G pour Gogeta

Gagné ! Que ta grande gueule cesse de geindre, gamin, garde ton calme ou brise la glace mais gare à toi, car ma goupille est dégainée ! Ce me grise, qu'ainsi regroupés, deux gars te fassent face et la grâce de te dégourdir à la grecque grâce à leur gros gourdin. Garce ! Toi le grand gus déganté, qui me mets en garde et je me gausse, tu t'es gouré de gloire ! D'un geste j'agrandis ce que tu gardes groupé, grise la mine grasse que tu veux gaillarde, te gère comme les gens gèrent une grippe ou des guilis : Tu es mon Saint Graal, tu me sers d'agapes et en général, je me goinfre ! Gigolo de guinguette, guenon qui guinche pour qu'on l'engrosse, goupil qui griffe, gros gland ! Ce doit être illégal d'être ton égal... (kamehameha, un vélo apparaît) un vélo d'apparemment Agrippe ce guidon et grimpe, garave toi et lâche moi la grappe, sale gale galopante ! Je digère mal ton engeance agaçante ! À te gargariser gaiement je gage que tu gardes pour sûr ton gain, et c'est de bonne guerre. Mais mon garçon, tu gaspilles ta guigne à me guetter gaiement de ton regard hagard. Gicle ! Déguerpis ! Ou que mon glaive grave dans ton gras toute la gurne de ta grossièreté, jusqu'à ce que tes gargarismes étouffent tes gesticulations grand guignolesques et que dégouline de l'agar agar jusque dans tes guêtres ! Tu ne t'agenouilles pas...à ta guise ! Mais il est, gogol, urgent que tu glanes à quel genre de guerrier t'as grave bagarré les gonades, car c'est pas Le Gorafi ici, ça va être gore je te garantis ! Alors sans m'égarer davantage, car t'aguicher n'est guère une gageure, voici la grande graine que ton groin redoute, Cet agent au garde-à-vous dont tu regrettes d'avoir gratté la guérite, Le gars dont le poing tu goûtes, qui ta ganache va arranger vite, Tu m'auras engagé, moi Gogeta, ton obligé, Et même si j'enrage de te faire des gravas que je vais dégager. Garlic tu peux m'appeler... G

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