Forum:VBO/Désinformation:Moscou entièrement bloquée par le beau temps

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Le nominé | Retaper dessus

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Pour

  1. J'ai ri. Pikachu - Pikaicone.png - Viens Pikater mars 14, 2013 à 14:18 (UTC)
  2. J'ai ri, Adams. --Psychoparten,  Combattant sanguinaire, mais humaniste mars 14, 2013 à 15:54 (UTC)
  3. Super.
  4. Tom et Jerry. χλςmith ΤrismégistΞ Pendu or.png mars 17, 2013 à 08:46 (UTC)
    Attends, si Jerry=Gerry Adams=terroristes irlandais, Tom=connards d'impérialistes britiches ? --Psychoparten,  Combattant sanguinaire, mais humaniste mars 17, 2013 à 10:47 (UTC)
  5. Excellent! Idée géniale exploitée au mieux! TIZ0ZI0 IS BACK !!! mars 19, 2013 à 13:58 (UTC)

Contre

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Critiques constructives

Chapô

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« C’est la première fois que je vois ça, et pourtant ça fait plus de 70 ans que j’habite à Moscou », nous a déclaré d’après Google Translate Vladimir Kotionov, un solide grand-père croisé dans les rues de la capitale russe. Depuis deux jours en effet, Moscou est littéralement prise au piège de ce qui semble être la plus grosse vague de beau temps hivernal qu’elle n’ait jamais connue. Météo Russie, l’organisme officiel du pays, a relevé depuis mardi dernier des températures avoisinant les 12°C sous abri, mais le ressenti pouvait les faire grimper à 13 voire 13,5°C en raison de la persistance d’un vent chaud en provenance du sud. Un record historique pour une mi-mars.

L'alerte rouge comme la Place a beau avoir été déclenchée à temps, de nombreux moscovites ont été piégés par le beau temps. À peine les 2 à 3 mètres de neige traditionnels avaient ils fondu sous l’action soudaine de la chaleur, plusieurs voitures et camions se sont retrouvés immobilisés sur les grands axes, entraînant avec eux selon le célèbre effet dominov tous les autres véhicules derrière eux. « Je roulais tranquillement sur le périphérique couvert de neige à 130 km/h avec mon 4x4 quand tout à coup je me suis trouvé face à face avec un véritable ruban de bitume entièrement noir. Ça m’a arrêté net et je n’ai pas pu repartir. J’ai eu de la chance que personne ne me rentre dedans », constate tristement Boris Lowinski, qui traversait Moscou pour se rendre à son travail. Comme beaucoup d’autres infortunés, Boris est coincé depuis presque deux jours sur le périphérique. « Il y a des enfants et des personnes âgées avec nous mais j’ai vraiment l’impression que les autorités ne font pas grand-chose pour venir nous secourir ou même nous donner des informations », déplore-t-il. À 11 heures ce jeudi, on estimait à 25 000 le nombre de véhicules bloqués, avec donc au moins le double de personnes à bord.