Forum:VBO/Introspection - Un épisode musical
- Nomination Psychoparten, Combattant sanguinaire, mais humaniste 10 mai 2009 à 11:48 (UTC)
- 5 / 1 décision claire. WiiKend - Ceci était une signature 19 mai 2009 à 09:16 (UTC)
Votes Best Of
Pour
- Apparemment notre ami et néanmoins gros trou du cul voudrait mettre le veto à la moindre de mes nominations, donc faisons un essai. Ah et j'ai essayé de relire ce texte sobre récemment, et même comme ça il est valable. Psychoparten, Combattant sanguinaire, mais humaniste 10 mai 2009 à 11:48 (UTC)
- je disais bien "nomination de ta gueule de connard", et pas "nomination par toi d'un article", mais c'est bien que ca anime utilement ta masse amorphe en meme temps que ca te donne l'opportunité d'exhiber ton niveau de compréhension comme à la foire. way to go asshole ! mdrrr — THNOT admin | Votez ! | discu | mon livre d'or | 10 mai 2009 à 12:24 (UTC)
- Un texte saturé de références réjouissantes, un humour sans concessions, bref, Jean-Marie Bigard est au mieux de sa forme du 14 mai au 30 juin au Casino de Paris. --Marie Irène 10 mai 2009 à 12:21 (UTC) Sinon, l'article Introspection - Un épisode musical est bien. --Marie Irène 10 mai 2009 à 12:21 (UTC)
- Un excellent article de Corocore. WiiKend - Ceci était une signature 10 mai 2009 à 13:14 (UTC)
- je trouve rien de bien intelligent à dire, mais j'ai envie de voter pour --RTGH Pg d dscssn 13 mai 2009 à 13:53 (UTC)
- Très bonne illitérature. -- Zalibus 15 mai 2009 à 12:28 (UTC)
Contre
- ca m'a l'air d'un patchwork de références/plagiats (bbboouuuhhh !!!!!). forcément c'est très bien écrit, et y'a rien de neuf (si on connait la technique d'arrangement "narratif à la pulp fiction", comme dit l'auteur). je veux bien revoir mon interprétation si l'auteur m'explique où il voulait en venir, un truc que j'aurais zappé. — THNOT admin | Votez ! | discu | mon livre d'or | 10 mai 2009 à 12:52 (UTC)
- Dans ton cul ! lol mdrrr WiiKend - Ceci était une signature 10 mai 2009 à 15:29 (UTC)
- C’est oune excellente question, très pertinente et vraiment, vraiment yé vous rémercie de mé la poser.Yé souis avant tout un animateur d’espace, un modeleur de vide. Eeeeeee, quand yé créé cé n’est pas moi qui vais vers l’histoire, c’est l’histoire qui viens vers moi, hein ? dans oune sorte d’irrrrésistible appel à l’écritoure, oune sorte d’osmose entre les lettres, l’écran et, et, et l’alchimie dou corps. Alors cé texte s’appouie avant tout, eeeee, comme vous l’avez si finement remarqué, eeeeee … sur des playiats honteux.Le système narratif, qui est aussi honteusement playié sour le film Poulp Fiction, eeeeeee, m’est très cher, car c’est oune sorte de processous déstrouctoureur d’intemporalité, n’est-ce-pas. Eeeeee, la trame de l’histoire en est altérée et cela révèle oune sorte de chronique d’oune mort annoncée si yé pouis dire. Tout le monde il peut voir ces indices à travers le texte, hein ? et pouis encore on remarque que dans la plupart des œuvres playiées sans vergogne, n’est-ce-pas, eeeeee, lé personnage principal meurt à la fin ( Fight Club, Vincent, lé cours métrage de Tim Bourton, le Corbeau, Le Grand Détournement, Poulp Fiction, les Misérables, Dead Zone…) hein ? mais pas dans toutes( Le Sens de la Vie, Orange mécanique… ), eeeeee, comme si yavais voulou inconsciemment, eeeee … brouiller les chemins, hein ? De même la façon avec la mousique, parfois Falling in love with you qui évoque… eeeee … comment vous dites le mot ? … l’Amour … ou The End qui évoque, eeeeee… la fin, n’est-ce-pas, eeeeee … alors que White Rabbit, par exemple, n’évoque qué oune piloule qui vous rend plous grand, oune qui vous rend plous pétit, et celle qué vous donne maman né fait rien dou tout, hein ? Pouis il y a la symbolique de l’œil crévé, n’est-ce pas, à un moment, c’est oun thème récourrent chez moi, un peu, hein ? lé personnage principal sé fait créver oun œil et donc il ne se voit loui-même plous que d’un œil, eeeeeee, ça symbolise l’image qué l’on sé fait de soi-même, qui n’est yamais totalement conforme à la réalité, n’est-ce-pas, lé fait qué oune partie de nous-même nous est invisible, hein ? Evidemment, lé véritable esthète dévine qu’il y a oun message caché, eeeee … où veut-il donc en venir, hein ? peut-être oune sorte de révélation enfouie plous profond derrière ces lignes, n’est-ce pas, eeeee… et bien c’est lé cas. Si vous prenez l’année dé poublication eeeeee … ou dé sortie au cinéma dé chacoune des œuvres playiées, hein ? dans leur ordre dé citation chronoloyique ( une fois la chronoloyie, eeeee … natourelle, rétablie, si yé pouis dire, eeeee …) qué vous les moultipliez par quinze virgule trois et que vous en soustrayez, eeeee … le total des années de paroution des mousiques élevé au carré, vous obtenez oune souite de chiffres, n’est-ce-pas. En remplaçant chaque chiffre, eeeee … par la lettre qui précède celle qui loui correspond dans l’alphabet, hein ? vous obtenez oune phrase. Et voilà, hein ? C’est tout cé qué yé à dire à cé souyet. L'auteur13 mai 2009 à 00:56 (UTC)
- j'ai envie de gerber --RTGH Pg d dscssn 13 mai 2009 à 12:46 (UTC)
- C’est oune excellente question, très pertinente et vraiment, vraiment yé vous rémercie de mé la poser.Yé souis avant tout un animateur d’espace, un modeleur de vide. Eeeeeee, quand yé créé cé n’est pas moi qui vais vers l’histoire, c’est l’histoire qui viens vers moi, hein ? dans oune sorte d’irrrrésistible appel à l’écritoure, oune sorte d’osmose entre les lettres, l’écran et, et, et l’alchimie dou corps. Alors cé texte s’appouie avant tout, eeeee, comme vous l’avez si finement remarqué, eeeeee … sur des playiats honteux.Le système narratif, qui est aussi honteusement playié sour le film Poulp Fiction, eeeeeee, m’est très cher, car c’est oune sorte de processous déstrouctoureur d’intemporalité, n’est-ce-pas. Eeeeee, la trame de l’histoire en est altérée et cela révèle oune sorte de chronique d’oune mort annoncée si yé pouis dire. Tout le monde il peut voir ces indices à travers le texte, hein ? et pouis encore on remarque que dans la plupart des œuvres playiées sans vergogne, n’est-ce-pas, eeeeee, lé personnage principal meurt à la fin ( Fight Club, Vincent, lé cours métrage de Tim Bourton, le Corbeau, Le Grand Détournement, Poulp Fiction, les Misérables, Dead Zone…) hein ? mais pas dans toutes( Le Sens de la Vie, Orange mécanique… ), eeeeee, comme si yavais voulou inconsciemment, eeeee … brouiller les chemins, hein ? De même la façon avec la mousique, parfois Falling in love with you qui évoque… eeeee … comment vous dites le mot ? … l’Amour … ou The End qui évoque, eeeeee… la fin, n’est-ce-pas, eeeeee … alors que White Rabbit, par exemple, n’évoque qué oune piloule qui vous rend plous grand, oune qui vous rend plous pétit, et celle qué vous donne maman né fait rien dou tout, hein ? Pouis il y a la symbolique de l’œil crévé, n’est-ce pas, à un moment, c’est oun thème récourrent chez moi, un peu, hein ? lé personnage principal sé fait créver oun œil et donc il ne se voit loui-même plous que d’un œil, eeeeeee, ça symbolise l’image qué l’on sé fait de soi-même, qui n’est yamais totalement conforme à la réalité, n’est-ce-pas, lé fait qué oune partie de nous-même nous est invisible, hein ? Evidemment, lé véritable esthète dévine qu’il y a oun message caché, eeeee … où veut-il donc en venir, hein ? peut-être oune sorte de révélation enfouie plous profond derrière ces lignes, n’est-ce pas, eeeee… et bien c’est lé cas. Si vous prenez l’année dé poublication eeeeee … ou dé sortie au cinéma dé chacoune des œuvres playiées, hein ? dans leur ordre dé citation chronoloyique ( une fois la chronoloyie, eeeee … natourelle, rétablie, si yé pouis dire, eeeee …) qué vous les moultipliez par quinze virgule trois et que vous en soustrayez, eeeee … le total des années de paroution des mousiques élevé au carré, vous obtenez oune souite de chiffres, n’est-ce-pas. En remplaçant chaque chiffre, eeeee … par la lettre qui précède celle qui loui correspond dans l’alphabet, hein ? vous obtenez oune phrase. Et voilà, hein ? C’est tout cé qué yé à dire à cé souyet. L'auteur13 mai 2009 à 00:56 (UTC)
- Dans ton cul ! lol mdrrr WiiKend - Ceci était une signature 10 mai 2009 à 15:29 (UTC)
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Critiques constructives
Chapô
On entend quelques chuchotements dans la pénombre. Un projecteur s'allume et éclaire la scène où un homme avec une tête d'éléphant et des bras démesurément longs accompagné d'un transsexuel en mini-jupe s'approchent de leurs micros.
"Bonsoir. L'auteur de cet article nous a envoyé à sa place pour vous présenter le spectacle parce qu'il a peur de se recevoir une bouteille ou un objet contondant sur la gueule. En effet, l'article expose certains faits...de sa vie."
"Pour tenter de vous faire avaler la pilule, il a décidé de mettre un fond sonore pour toutes les scènes de l'article, et afin de renforcer l'illusion de la réalité qui ne manquera pas de vous assaillir."
Il était une fois...
Je m'éveillai et observai les fissures et irrégularités du plafond. Il était tard le soir ou tôt le matin et j'étais allongé sur mon canapé, une canette de bière Amsterdam à la main. J'ai posé le pied droit sur le sol, puis le pied gauche et suis parvenu à me mettre debout. J'ai promené mes doigts sur le mur jusqu'à un coin où j'ai uriné avec plaisir, tandis que les premières mesures de "Jungle Boogie" de Kool & The Gang retentissaient quelque part alentours. On entendait tout un tas de petits craquements et une certaine altération du son qui indiquait que ce dernier provenait d'un vinyl.
J'étais tranquillement en train de mordiller la petite table du salon, quand soudain, j'entendis résonner le bruit de coups répétés contre le battant de la porte d'entrée. Je m'approchai prudemment de la porte et marquais un court moment d'arrêt afin d'écouter ma propre respiration dans l'espoir de deviner ce qui se tramait-là dehors. Je déverrouillai avec précautions et entrouvrais la porte en laissant la chaîne de sécurité. C'était Gonzo, éminent docteur en psychologie, journalisme et tendinite du poignet. J'enlevai la chaîne de sécurité et le laissai entrer.
Max était absorbé par la construction d'une pipe en fil de fer tandis que l'Aztec, en pyjama, dormait dans un énorme fauteuil-sac poubelle.