Désinformation:Don Gaspacho entre la vie et la mort : la France retient son souffle, ferme les yeux, et lâche une caisse

Un article de la désencyclopédie.
Aller à la navigation Aller à la recherche

Don Gaspacho entre la vie et la mort : la France retient son souffle, ferme les yeux, et lâche une caisse

De notre envoyé spécial  PdLC.jpg Pruster de Las Cales - ‎le 16 mars 2017

Payback City, Lituanie — Un suspens digne d'un film d'AccrocheBite, sérieusement les gars, Hitchcock ça veut dire AccrocheBite, et je viens seulement de remarquer ça... NON MAIS RÉVEILLEZ-VOUS QUOI, MERDE !


Don Gaspacho dans le coma

La vengeance est un long fleuve qu'à la fin elle se brise

Rappelez-vous, le 1er décembre 2016, la mort de Kagg90 était annoncée sous couvert de celle de Patrick Bruel et, dans le même message, celle de Don Gaspacho était également prévue... mais si, rappelez-vous, c'était un article super drôle en plus, je suis sûr que j'ai parlé de bites ou de juifs à un moment, et on a bien rigolé respectueusement, lol. MAIS SI, BON SANG ! RAPPELEZ-VOUS BANDE DE CONS !!! BON, ALLEZ, DÉGAGEZ, FOUTEZ-MOI LE CAMP, BORDEL DE MERDE. DE TOUTE FAÇON JE SUPPORTE PLUS VOS TRONCHES DE DÉBILES...

Ils sont partis, Don Gaspacho, et même si je ne peux terminer mon travail pour l'instant, saches que tu ne paies rien pour attendre, c'est gratuit, tu peux attendre autant que tu veux, tu ne paies rien pour ça, c'est moi qui régale. Moi je paie, toi tu attends, et BOUM, tu ne paies rien. Franchement, c'est un bon deal. Moi, si on m'avait dit : « Eh, Ducon, tu ne paies rien pour attendre. », moi j'aurais été là : « Oui, mais je paie quand même pour l'entretien de ne rien payer pour attendre, non ? », et là le gars il m'aurait dit : « Eh ben non. », et là, moi, j'aurais été scié.


Flashback : Un mot anglais qui ne paie rien pour attendre

Pruster : Plus un geste, racaille de Patchouli !
Patchouli : Nan, mais personne sait de qui tu parles quand tu dis "Patchouli".
Pruster : Ben on s'en fout, ils sont partis les gens, non ?
Patchouli : En fait, c'est plus un effet littéraire, on espère quand même qu'il en reste quelques uns.
Pruster : OK, on l'explique dans un soliloque alors ?
Patchouli : C'est quoi, déjà, un soliloque ?
Pruster : Aucune idée.

Patchouli était le nom que Pruster de Las Cales a donné à Don Gaspacho, parce que ça lui faisait penser à Patchouli... voilà, c'est tout, fin du soliloque.

Patchouli : Je pense pas que c'est ça un soliloque.
Pruster : La ferme, racaille de Patchouli ! Pan Pan !

Soliloque visuel : La première balle pénètre sauvagement le lobe d'oreille de Patchou... de Don Gaspacho, laissant un trou de balle dans l'oreille, lol, caca, mdr, prout ! La seconde balle s'enfonce sensuellement dans le lobe temporal droit de Don Gaspacho, évitant les aires de Broca et de Louis la Brocante, mais endommageant gravement l'aire des Cordier, juge et flic. Don Gaspacho git au sol, laissé pour mort. Fin du soliloque visuel.

Patchouli, dans un dernier râle : Nan mais c'est n'importe quoi cette histoire de soliloque visu... argh... argueleguel... gribedeldegrunel... prout.


Flashpresent : un nouveau concept, c'est ce qu'il se passe maintenant

Nous sommes de retour du passé, Patchouli, me dis-je dans un soliloque mental.

Don Patchoulito, intervenant dans mes pensées par télékinésithérapie : Tiens, ça c'est un vrai soliloque. Par contre, c'est pas télékinésie, ni télékinésithérapie...

Intéressant, alors cette balle en uranium aurait irradié ton Aire de Broca, te permettant de verbaliser des pensées par la pensée, c'est incroyable.

Don Patchoulito, intervenant dans mes pensées par télévisualisation : Ouais, incroyable, c'est le mot, c'est tellement incroyable que c'est même incrédible.

Tu as de la chance que ce policier posté à ton chevet nous observe, Patchouli, je ne peux pas t'atteindre tout de suite, mais saches que tu ne paies rien pour attendre, c'est gratuit. Toi t'es là, tu attends, et...

Don Patchoulito, intervenant dans mes pensées par la pensée : Ouais, ouais, je sais... BOUM, je paie rien. Tu peux me gratter le cul, s'il te plait, là je suis dans le coma, mais ça me gratte, genre méga.

Tu es mon ennemi mortel Chinois-Égyptien, mon Nem Isis, mais je ne pourrais souhaiter à personne d'avoir le cul qui gratte sans pouvoir se gratter, alors oui, bravant l'horreur de ta fesse, je vais te gratter, voilà.

Don Patchoulito, intervenant dans mes pensées par la Grèce : AHHHHH, le loser, loooooooser, ça me grattait même pas et tu m'as touché le cul, lol, loooooooser.

Tu ne paie rien pour attendre, lui dis-je dans un soliloque conversationnel, c'est moi qui régale, et toi... BOUM, tu ne paies rien, ce qui est plutôt sympa.


Fin temporaire avant la suite permanente

En plus, j'ai pété, lol.


Soliloque votesque: Ne rien payer pour attendre, c'est :
Vous pouvez voter ci-dessous. Les résultats seront affichés lorsque vous aurez voté.
Vous n’êtes pas autorisé à voir les résultats de ce sondage avant d’avoir vous-même voté.
Il y avait 2 votes depuis l’élaboration du sondage au 8 avril 2019 à 12:51.
poll-id B3BCAD70D4EA919B225E949DD486922A

Cet article a une chance non nulle de figurer dans le Best Of ou de ne pas en être.
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.