Final Fantasy XII

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Final Fantasy XII est un jeu vidéo. Il est le seul situé entre Final Fantasy XI et Final Fantasy XIII, à l’exception de Final Fantasy XII turbo, Final Fantasy XII alpha, Final Fantasy XII turbo alpha prime et la fameuse édition spéciale Final Fantasy XII zéro dans laquelle le coup de pied « hélicoptère » de Shun-Li est remplacé par une planche à pain. Final Fantasy XII succède à Final Fantasy XI le grand qui succède à Final Fantasy X le moche qui succède à Final Fantasy IX le neuvième qui succède à Final Fantasy VIII le avant-neuvième qui succède à Final Fantasy VII l’éjaculateur qui succède à Final Fantasy VI le priapique qui succède à Final Fantasy V levé qui succède à Final Fantasy IV le grand-père qui succède à Final Fantasy III dans la famille je demande la fille qui succède à Final Fantasy II qui devait probablement être le second épisode de la série qui succède à Final Fantasy qui est le seul épisode qui ne permette pas d’apprendre les chiffres romains.

Synopsis

Hormis le fait que, comme pout tout épisode, l’histoire et les personnages sont totalement nouveaux et originaux, Final Fantasy XII reprend tout de même certains éléments de ses prédécesseurs, comme les Chocobos (trucs assez proches d’Anne Roumanoff, mais en plus drôles et moins poilus) les nains volants, les gens mal sapés, les personnages (jeunes, blonds et pas très futés, sauf les gentils méchants, voir plus bas) et l’histoire, toujours identique d’un épisode à l’autre.

Histoire

Le joueur incarne Roger, un adolescent blond au Q.I limité mais amené à sauver le royaume des gentils accablé par le royaume des méchants. Dans sa quête il est aidé par des amis gentils, dont l’un(e) va probablement mourir à un moment, des amis moins gentils qui eux vont rester, car c’est toujours les meilleurs qui s’en vont, et des amis méchants dont notre crédule héros ne découvrira la perfidie que trop tard, ritournelle scénaristique permettant de se retaper la moitié du jeu pour récupérer un artéfact que l’on avait déjà récupéré lors de la première moitié du jeu.

Variété

La grande force des Final Fantasy réside dans sa variété unique, puisque identique d’un épisode à l’autre. Femmes lapin, chiens d’aveugle, monstres en caca qui brulent ou gèlent, monstres en poils qui jettent des éclairs ou de petits cailloux contendants, monstres mort qui jettent des mort ou monstres vivants qui jettent des vivants. Ou le contraire. Le XIIeme épisode ne déroge pas à la règle, avec des femmes lapin, des chiens d’aveugle, des monstres en caca qui brulent ou gèlent, des monstres en poils qui jettent des éclairs ou de petits cailloux contendants, des monstres mort qui jettent des mort ou des monstres vivants qui jettent des vivants. Ou le contraire.

Réalisation

Graphiquement dans la moyenne, les graphismes du jeu se composent de pixels ; il se joue sur une télé. La plupart des images bougent, mais des fois il y en a des statiques. Comme pour chaque épisode la musique est simplement somptueuse, en grande partie composée par Jean Michel Jarre à la trompette et Chimène Badi en Bigniou. La version française comporte les voix anglaises du jeu, entièrement doublées par des poulets plumés neurasthéniques pour coller à la profondeur du scénario.

Gameplay

La grande nouveauté de cet épisode est d’être développé sur une console tellement puissante Playstation 2 qu’elle peut même jouer à votre place, grâce aux gambits (a ne pas confondre avec les gants de bite, bracelets spéciaux du jeu qui permettent de multiplier les PP par le nombre de pas effectués, moins les MP au prorata inverse de la quantité de potions dans l’inventaire des personnage dont le nom commence par la lettre P, racine le nombre de Gilles (piécettes en forme de Philippe Gildas représentant la monnaie du jeu) dépensées dans l’armurerie « tout à 10 Gilles » du village du montGueux sur Ouzillon (après le désert aride de rabat-tes-ragnagna). En effet ces derniers (les gambits, vous suivez ?) utilisent les possibilités online de la play2 pour communiquer avec l’atelier clandestin chinois le plus proche de chez vous, ou quelques enfants maltraités prennent alors en temps réel le contrôle des personnages au sein de votre partie. Il est aussi à noter que le jeu se passe en temps réel (i.e. quand vous avez passé une heure à jouer devant votre console il s’est effectivement passé une heure), sauf pendant les longues cinématiques barbantes (car c’est bien connu, quand on dort le temps passe plus vite). On notera enfin de toutes nouvelles anciennes déjà connues possibilités de coup spéciaux comme les mystes, ou il est possible d’invoquer frères Robyn et Rand Miller qui viendront lancer des cds de l’édition Saturn de leur jeu sur les vilains, infligeant nombre de dégâts ; et les impulsions, succession de flashs colorés provoquant des ardeurs épileptiques sur le joueur et infligeant des gros dommages de QI.

Fin mot

A la fin, le gentil gagne et les méchants perdent. Le gentil embrasse la gentille, laissant supposer une ribambelle de morveux. Le très vilain méchant meurt dans d’atroces souffrances. Tout le monde est heureux et libre. Mais on sent poindre dans cette perfection la sournoise perfidie du mal et l’approche d’une suite pas pareille (i.e. le gentil sera toujours blond mais avec une coupe plus à la mode), dont on murmure déjà dans les milieux indiscrets qu’elle pourrait s’appeler Final Fantasy XIII.

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