez en pelotons, alors là, mieux vaux couper le moteur et s'arrêter sur le bas-côté pour essayer de faire passer ses nerfs ! En effet, le cycliste, qui se croit bien évidemment supérieur à la race humaine et à ses lois, estime que la route n'appartient qu'à lui, mais que les lois ne sont valables que pour les cons (nous les conducteurs de voitures). Il prend donc un malin plaisir à zig-zaguer sur toute la voie afin de vous faire jouir de la vue de son petit cul serré de puceau qui se prend pour le vainqueur du tour de France !

Lorsque ça bouchonne, il se remet devant le feu, afin que vous ayez le bonheur de goûter de nouveau au plaisir de vous retaper 25 minutes coincé derrière lui ! Si vous vous serrez d'un côté pour le coincer, il passera de l'autre ! Si le conducteur de derrière vous a vu faire et a pigé votre manœuvre, il essaiera de barrer l'autre côté, mais le cycliste passera quand-même, en n'oubliant pas, bien sûr, de donner un copieux coup de talons, euh... de chaussures, dans la portière du véhicule à côté duquel il passe ! Ben oui quoi, vous croyez quoi ? Il passe lui ! C'est un cycliste, merde! La race supérieure ! Et vous oseriez renier son petit air hautain et suffisant de débile qui se prend pour un dieu, en lui bloquant la route ?? Quel affront !

Il faut agir !!

Là, trop c'est trop ! Il faut réagir bordel ! Et croyez-le ou pas, c'est pas les idées qui manquent...

Quelques-unes des plus efficaces ou des plus connues :

Les techniques légères

Par "techniques légères", on sous-entend l'emploi de techniques ou de procédés n'impliquant pas de modifications au véhicule, qui restera alors strictement d'origine.

  • La technique barbare : "Partageons la route" ?? Okay, je prends le bitume, tu mangeras le trottoir ! Là, comme ça, ça me va ! Cette technique est aussi simple qu'il y parait : le cycliste vous gêne, emplafonnez-le ! Il existe deux principales façon de le pousser : La première, par derrière (ils aiment quand ça rentre par derrière), vous le poussez bien fort en avant. La deuxième, en passant à côté au moment de le doubler, vous vous rabattez bien sec sur lui, pour qu'il aille brouter le pâturage ! Là est la place d'un cycliste : dans un caniveau ! Attention, bien qu'avec un gros 4 x 4 les résultats soient meilleurs et plus spectaculaires, la collision frontale peut jouer des tours, surtout si vous avez un pare-buffle : le cycliste pourrait rester accroché dedans. Privilégier alors la prise en "queue de poisson", bien plus sympa. La technique des poussettes et collisions est de préférence à pratiquer en rase campagne quand il y a peu de témoins. Une variante permet de parler d'une troisième technique : le plantage de freins. Doublez le cycliste et attendez que se présente une belle pente descendante devant vous. En ayant doublé le cycliste, il faut toutefois bien veiller à ne pas trop le distancer, sinon ça va foirer. Une fois arrivé dans la grande descente, cette feignasse de tafiole va prendre tout son élan pour descendre la pente le plus vite sans se fatiguer. C'est alors le meilleur moment pour vous laisser doucement rattraper et tout planter comme un goret au dernier moment ! Radical ! Par-contre, dans ce cas-là, un 4 x 4 est plus qu'indispensable, sinon avec une voiture, vous allez récupérer le cycliste dans votre coffre à travers la vitre AR.
  • La technique "Nacht und Nebel" : Ce qui veut dire "Nuit et Brouillard" en allemand. Pour ce petit tour extrêmement jouissif, il vous faut impérativement un Diesel, de préférence bien pourri et polluant. La suite est simple : au moment de doubler le cycliste, vous lui faites découvrir les joies d'un brouillard bien compact, issu d'un savoureux mélange d'oxydes d'azote, de suies et de CO². Bien évidemment, plus votre moulin est vieux, pourri et polluant, plus l'effet produit est grandiose. On peut toutefois ajouter de l'effet à cette technique grâce à une astuce. Elle consiste à bien encrasser son moteur au préalable. Généralement, deux semaines d'utilisation en roulant comme une limace (tout le temps en sous-régime) suffit à bien remplir de merde un catalyseur et un conduit d'échappement, qui ne demanderont qu'un généreux coup de gaz pour être nettoyés dans l'atmosphère ambiante. Sur les 2.0 litres HDi des Peugeot (206, 306, 406, etc...) ça marche à merveille ! Malheureusement, sur les voitures assez récentes, avec les nouvelles normes anti-pollution et le FAP (filtre à particules), cette technique ne marche plus du tout ! Dommage... Le mode d'emploi est assez simple : vous doublez le cycliste, et au moment de vous rabattre devant lui (en prenant soin de vous rabattre assez près), vous tombez de la 4e vitesse à la deux, et vous faites gueuler le moteur jusqu'à 4.000 tours minutes ! Décrassage assuré ! Et un cancer des poumons, un ! Cette technique allemande a donné naissance à une autre, appelée "Blitzkrieg", que l'on détaillera plus loin.
  • La technique "Douche écossaise" : Un peu banale, mais amène toujours son petit effet : Très simple, lorsque le cycliste est enfin derrière vous, vous videz votre bocal de lave-glace sur lui. Quand il aura bien savouré cette douche d'alcool et d'antigel, il sera de bonne humeur pour le reste de la journée ! Y'a pas de raison que lui soit le seul à faire chier, non ? De même que pour la technique précédente, celle-ci gagne en efficacité dans les montées : en effet, le cycliste sera essoufflé et respirera très fort. Il pourra donc respirer à pleins poumons un doux mélange de résidus imbrûlés et de lave-glace concentré... Cette technique britannique a donné naissance à une autre, appelée "technique de la pieuvre", que l'on détaillera plus loin.
  • La technique "Supporter" : Vous avez l'habitude d'aller soutenir l'équipe de votre village le dimanche matin ? Vous avez donc sûrement quelque-part un klaxon de supporter, non ? Oui, oui, le machin en forme de trompette avec une bouteille de gaz dessous... Ben voilà, si vous êtes avec un passager, au moment de doubler le cycliste, un bon coup de klaxon dans la couenne ! Petite douleur cardiaque à la clé, déstabilisation importante du vélo, voire un crash en bonne et due forme ! Et tout ça sans le toucher ! Elle est pas belle la vie ? En quelque-sorte, vous venez de réinventer le paiement sans contact... Une variante plus trash existe, la technique "SNCF", mais on y reviendra plus tard.
  • La technique "Tirage de câble" : "Tirer un câble", ou pour les moins initiés, "serrer le frein à main", lorsqu'on est bien lancé, ça fait en général un joli bruit (surtout si vous avez une traction). Le crissement atroce de la gomme qui pleure sur le goudron luisant et suranné de nos belles routes de merde est un bruit qui va terroriser le cycliste, qui va alors penser que sa dernière heure est venue ! (si seulement...) En général, les réactions sont les mêmes que pour le klaxon de supporter, mais avec une expression d'effroi en plus, et c'est ce qui est encore plus jouissif ! Quelques précautions toutefois : à ne surtout pas tenter en virage, sinon c'est vous qui allez vous viander et vous aurez l'air bien con ! Ensuite, il vaut mieux éviter si vous avez une voiture propulsion, en gros la plupart des allemandes, sinon, vous allez détruire votre pont ou votre boîte de vitesses, et là-aussi vous aurez l'air con...
  • La technique "Légionnaire" : "Il était bon, il était beau, il sentait bon le sable chaud... Mon légionnaire !" Sauf que celui-là, quand vous l'avez sur le siège droit de votre voiture, il va sentir le chaud tout-court ! Très simple, au moment de doubler le cycliste, restez à sa hauteur, et demandez à votre pote légios de faire le reste ! On entend généralement un gros claquement très sec, suivi d'un "AAAAAHHHHHHHHH !!!!", puis on voit le cycliste repasser devant l'aile droite de la voiture, comme poussé par un élan de motivation ! Ca sent le chaud, oui, parce-qu'un légionnaire qui passe ses journées à pousser de la fonte, quand ça claque la fesse d'un cycliste, ça dégage beaucoup d'énergie !

Les techniques lourdes

Par "techniques lourdes", on sous-entend l'emploi de techniques ou de procédés impliquant des modifications au véhicule, qui présentera alors des caractéristiques et des facultés fort jouissives.

  • La technique "Blitzkrieg" : Restons dans les noms allemands... La technique Blitzkrieg est une dérivation de la Nacht und Nebel, qui consiste à enfumer le cycliste au moment de le doubler. La différence principale vient du procédé permettant d'enfumer la tafiole en collants : Sur la première technique, il s'agit simplement de décrasser violemment son moteur, qui est d'ailleurs forcément un Diesel (si vous arrivez à ça avec votre essence, vous avez un turbo à changer...). Dans la Blitzkrieg, il s'agit là-aussi de produire de la fumée, mais en aidant un peu le moteur avec des artifices judicieusement placés. La technique est simple : il vous faut percer un trou dans l'échappement, près du collecteur, et insérer un injecteur à 8 bars, qui sera relié à une pompe de lave-glace ou d'aquarium, elle même reliée par un tuyau à un bocal ou une bonbonne placée dans le coffre ou à l'endroit que vous voulez. La façon de procéder est simple, vous injectez un liquide dans l'échappement alors que le moteur est en fonction, et une fumée très dense apparaît à la sortie. Le liquide à injecter est celui que vous voulez, mais attention, certains ne servent à rien (l'eau, qui ne produira qu'une vague fumée blanche, genre joint de culasse HS), alors que d'autres bouffent le catalyseur (lave-glace par exemple). À-moins que vous ne l'ayez démonté, et là... De tous ceux testés, le meilleur liquide reste l'huile de vidange : Le résultat est juste atroce, on dirait qu'un pétrolier vient de s'échouer et de s'embraser ! Petites précautions, en hiver, ou si votre huile est trop épaisse, la diluer un peu à l'alcool, afin que le fluide ne soit pas trop épais et ne risque pas de boucher l'(les) injecteur(s).
  • La "Technique de la pieuvre" : Variante améliorée de la douche écossaise. Là aussi, il faut faire un ou plusieurs trous, essentiellement sur le toit ou dans la porte de coffre de votre voiture. Dans ces nouveaux trous, vous installerez des gicleurs de lace-glace, préalablement achetés une misère à la casse du coin, que vous relierez là-aussi à un bidon d'huile de vidange. Le circuit est grosso-merdo du même type que celui qui active le brouillard du Blitzkrieg, et il se peut même que vous ayez un seul réservoir qui alimente les deux systèmes. Attention toutefois, dans cette configuration, le niveau du réservoir peut baisser assez rapidement, étant donné que les deux bidules vont pomper dans le même en même temps. La petite partie compliquée de cette technique consiste à effectuer des recherches aérodynamiques poussées, afin de calculer et mesurer la dynamique d'écoulement des fluides autour de votre véhicule, lorsqu'il est en mouvement. Les turbulences ayant tendance à faire éparpiller les fines gouttelettes, il vous faudra faire de nombreux essais afin de déterminer quelle orientation donner à vos buses pour que le spray magique aille bien dans la direction qui vous convient...
  • La technique "007" : Assez risquée, cette technique consiste à balancer tout un tas de trucs tranchants ou glissants, voire les deux, sur la route derrière vous, pour que le cycliste roule dessus. Si c'est des billes, il va bien se croûter comme une merde, et si c'est des petits clous, il va crever ses peaux petits pneus tout fins. Cela reste en général à éviter car, si c'est efficace sur un cycliste, ça a le défaut de très bien marcher aussi sur une voiture... Ce serait dommage, en ayant voulu niquer un cycliste, d'avoir mis 3 bagnoles au tas derrière vous...
  • La technique "SNCF" : Aussi appelée "les trompes de la mort". Pour user de cette technique extrêmement poilante, il faut malheureusement investir dans du matériel assez lourd. Mais croyez-moi, le jeu en vaut la chandelle ! Elle dérive directement de la technique du supporter, mais cette fois-ci, il vous faut faire un montage complexe avec un compresseur et un klaxon à air comprimé de TGV. Ne me demandez pas ou ça se trouve, mais y'a des mecs qui ont réussi ! il suffit de regarder quelques vidéos sur YouTeub. La puissance de ces klaxons est énorme, donc il faut impérativement le monter à l'extérieur de l'habitacle, sinon vous allez morfler ! En général, à la place de la cage qui tient la roue de secours, c'est un emplacement intéressant. Le principe est le même qu'avec le klaxon de supporter, mais l'effet est juste multiplié par 1.000 ! En général, même un peloton de 50 tafioles sera décimé sur le coup, avec fractures et arrêts cardiaques à la clé ! La meilleure, j'vous dis !


Certaines de ces techniques sont également applicables lorsque vous avez affaire au connard de service en utilitaire qui vous colle au cul sur la route. Les différents klaxons ne lui feront rien, mais une bonne pieuvre ou un Blitz seront des atouts majeurs dans l'entreprise qui visera à lui faire fermer sa gueule au volant de son Berlingot blanc.

Conclusion

Il faut mener la lutte !! En plus, en ce moment c'est les vendanges, donc n'hésitez pas à leur faire déguster quelques vignes, c'est le moment idéal !

Quelques vidéos

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