Voilà; c'est pas fini...
De notre envoyé spécial Nafi$$atou - le 12 janvier 2015
Même si c'est pas fini, j'espère qu'on a passé un cap horrible et terrible.
Car il y aura forcément un avant et un après Charlie, qui commence aujourd'hui.
Doit-on avoir peur pour sa liberté individuelle, et est-ce le prix à payer pour la liberté collective ? Quels outils sont nécessaires pour combattre l'inculture abjecte de larves brimées dans leur jeunesse parce qu'ils faisaient pipi au lit ? Et qui retrouvent une pseudo-exaltation dans le discours d'illuminés qui ne font plus caca, tellement ils sont propres sur eux ? Enfin seulement d'après eux.
Ensuite, outre les discours insupportables des ennemis de la liberté d'expression qui tentent de récupérer politiquement une situation certes déjà largement politiquement récupérée, la question promet un vaste débat. Que je ne saurais trancher. Quelle restriction à la liberté individuelle est-on prêts à accepter pour éviter les humeurs sanglantes liées à des couches sales ou des draps tâchés ?
Je renvoie donc tous les politiques qui nous gouvernent, nous ont gouverné ou vont un jour nous gouverner, voir même aussi les rares lecteurs d'ici à de la philosophie classique :
Et j'atténue le propos : même sur la dÉ, on a le droit à un article pseudo-sérieux par acte de barbarie commis à côté de chez soi. Merde, on va finir comme wikipedia ? Fait chier.