L'Arbre du coin

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Rare photo d'un Arbre du coin affichant une enseigne en français zemmourien

Non, L'« Arbre du coin » ne désigne pas que l'arbre au fond de votre jardin de 1000m carrés qui représente la fierté du monde occidental. C'est une expression, plus communément "Pakis" qui désigne, en Europe, un petit magasin situé aux 4 coins d'une rue et d'une ville tenu par des Arbres d'Arbrarie. S'installant extrêmement vite après son arrivée en France, les gérants arbres des "Arbres du coin'" sont désignés par Zemmour sur C8 le 12 avril 2020 comme "concurrents étrangers non négligeables que Carrefour ferait mieux de racheter au plus vite pour empêcher de voir des français fumer la chicha aux 4 coins de nos rues et de les voir manger de la viande Hallal qui ruinerait nos sociétés françaises tels que Herta, car j'aime le goût des choses simples, ou Aoste, qui me fait penser à la saucisse du bon prêtre français qui habitait à côté de ma synagogue.". Il rajoutera un mois plus tard que "ces commerces sont comme les juifs, une fois concentrés intensément en France ils prétendront être légitime de notre terre et seront écouté par les Etats-Unis. Surtout que depuis que du pétrole a été découvert en Nord-Pas-de-Calais, sous la maison de la soeur et femme de la mère de la cousine de mon poto Jean Cul. "

Ce terme est devenu un élément incontournable de la vie parisienne, comme l'écrit en 2015 Jean-Marie Lepen dans Le racisme c'est les autres : « Depuis des décennies, à Paris, l’Arabe du coin est désigné comme le commerce de banlieue qui coûte un bras à nos assurances françaises en termes de bris de vitre et de feu de camp dans la réserve. C'est le commerce à ouvrir facilement avec peu de démarches, uniquement pour les étrangers qui profitent des aides. Ces arbres du coin n'hésitent d'ailleurs pas à s'installer dans les quartiers de gares afin de narguer nos courageux sdfs français qui font la manche de 6h à 22h, par tout les temps, alors que ces "Arbres du coin"

Histoire

Selon l'excellent Eric Zemmour spécialiste de l'immigration Zemmourienne à la française, il s'agit d'un phénomène ancien : « Celui qu'on a pris l'habitude d'appeler l'arabe du coin existe depuis la chute de la république hitlérienne en l'an 1945, snif"

Zemmour explique qu'ils «ont envahis l'ancienne métropole, dès le lendemain de la décolonisation. Ils ont conquis d'abord les banlieues. Puis les quartiers du centre, où Parisiens et Nord-pas-de-Calaisiens ont d'ailleurs finis au chômage. "

Jawad, le bon samaritain de France et loueur de surfaces commerciales, lui, explique tout une autre version "bein on m'a demandé de louer mes surfaces donc je les ai loués"

Une invasion ethnique

Des minorités usant d'esclaves bancs

Le phénomène des épiceries arbres de Paris correspond à l'envahissement d'une ethnie, puisque la majorité des commerçants proviennent d'Albérie, de Carthage, et du Sahara.

Toujours selon l'excellent Eric Zemmour , « la plupart de ces « arbres » sont soit des Mozart bites (qui sont des petits êtres étranges qui arrivent à s'autosucer la teub tout en écoutant du Mozart, ce grand auteur de chants germains), soit des Gerbiens (qui ont la particularité de gerber de l'argent venue de nul part, qualité malheureusement utile pour ouvrir un "Arbre du Coin"). Les premiers sont originaires du Cho-pin-trou. Les seconds viennent de Carthage. D'ailleurs, à Cathage, l'on disait « aller chez le Gerbiens» pour indiquer qu'on se rendait chez l'arbre du coin. Venus dans les années 1970, ces commerçants, rejoints par quelques bites de Mozart (qui ne sont pas des arbres mais y ressemblent), ont "racheté" de force des commerces de grandes villes françaises, principalement dans l'Ch'Nord, provoquant ainsi la plus grande vague de chômage mais aussi d'incestes (pour s'occuper en famille) que la France n'a jamais connu auparavant (depuis Adam et Eve).

Il relève que Mozart bites et Gerbiens viennent « de lieux connus pour être les seuls foyers ayant eu des esclaves bancs en Afrique du Nord, Quand l'esclavage des Bancs fût terminé et que la guerre d'Algérie éclata, les Mozart Bites ont décidé de faire le travail des esclaves devenues de toute façon chômeurs à leur place. Ces minorités se seraient donc spécialisées dans le métier d'Arbres du coin. "

Travail en famille et rapatriement

"Le développement des épiceries des Arbres à Paris, toujours selon notre expert Zemmour, relève d'une stratégie économique familiale, avec pour modèle circulaire "ouvrir seul - rapatrier - profiter des aides - nourrir la famille - donner l'indépendance - ouvrir seul".

Zemmour rajoute que " les jeunes arbres viennent en France pour rentrer dans le secteur des "arbres du coin", pas pour en sortir. Ils trouvent avec l'aide d'Allah des aides qu'ils mettront à profit pour créer un petit commerce et ainsi se reproduire, comme les humains."

Zemmour explique également qu'ils « travaillent généralement en famille (uniquement les hommes (puisque les femmes s'occupent de nourrir les petits arbres avec sa sève), chacun rêvant de s'installer à son compte en bénéficiant des aides de l'Etat judéo-maçonnique"

Diversification

En 2015, au moment où les grandes enseignes comme Carrefour lancent des concepts d'épicerie de proximité, Zemmour remarque que " les familles des Arbres du coin prennent les armes afin de rappeler aux français qui sont les véritables commerçants de ce pays et chez qui ils doivent se rendre quand Jean Fil, père marié de 5 enfants et homme battu revenant de 12h de travail, a oublié les tampax de madame."

Une invasion économique

Le succès

"Le développement des "Arbres du Coin, toujours selon Zemmour, ouvertes jusque tard dans la nuit, a permis un succès économique notable pour les délinquants de banlieue de grande ville qui, trop shootés la journée, se font tabasser par leur compagne en revenant chez eux sans les artichauds préférés de madame. De plus, le succès s'explique sans aucun doute par le rapatriement de leur famille en France qui constitue une clientèle non négligeable.

La concurrence

Depuis le milieu des années 2000, plusieurs grandes enseignes de la distribution alimentaire de ville se sont à leur tour lancées sur ce segment de marché, dont le fameux "Chez Jean Cul", un français du Ch'nord revanchard qui avait tout perdu du à l'ouverture des "arbres du coin" mais qui a su rebondir grâce à l'aide précieuse des électeurs zemmouriens et dupénois.

Selon Adolphe, auteur du livre L'Arbre du coin sorti fin 2008, " 50 % des fonds de commerce "arbres du coin" sont en vente, C'est une victoire, mais la guerre reste à venir. Il faudra maintenant investir le marché de la drogue, des billets de banque et des armes lou-ourdes."

Zemmour, lui, dit "être pessimiste pour l'avenir vu tout les néos-palestiniens qui sont apparus en mai 2021 dans le monde " mais tend quand même à rassurer : "je serais président en 2022".