Faune et flore du Valais

Un article de la désencyclopédie.
Aller à la navigation Aller à la recherche
Searchtool.jpg Cette article fait partie intégrante de l'article Valais


Faune

  • Modzon: petite vache agée entre 1 année et 2 ans
  • Mouton : Animal craignant le loup et se vengeant sur les ressortissants valaisans lorsqu’ils sont en exil dans le Nord de l’Allemagne.

Le mouton est pourchassé par les écologistes car disent-ils : " il est est un loup pour la végétation".
Car c'est bien connu ovis arboribus lupus est.
A Evionnaz, les moutons ont mêêêeeme droit à un cimetière dans la zone industrielle de la commune.

  • Loup : Animal arrivant en Valais en hélicoptère, très sensible aux accidents de chasse-neige et finissant empaillé chez le Gouverneur.
  • Dahu : Animal dissymétrique légendaire dont les pattes de droite sont plus courtes que celles de gauche, ou vice-versa; on distingue en effet le dahu "dextrogyre" (ou "exogyre") et le dahut "sinistrogire" (ou "névogyre"), selon qu'il se déplace en direction de la droite ou de la gauche. Il marche à flanc de la montagne pour parer à cette anomalie et éviter d'être déséquilibré. Un chasseur de dahut procédera de la manière suivante : il se placera face à l'animal, qui prendra alors peur. En voulant fuir, il fera demi-tour, ce qui engendrera un déséquilibre au niveau de la hauteur de ses pattes. Il tombera donc jusqu'au fond de la pente, où le chasseur n'aura plus qu'à le cueillir.

La légende raconte qu'un dahu aux poils argentés et doué de la parole erre sur les flancs des montagnes valaisannes. Les rares observateurs de cet animal insaisissable ont mystérieusement perdu la vue, l'usage de leurs mains et l'usage de la parole; certains disent qu'ils auraient donnés leur langue au chat. Ce mystérieux dahut serait reconnaissable grâce à une particularité peu commune chez les dahuts, en effet chacun de ses côtés serait plus court que l'autre

  • Gypaète barbu: Grand oiseau amateur de pot-au-feu. Il dédaigne les légumes pour ne manger que la moelle des os. A fait plusieurs tentatives pour repeupler le Valais mais a chaque fois été abattu par des chasseurs amateurs eux-mêmes de pot-au-feu mais qui voulaient conserver la moelle pour eux.
  • Gazoduc : Animal dont les journaux annoncèrent la traversée du Valais à coup de gros titres qui inquiétèrent les Valaisans et les plongèrent dans une profonde angoisse à l'idée qu'une bête, peut-être dangereuse, mais en tout cas inconnue (et donc forcément un peu dangereuse dans la conception du monde de tout valaisan) allait s'élancer d'un galop agile à travers leur beau pays. Heureusement le Gazoduc, toujours présent en Valais, laisse les troupeaux tranquilles et ne s'attaque pas aux Valaisans.
  • Éléphant rose : Animal double se déplaçant souvent en troupeau, mais aussi tout seul. Extrêmement abondant en Valais, surtout les fins de semaine. De nombreux témoignages d'automobiliste confirment sa présence sur les routes et autoroutes du canton. Il semble qu'il se reproduit moins sur les routes depuis l'adoption du 0.5 pour mille.
  • Vache d’Hérens ou Reine : Seule véritable vache, les autres du plateau étant des toques (cf tocson) ou baquânes (red holstein). Lutte pour sa hiérarchie. La finale cantonale des combats de Reines, à Aproz, reste l'évènement le plus suivi après la coupe du monde et les matchs du FC Sion et donne une magnifique occasion de "faire la piste" (cf. plus loin).
  • Christophe Darbellay: Singe politicien atteint d'une calvitie précoce, il ignore s'il est communiste ou capitaliste,
  • Poule ferrée : Poule d'Isérables qui ne tombe jamais dans la Faraz grâce aux habiles maréchaux-ferrants bédjuis.
  • Rhônasson : Animal mythique ne se reproduisant qu'en Valais. Sa particularité : il est toujours en mouvement mais il ne marche pas, il court. Cité en particulier dans le texte de l'hymne patriotique valaisan : "Vallée où le rhônasson court..."
  • Le Belge : Bipède saisonnier de montagne, appelé également Hollandais (cf article sur les canaris). Sa caractéristique principale est sa capacité étonnante à rouler tantôt au milieu de la route, tantôt au bord, mais toujours à vitesse réduite sauf en cas de ligne droite, et ce afin d'empêcher son prédateur valaisan de le dépasser. En hiver, il a généralement tendance à monter en station en voiture (lorsqu'il y parvient), et à redescendre quelques heures plus tard par la voie des airs.Le Belge, quand il sait parler, nous fait découvrir des lieux de villégiature inconnus en Valais comme : Nandazzze, Lansse ou la Forclazze.
  • FA-18 du Val d'Hérens : oiseau de chasse qui fait partie d'une espèce protégée, facilement reconnaissable par le bruit qu'il fait. En sa présence, le touriste du Val d'Hérens migre sous d'autres cieux plus calmes.
  • Les canaris : touristes fréquentant régulièrement nos contrées, adeptes du 30 à l'heure généralisé, sauf en ligne droite (cf article sur le belge), aisément reconnaissables grâce à leurs plaques jaune canari, d'où leur surnom, sur lesquelles figurent les initiales de leur devise préférée quand ils viennent chez nous: Nur Luft!!! Vous doutez encore??? Inspectez seulement le coffre de leur véhicule!!!
  • Oskar Freysinger : Perroquet bruyant, pénible, adorant être dans les journaux, nuisible dont les plumes noires sont en forme de queue de cheval. Son habitat a une étrange tendance à prendre feu. Dans le Haut-Valais on le nomme le Frei Sänger (Trouvère).
  • La canto : espèce en voie de reproduction, traquant sans cesse ses proies les plus faibles.
  • Ours : Animal théoriquement disparu il y a très longtemps. Même si le plus grand spécimen chassé (au monde !)trône dans le chalet-musée de Narcisse Seppey, ancien chef du service de la chasse et ami du Gouverneur (poste qu'il dit avoir refusé naguère), un spécimen est pourtant toujours bien vivant du côté de Bagnes. Il fait régulièrement des incursions jusqu'à Sion. Jusqu'à il y a peu, il s'attaquait surtout à Thomas Burgener (collègue du Gouverneur; attention, pas du même parti!). Désormais, c'est Jean-Michel Cina (autre collègue du Gouverneur, mais du même parti) qui est victime de ses coups de griffe. Si c’est Djibril (en arabe), c’est un grand footballeur, si c’est Gabriel (en hébreu), c’est la force de Dieu.

on peut le trouver au Stade de Tourbillon ou autre lors des matchs du FC Sion

  • Oberwalliser : mi homme mi bête cette espèce est unique au monde et caractéristique de la faune valaisane au fond à gauche ( à droite aussi d'ailleurs). Inscrite au patrimoine mondiale de l'unesco pour son habitat dans la région d'Aletsch. Tout le monde les voit, tout le monde les entend mais aucun dictionnaire n'est en mesure de les décrire
  • Bas-Valaisans : Version vachement bête, une mixture culturelle entres les francophones des alpes (con-savoiardes) et les culturels du très haut niveau du Haut-Valais. Il aime très bien de ce faire pêter le plan par les valaisans supérieurs qui dominent la culture, le tourisme (!) et l'intelligence de la région. Le bas-valaisan typique est fièr sur ces fabriques à Monthey, qui sont soutenus en-dessous de la haute industrie du Valais Supérieur comme la Lonza à Viège. Par hasard, dans le Valais Central à Chippis en trouve encore une fois la même constellation. Les bas-valaisans par des grands parts sont des peuples romain qui se gênent de leur racines. Ils peuvent gardes les mêmes plaques comme les hauts-valaisans parce que on est sympa en haut-Valais.
  • Le Saint-Bernard : Canidé pouvant être confondu par les canaris avec le bouvier Bernois en raison de ses teintes, portant la plupart du temps un large collier souvent de cuir (pour sa solidité en cas de lourde charge) auquel il est possible d'attacher un barillet de gnôle. On prétend que ce breuvage sert à réchauffer les personnes qu'ont secourus ces chiens dans les avalanches, mais on s'autorise souvent a penser qu'il s'agit d'un genre de solution de secours pour tout Valaisan, quel qu'il soit, si par malheur ce dernier était à court de fendant ou de kirsch: le malheureux chien pourrait alors secourir un homme en bravant parfois les conditions rudes de cette région. Son origine est très controversée en effet, chacun du Haut-savoyard et du Valaisan se dispute l'origine du Saint-Bernard. Deux types de Saint-Bernard existent: celui à poil long et celui à poil court. Il semblerait que ce dernier soit plus apte à se déplacer dans la neige, secourir des victimes de cale-sèche, car la neige ne leur colle pas aux poils et ne les gène que très peu. La mutation poil long est apparue lorsque Jules César voulut faire du Valais un zoo. Le célébrissime empereur l'aurait alors conservé, voyant que ce bel animal au regard si vide (dû au effluves émanant constamment du barillet, le rendant saoul) plaisait énormément aux visiteurs.

Flore

On y trouve exclusivement des plantations de substances qui font rire. La première s'appelle vigne ou raisin et fait rire les habitants de Bordeaux et environs. La deuxième est la fameuse plante cannabis indica servant à remplir des oreillers et ça aussi ça fait rire! Il existe aussi quelques champignons aux vertus aphrodisiaques mais Bernard Rappaz a créé un commando spécial pour les détruire sous prétexte que cela fait une concurrence déloyale à sa production de graines pour coussins.

  • Le thuya : Malgré son origine exotique, cette espèce végétale proche du genévrier et du cyprès (aussi « si près »), est très répandue dans la plaine du Rhône et sur les bas coteaux. Cet arbuste, planté en haie dense, a pour fonction de cacher celle du voisin. Cette espèce pourrait bien être en voie de disparition car elle est fortement menacée par les déjections des chiens dont les maîtres n’ont pas suivi de cours d’éducation. L’autorité cantonale envisage même, en plus de la muselière, l’obligation de faire porter à chaque chien une couche-culotte. Le thuya à pour terroir de prédilection la commune d'Ardon
  • La gentiane : Très jolie fleur qui pousse un peu partout en Valais mais qui semble plus connue par les valaisans pour le liquide qu'on peut en tirer. Pour se donner bonne conscience ils disent que "c'est bon pour la digestion!!!"
  • L'abricot du Valais : Fruit saisonnier du Valais ressemblant fort aux abricots qu'on peut trouver en grandes surfaces, à la seule différence qu'il n'est trouvable quasiment que dans les huttes primitives arborant le bord des routes de vallons. Cultivé dans la plaine, son arbre est très envahissant, des vergers entiers sont très accessibles au public. Le Valaisan moyen en est très fier. Ce fruit semble en effet délicieux, puisque très apprécié par ses prédateurs. Son seul aspect négatif est sa rareté. Malgré l'abondance de cet arbre, il est difficile d'en trouver ses fruits lorsqu'ils sont mûrs. En effet, ces fruits sont souvent cueillis prématurément pour coïncider parfaitement avec la vague de migration de canaris,leur principal prédateur naturel, cités plus haut.

Enfin, ce fruit n'ayant une saveur particulière durant seulement quelques semaines de la période estivale, les Valaisans transforment le surplus n'ayant pas été consommé en alcool. De cette manière, il leur est possible de retrouver cette précieuse saveur tout au long de l'année. Ils s'en servent (très volontiers) un petit verre, spécialement lorsque l'hiver se fait rude. Cette liqueur se retrouve donc parfois dans le barillet attaché au collier des Saint-Bernards, lorsqu'ils ont des Valaisans a secourir, étant coincés dans un chalet dépourvu d'une quelconque solution alcoolisée (ce qui se fait de plus en plus rare en Valais).

  • L'Eöl-hyène : Grand arbre de béton armé qui a été introduit à la fin du XXè siècle. Il s'est relativement beaucoup reproduit depuis. Malgré sa masse et de son abondance commençant à troubler le paysage, (ce qui produit une certaine réticence de la part des Bas-Valaisans), cet arbre a plutôt tendance à être placé dans la catégorie des espèces menaçantes (entraînant une modification du biotope et l'extinction de nombreuses espèces, dont les touristes).


Cet article a une chance non nulle de figurer dans le Best Of ou de ne pas en être.
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.