Le mur de Jérusalem remplacera-t-il celui de Berlin ?
De notre envoyé spécial Nafi$$atou - le 21 novembre 2013
Le pape François 1er de Hollande commémore la mémoire des victimes de l’holocauste, à Jérusalem et plaide pour la création d’un mur de Berlin séparant la susdite ville sainte pour protéger les bougnoules des youpins et réciproquement. Mur des lamentations ?
Genre, il va foutre sa merde ailleurs sur un sujet qui ne le concerne pas, tout en donnant raison au régime sioniste construisant depuis des années un mur séparant certains territoires pas forcément légitimes, tout en les faisant chier en demandant que la moitié de Jérusalem soit officiellement restituée aux Chiites, aux Fatimides, Seldjoukides, ou tout autre ordre religieux possédant un acte notarié de propriété. Tout ça pour parler d’autre chose que la situation en France.
La question qui se pose : cette intervention est-elle bien légitime ? Pour être certain de bien savoir répondre à cette question, notre dÉraction est allé interviewer une historienne (de père en fille) reconnue comme spécialiste géopolitique du sujet, Madame Marine Le Pen.
Marine Le Pen : Ben, ça ? C'est un petit peu abusé, non ? Toutes les croisades saintes menées par le passé pour reconquérir Jérusalem sont oubliées ? C’est un scandale, la laïcité ne constitue pas une excuse pour oublier le glorieux passé de la France. A part qu’il est bienséant de foutre la merde entre les juifs et les arabes hors de la France, je vois, par exemple, cinq bonnes raisons de contester cette analyse, comme dirait un Barak Obama, nègre et guignolisé par des gauchisants de Canal+.
Alors, pour être sûre que vous suivez bien, je vais compter sur mes doigts, et je vous invite à faire de même.Marine Le Pen : Car métaphoriquement le philosophe contemporain et frontiste de la première heure, Boby Lapointe, disait :
Pourtant couper des têtes, Disait-il ça m'embête, C'est un truc idiot, Ca salit mon billot. |
En effet, n'oublions pas qu'à l'époque, on n'avait pas encore inventé le Jex-Four. Bonjour derrière une crémation pour nettoyer les traces de suies... Le ramonage, de la cheminée du four : c'était du boulot !
A cette époque de restriction, le nettoyage des fours se faisait à l'aide d'éponges-grattoirs à base de cheveux et de savon fabriqué avec de la graisse corporelle, ce qui d'ailleurs permet de démontrer les bons usages de la filière de recyclage écologique de l'époque, que nous promouvons aussi et certains pourraient prendre exemple de nos jours plutôt que de suggérer des écotaxes absurdes. Et l'huile de coude n'était pas comptée en supplément.Marine Le Pen : BON ! ADMETTONS. Mais quelle considération a-t-on pour ces honnêtes travailleurs ? Aucune ! Alors qu'une gauche UMPSisante se plaint que des gauchistes anarchisants s’indignent d’un arrêt des fours de Florange ? Qu’ils n’ont pas nettoyés depuis des années ? Je re-cite le poète Boby Lapointe :
N’avait jamais de trêve, Et jamais de repos, Car en place de grève, Il faisait son boulot. |
Ces travailleurs-là ne comptaient pas leurs heures, mais pas 35 en tout cas comme ces rebuts d’un stalinisme atavique promu par Martine Aubry : eux, au moins, ils ne faisaient pas grève et ne comptaient pas leurs heures de travail !
Où va-t-on, ma brave dame ?Nafissatou : Brave dame ? je vous résume.
Un doigt Deux doigts Trois doigts Quatre doigts Ma main! |
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