Genève
Genève (prononcé jnèèèève) parfois appelée Calvingrad, est une ville française sur sol helvétique dans laquelle se baladent les laquais des institutions internationales. Ville communiste ultra-libérale internationale avant tout, siège de nombreuses autres organisations internationales et de banques, a 200'000 habitants la nuit et 800'000 la journée lorsqu'elle est envahie de frontaliers français et de petits esclaves vaudois vils, complexés et insignifiants. Gros village ou petite ville, capitale de la Suisse (ce que tout le monde, sauf les Genevois, semble ignorer), son unique fait d'armes remonte à plus de 400 ans, lorsqu'Isaac Mercier repoussa à lui tout seul, et avec une main dans le dos, une coalition de Savoyards, islamistes, Chinois et petits hommes verts.
Hymne: "Le Gen'vois staïle" de Laurent Nicolet | |
Devise: "Post évasion fiscale, luxe" | |
Capitale | Paris |
Langues officielles | Le genevois, le français et l'anglais |
Système politique | Non identifié |
Parti au pouvoir | Tous en même temps |
Chef de l'État | L'argent-roi |
Héros régional | Isaac "Savoyator" Mercier |
Indépendance | 2002 (création de la zone €uro) |
Monnaie | Toutes les monnaies sont bienvenues |
Religions | Protestantisme, catholicisme, argent, stupre, luxure, Dédé Hédiger (déchu) |
Population | 400'000 personnes + 400'000 Français, Vaudois et Valaisans au titre de Départements et Territoires d'Outre-Mer |
Géographie
Genève est une petite ville. Enfin, tout dépend du référentiel évidemment. Par rapport à Pékin, c'est un centre commercial, pour les pêcheurs du village de petits vaudois complexés situé à 60 km au Nord-Est c'est vachement grand, presque aussi énorme que Paris.
La ville est construite près du célèbre Lac de Genève, appelé à tort lac Léman par la poignée de pêcheurs complexés vivant dans le village cité un peu plus haut. Elle est traversée par le fleuve Genève, également connu sous le nom de Rhône chez les gens sans éducation. Comble du chic en urbanisme, le bien-nommé Quartier des Banques est situé à proximité du Quartier des Hôtels de Luxe.
Le climat de Genève est assez ennuyeux avec ses 250 jours de pluie en hiver, printemps, automne, début et fin de l'été, et ses 50 jours de beau temps lors de la canicule annuelle. Le reste se partage entre nuit, brouillard et amendes de stationnement.
Histoire
Premiers âges
Les premiers habitants de la région s'appelaient Allobroges, ce terme est une déformation de l'exclamation "Allo ?? Abrège* !" car il semble que les indigènes de cette province gauloise avaient une forte tendance à la logorrhée.
En allobrogeanais, "Genève" signifie "misérables cahutes sises à chaque extrémité d'un pont sur le fleuve émissaire au bout du grand lac". On appréciera la concision de cet idiome.
Des fouilles récentes ont permis la mise à jour de 4x4 circulant probablement dans les rues de la ville dès 1950 av. J.C.
Temps historiques
Jules César rend compte de la ville dans sa Guerre des Gaules, où il précise notamment : "Dîner chez Lipp. Bon mais cher : compter 60-80 francs par personne. Cadre chic idéal pour draguer les barbares. Attention à ne pas prendre une trop grosse légion, les places de parking sont limitées."
C'est à partir de 1536 que Genève, alors une bourgade tranquille, fut bousculée par un dénommé Calvin (Jean, Foutre) qui vint foutre le chenit en interdisant le catholicisme, la masturbation et les jeux-vidéos. Cette morale un peu rigide permet aux locaux de comprendre que Dieu n'est pas opposé au secret bancaire, de sorte que les premiers établissements de crédit, dominés par des religieux adeptes du Veau d'Or, s'installent dans la ville.
Temps hystériques
L'événement fondateur de l'identité genevoise est l'Escalade, compétition guerrière organisée dans la nuit du 11 au 12 décembre 1602. Des Lausannois, jaloux de la renommée du Servette Football Club, se déguisent en Savoyards et tentent de prendre la ville. Heureusement, Isaac Mercier veillait chez la mère Royaume et put les défaire, le temps que sa soupe refroidisse un peu. Vaincus, les assaillants durent signer une charte dans laquelle ils promettaient de venir travailler à la prospérité de la ville durant un trois dix siècles. C'est suite à cet évènement fort en histoire que fut institué le jeûne genevois, (pour le vieux Genevois, voir : Dédé Hédiger) le jeudi qui suit le premier dimanche de septembre, où l'on empêche les Vaudois de gagner de quoi manger pendant que les Genevois partent en week-end avec Easyjet.
Population
Attention! Le Genevois n'est pas un Suisse, il est un Genevois. Le Valaisan aussi est un Genevois, mais préfère le nier pour payer moins d'impôts. Quant au Genevois qui a un chalet en Valais et des plaques du même coin pour sa bagnole, c'est pour les mêmes raisons.
La population genevoise est majoritairement française entre 8h et 17h30 environ. Le reste du temps, elle se compose de Portugais, Arabes, Latinos, Kosovars, personnels de l'ONU et Alain Delon. Tous habitent cependant dans le canton de Vaud. On estime que 87,78% des Genevois souffrent du syndrome français, caractérisé par une apologie et exagération de leur lieu d'habitation et de leur personne.
Économie
L'économie genevoise repose en pratique sur l'exploitation des pays du tiers monde voisins, tels Vaud ou la France, d'où elle importe sa main-d'oeuvre et auxquels elle revend des services bancaires et du chocolat.
Le Genevois est travailleur, du moment que ça ne fatigue pas et qu'on peut le facturer à quelqu'un d'autre : c'est ce qui explique la proportion élevée de banquiers et d'avocats dans la population.
Pour toutes les tâches d'intendance, le Canton fait appel depuis plusieurs millénaires à une plèbe docile et corvéable constituée d'esclaves vaudois et français.
La ville est particulièrement riche en pétrole au mois d'août.
Argent
Le salaire moyen mensuel Genevois avoisine le PIB de la Grande-Bretagne, auquel il faut soustraire les impôts, l'assurance-maladie obligatoire et les frais de recyclage du corps en cas de décès.
Le prix moyen de la location mensuelle d'un appartement de taille moyenne est inconnu puisqu'en moyenne, 319% des logements sont occupés par des sous-sous-sous-sous locataires. On estime toutefois que ça équivaut à peu près à l'achat d'une maison en Normandie. Les problèmes d'argent que rencontrent les genevois sont limités aux liasses de billets trop épaisses pour passer sous le guichet des quatre vingt sept mille trois cent cinquante neuf banques privées que compte le canton.
Afin de se prémunir contre la mendicité, la loi stipule que tout citoyen genevois doit disposer en permanence de sept mille francs suisses en liquide dans son portefeuille.
Culture
Austère, comme Calvin.
Langue
À Genève, on ne parle ni suisse ni français, on parle genevois. En genevois, on dit Genève et non G'nève comme dans les autres cantons quand leurs habitants veulent faire semblant de savoir se conduire dans la capitale. En revanche, on dit gen'vois et pas g'nevois comme certains pêcheurs pourraient le penser.
Pour dire bonjour on lance un franc "Adieu !". Comme ça si on s'est trompé de personne, on peut toujours faire croire qu'on saluait quelqu'un qui vient de partir, juste derrière.
Tourisme
Le Genevois aime découvrir le monde, et profite pour cela d'un aéroport ultramoderne qui lui permet de faire son shopping à Paris, Londres, New York ou Étrembières.
Le Jet d'eau, célébrissime symbole phallico-aquatique du bout du lac et allégorie du Genevois cherchant à péter plus haut que son, euh, voisin, fonctionne d'une manière que peu de gens connaissent exactement. Le jet fonctionne en fait au pétrole mais, comme on est en Suisse, le jet est nettoyé et ressemble donc à de l'eau. À noter que durant l'Euro08 (la manif footballesque, pas le passage à la monnaie européenne), cet emblème liquide fut transformé en bilboquet géant, qui perdit néanmoins de sa superbe lorsqu'un jour de grosse bise (ce fameux petit vent qui souffle 363 jours par an) le ballon se déchira (c'est tellement rare, la bise à G'nève, qu'un tel incident était totalement imprévisible). Le ballon fut quand même réparé à temps et personne ne tira de pénalty avec.
L'horloge fleurie permet de se fournir en cannabis, et a été récemment élu "Monument le plus nul"[réf. nécessaire]. Paris a la Tour Eiffel, New York la Statue de la Liberté et Genève une putain d'horloge fleurie.
Le"Salon de l'Auto' attire chaque année plusieurs centaines de milliers de bourbines venus découvrir comment "tuner" leur Smart et visiter le "quartier chaud" et ses actives hôtesses, souvent doté(e)s d'attributs dits mâles. Mais il s'agit simplement d'une sorte de loterie: la surprise est au déballage. Si vous découvrez un service 3 pièces, vous avez le droit de rejouer (contre paiement).
Il y a environ 19 pharmacies dans chaque rue, densité d'implantation dépassée seulement par les bistrots.
Autre joyeuseté : le concours de crottes de chien sur les trottoirs de la ville. L'origine de cette tradition remonte à celle du tourisme qui fit son apparition fin du 19e siècle. En effet, le folklore local voulait qu'après une visite de la ville, l'étranger marche du pied gauche sur un étron encore chaud, ceci afin de lui porter bonheur dans la suite de son périple vers l'arrière-pays genevois, la campagne, bref le canton de Vaud. Aujourd'hui, afin de perpétuer cette coutume, des chiens sont lâchés chaque matin vers 6h30 (après que les balayeuses soient passées) puis de nouveau vers 23h00 (après que les balayeuses soient rentrées) de manière que les piétons puissent bénéficier d'un maximum de chances tout au long de la journée mais aussi de la nuit. Notons que, dès les aurores, les maîtres sifflent stridemment et les chient aboient à gorge déployée afin d'annoncer la bonne nouvelle aux habitants et être ainsi sûrs d'offrir dès le petit matin la plus grande des félicités à la ville.
Vie nocturne
- De 18h à 20h : After-works
- Après 20h : aucune donnée. L'omerta est de mise.
Il semble possible de faire un "sans-faute" : fermeture de la dernière boîte + ouverture du premier bistrot à 6h.
Sports
Genève est dotée d'un somptueux stade multiusages et multifonctions au nom évocateur et poétique de "Stade de Genève", dont le coût est estimé à 6'000 milliards de dollars, ou deux fois le coût de la guerre en Irak (que Genève n'a pu envahir vu qu'elle avait déjà cet emprunt sur le dos). Des rumeurs non confirmées y auraient signalé la présence épisodique d'une équipe de foot. D'autres rumeurs affirment qu'il y aurait même parfois des petits concerts, pour autant que la scène ne soit pas plus grande que 2 mètre sur 2, dimensions maximales pour pouvoir franchir les portes du stade. Cela permet de produire des concerts intimistes, et de remplir facilement les 337 places dans les gradins. En revanche, les spectacles pyrotechniques sont interdits, en cause la toiture en plastique recyclé facilement inflammable.
Genève possède également une somptueuse patinoire dans laquelle évolue le club de hockey sur glace de la ville, le Canadien de Montréal.
Transports
Voir SUV.
Voiture
La population dispose en moyenne de trois véhicules 4x4 par personne, bien pratiques pour aller travailler à la banque, faire ses courses au supermarché, aller dans la Vieille Ville ou escalader les prix de l'immobilier (CHF 30'000/m² d'altitude). Le conducteur de 4x4 a généralement besoin de places de parc d'environ 80 m² pour avoir une chance de réussir à se garer en moins de dix manœuvres.
Un pont sur (ou un tunnel sous) la rade aurait été aperçu, mais il pourrait en fait s'agir du monstre du Loch Ness.
La limite de vitesse en ville est de 50 km/h pour les voitures et 250 km/h pour les scooters et autres véhicules sportifs étrangers. Des concours de vitesse sont organisés pour la population, avec des radars astucieusement dispersés dans la ville de manière que tout un chacun puisse participer.
Depuis 2008, le parc de radars genevois n'est plus rechargé par la police cantonale. En effet, les radars à pellicule étant devenus obsolètes depuis que la france s'est dotée d'un parc de radars numériques, la police genevoise considère que la recharge manuelle des radars à pellicule est une perte de temps, la criminalité ne cessant d'augmenter. On ne saurait lui donner tort, elle a mis en avant de solides arguments, la simple présence d'un radar vide étant tout aussi dissuasive que celle d'un radar chargé. Ainsi, le canton n'envisage pas de renouveler son parc de radar avant 2025, date à laquelle les genevois pourraient s'apercevoir que les radars ne sont plus rechargés.
Tramways
Soixante lignes de tramway permettent de se rendre du Quartier des Banques à la gare Cornavin, où dorment les Vaudois. Le prix du billet plein tarif est de 3 francs suisses. Une vraie bonne affaire, surtout si l'on songe que, pour l'obtenir, on doit jouer avec un distributeur en forme de machine à sous qui rend la monnaie sous la forme d'un ticket de crédit à cumuler puis à convertir dans l'un des trois bureaux bondés et ouverts de 13h58 à 14h12 tous les 36 du mois, sauf pendant les Fêtes parce que faudrait voir à pas abuser, oh!
Il est également possible d'apprendre gratuitement le roumain et la guitare pendant son trajet. Enfin, pour le même prix, deux types de papier hygiénique (parfum "TDG - Tribune des Gaulois" pour les lendemains de fête ou "20 minutes" pour ceux qui ne gâchent pas leur plaisir) vous sont gracieusement offerts à tous les arrêts, ainsi que sous les sièges.
Certaines lignes de tram sont prévues pour relier Genève à ses bidonvilles. Au début du siècle, des travaux d'une envergure sans précédent (10km de voies) ont été engagés pour relier Genève à Meyrin. Ces travaux sont encore aujourd'hui menés de main de maître par les élus des deux communes. Le tracé, judicieusement étudié, évite soigneusement les zones les plus habitées du bidonville. Il servira à vérifier le système de direction des roues, la théorie sur l'élasticité des métaux et à exercer les nouveaux conducteurs venus du tiers monde voisin.
La limite de vitesse est de 5 km/h, et les trams ont l'obligation de faire halte à chaque intersection. Les chauffeurs ont droit à une pause syndicale de plusieurs minutes à chaque arrêt afin de lire quelques articles de la presse gratuite quotidienne ou de remplir une grille de Sudoku.
CEVA
Abréviation de Cher Envahissant Vain et Absurde, le CEVA est un projet de RER (fin des travaux prévue en 2016, fin réelle des travaux probable vers 2100), mais adapté aux spécificités genevoises (beaucoup plus cher que le RER parisien pour une distance ridiculement plus courte). La principale inutilité de ce projet est de faciliter l'accès vers Genève aux habitants du pays du tiers monde voisin (Annemasse principalement), et accessoirement de rendre la circulation impossible à l'intérieur de Genève à cause des travaux qu'il va générer.
À noter que ce projet a réussi l'exploit unique d'être en dépassement de budget avant même le commencement des travaux. Étant donné sa nature particulière (cher et inutile), ce projet est soutenu par la quasi-totalité des habitants et de la classe politique genevoise.
Logement
Il n'y en a pas et ils sont beaucoup trop chers. C'est la raison pour laquelle le Genevois redevient un Français entre 17h30 et 8h00. Le Français, quant à lui, s'exile alors loin dans la montagne pour ne pas déranger le Genevois qui a besoin de calme et de quiétude pour regarder ses émissions préférées, entre autres Schlageparade sur la Télévision Soviéto-Romande.
Squats
Genève est aussi célèbre pour ses nombreux squats, un mouvement qui permet à des créatifs d'avant-garde de transformer en favelas des immeubles bourgeois. À intervalles réguliers, de grandes fêtes de quartiers sont organisées autour des squats, en particulier au début et surtout à la fin du squat, cérémonie dite de l'évacuation. Les créatifs sont alors tellement fatigués par leurs recherches artistiques que la police est obligée de les porter à l'extérieur des immeubles. A noter que ces squats, qui formaient un des rares lieux de culture à Genève, n'existent plus depuis le début des années 2000.
Politique
Genève était une des trois dernières villes au monde avec Pyongyang et Pékin, a avoir été dirigée par un maire communiste, André Hediger dit Dédé-la-Menace. Parmi ses plus importantes contributions, on peut mentionner la guerre contre le terrorisme les contraventions, qu'il a malheureusement perdue.
Comme dans tout endroit qui se dirige bien, le parlement est à droite et l'exécutif à gauche. Ou l'inverse. Mais quoi qu'il en soit, les partis ne comptent pas vraiment à Genève, puisqu'une tradition séculaire veut que les sièges du parlement soient attribués, à gauche, aux élus qui brassent de l'air et, à droite, à ceux qui en pompent. De cette manière, le bâtiment dispose d'une excellente aération et la ville a reçu plusieurs prix Nobel la récompensant d'avoir mis au point la première climatisation au monde à énergie totalement renouvelable.
Quelle que soit l'appartenance politique des élus, ceux-ci ont la particularité - conformément à la vieille tradition genevoise, de ne jamais rien faire comme tout le monde - de toujours s'appliquer à prendre des décisions pour le moins originales, parfois saugrenues, souvent inutiles. Pour le peu de temps qu'ils passent aux séances du parlement - séances qui sont d'ailleurs retransmises en direct sur Léman Bleu, la grande chaîne nationale genevoise, en passe de remplacer CNN - les parlementaires mettent toute leur énergie à concocter des lois intelligentes et pratiques pour le bonheur de leurs bien-aimés concitoyens. Quelques exemples des idées issues de leurs cerveaux féconds: rendre obligatoire le port de muselière pour les yorkshires et les chihuahuas, bloquer des rues en été pour y installer des constructions douteuses dans le cadre de l'opération "La rue est à vous" (sic), ou encore interdire autoriser interdire autoriser interdire autoriser interdire la fumée dans les lieux publics.
Sécurité et défense
Genève est avant tout protégée par la Suisse et par le secret bancaire. Mais, situé à proximité, sous de faux airs de centre international pour la recherche nucléaire, le dénommé CERN (Centre européen de recherche nucléaire) dissimule une terrible arme secrète destinée à protéger Genève dans l'hypothèse d'une invasion barbare en provenance du village de pêcheurs voisin. La rumeur dit qu'il s'agit d'une machine capable de produire des trous noirs et, par là même, d'aspirer le pays entier, avec les milliards qu'il contient. C'est sans doute la raison pour laquelle Genève n'a plus jamais osé s'en servir depuis sa disparition de l'Atlantide. Cependant, des rumeurs encore non vérifiées prétendent que ce dispositif aurait aussi été utilisé par nombre de banques locales pour faire disparaître des milliards en 2007-2008, ce qui serait la cause de la crise de la finance mondiale de cette période.
La sécurité intérieure du canton et de la ville est assurée par une police forte, dotée du droit de tuer, sans nécessité de se justifier, les policiers bénéficiant d'une immunité totale face à la justice. Les policiers sont très soutenus par le milieu politique et par leur hiérarchie, ce qui leur permet d'être hautement respectés par les malandrins et brigands qui, par erreur ou mal informés, se seraient retrouvés à Genève. En effet, la simple réputation de la police genevoise suffit à éloigner tous les criminels qui préfèrent se frotter à des polices plus permissives et moins répressives, telles que la police chinoise, le KGB russe ou la police ivoirienne.
Le problème du trafic de drogue est quasiment inconnu dans la région genevoise, grâce notamment à l'activité soutenue et coordonnée du monde politique, du pouvoir judiciaire et des services de la police des étrangers. Laurent Moutinot, ancien Conseiller d'État fort apprécié et grand penseur genevois, avait même déclaré, à l'apogée de son règne éclairé: "Genève est une ville sûre". Cet adage a été repris sur des plaques ornées d'or et a été affiché sur les voies d'accès principales du canton. Il est souvent photographié par les touristes japonais après leur déposition au commissariat.
Dans les quartiers chauds des Pâquis et des Eaux-Vives, seul no man's land du canton, la sécurité a été confiée aux "agents spéciaux de ville", police spécialement formée à la prévention des délits. Rares en effet sont les victimes d'agressions ou autres sévices qui osent s'aventurer dans ces quartiers, ce qui permet de baisser significativement la statistique des délits, grâce à une politique misant sur l'immobilisation des moyens de transport public et sur l'inacessibilité de ces quartiers en voiture particulière.
La prison locale offre trois menus, dont un végétarien.
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