La thèse slovaque sur les sorbets
De notre envoyé spécial Eurêka - le 3 juillet 2008
Markus Lyùviskàlii, c'est le nom de ce philosophe slovaque qui en quelques mois avec la parution de son ouvrage "La thèse slovaque sur les sorbet" a divisé le Slovaquie en 4. Agé de 51 ans né dans un village nommé Hjùàkislyà à 90 % agricole, Markus Lyùviskàlii aurait suivi une éducation intensive de la part de ses parents à l'âge de 17 ans, en apprenant à compter de l'infini jusqu'à 1 ou encore en sachant écrire chameau à l'envers et en récitant par cœur dans toutes les combinaisons possibles les couleurs primaires de la synthèse additive des couleurs. Suite à cela et à des expertises intellectuelles Markus el philosophico, comme l'appelle la population ibère, intégra à 40 ans comme le précise la législation slovaque l'Ecole d'Ingénierie Intellectuelle et Philosophique des Arts d'Eveils Contemporains. Il y étudia pendant 2 ans puis finit par obtenir le titre de philosophe slovaque de rang C (il y a appris ce qu'était un puzzle et d'où émanait la complexité intellectuelle de ces derniers), il prolongea ses études de 2 ans encore une fois pour obtenir le rang B (il y a appris la complexité féminine sur le choix d'une Barbie ou plutôt d'une Josette, qui correspond aux Barbies en Slovaquie) et enfin encore 2 ans pour obtenir le rang A (où il appris à détailler un Rubik Cube avec des signes astrologiques). Il a donc étudié 6 ans à Bratislava capitale semi-culturelle de la Slovaquie. Après 4 ans de glandage, il entrepris l'écriture de "La thèse slovaque sur les sorbets".
Comme mentionné ci-dessus cette thèse instaura une controverse et divisa le peuple Slovaque en 4
- Ceux qui continuent de manger des sorbets (majoritaires)
- Ceux qui continuent de manger des surgelés mais plus de sorbet
- Ceux qui ne veulent plus manger de sorbets et de glace
- Et ce qui refusent en tout état de cause d'acheter des surgelés y compris des sorbets (minoritaires)
Tout cela est dû aux 1024 pages de "La thèse slovaque sur les sorbet" qui est l'œuvre d'un cheminement complexe tout au long de ces pages.
Markus a bien voulu me recevoir à son domicile à Reims en France où il est considéré comme un expatrié ayant frôlé la mort en Slovaquie à cause d'une tentative d'attentat politique qui consistait en un lâcher de pékinois dangereux sur sa personne.
Markus a eu le plaisir de nous détailler son cheminement pour arriver à rédiger cette thèse et nous explique la vraie origine du sorbet.
L'origine du sorbet occupe une place importante dans son oeuvre philosophique et après une complexité sans égale où il expliqua qu'avec le phénomène complexe neuro-atomique d'un puzzle Babar, on pouvait déduire que le S de sorbet était le même S que celui du mot Slovaquie, il expliqua donc l'origine du sorbet en disant qu'il fut mis au point en Slovaquie. Il décomposa ensuite le mot sorbet en conclu que la lettre S qui est la première du mot sorbet était la 19 ème lettre de l'alphabet puis que le T qui est la dernière lettre du mot sorbet était la 20ème lettre de l'alphabet, il en conclut donc que le sorbet fut créé en Slovaquie en 1920 puis conclut sur l'origine répugnante du sorbet en 200 pages où il démontra qu'il était fait artisanalement avec de la sueur, de la bave, du rognyou (spécialité slovaque à base de morve et d'eau croupie) de la tomate, de l'orange, et de l'encens saveur menthe et tout cela en reprenant le mot sorbet et sa complexité astro-intello-logique S(ueur)O(range)R(ognyou)B(ave)E(ncens)T(omate).
Cette thèse fondée sur ces trois propriétés drastiques qui constituent l'ossature de son oeuvre ont dégouté la population slovaque qui s'est donc divisée en 4.
Bref ceci engendrant donc la tentative d'attentat sur Markus et son exil. Cependant il prévoit bientôt de sortir une thèse sur les potatoes indochinoises,affaire a suivre!
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