Le Gorethéisme à travers le monde (sauf en Espagne)
Voici le livre d'Alexandre, un des 6 Assholes, un des Héros du Gorethéisme. La rédaction de cet ouvrage débute dès la formation du groupe des 6 assholes, bien qu'une courte préface relate les quelques évènements précurseurs de cette communauté.
nb : Dans un soucis de facilité de lecture, il vous sera présenté ici la version sans fautes.
Préface
Macabre découverte
Tout commence un soir, chez moi. Je descend a la cave pour étancher ma soif, et là, Ô misère, je me rends compte qu'il n'y a plus de bière ! Je pleure mon désespoir un court instant, avant de remonter, tout en séchant mes larmes. Je sors de chez moi, armé de ma détermination.
Bordel, faut que j'y aille
La ville la plus proche de ma demeure, exilée près des caves de Sissat-Plaipa/Cépareye, était (malheureusement) Gémpalhèspaniole, une ville peuplée de boulets qui parlent un dialècte incompréhensible, ne ressemblant et ne servant a rien, étant là juste pour emmerder le monde, faire chier les touristes, violer des enfants, voter pour l'extrême droite, faire monter les impôts, bosser pour TF1, couvrir la mafia russe, exploiter des petits noirs dans des caves, servir de planque aux dictateurs déchus et aux pédophiles et proner le christanisme.
Bref, je me rends dans cette ville a la con, en devant traverser les montagnes de Grosphutva, un lieu hostile à la prolifération humaine, en raison des température insoutenables, aux environ de 29-30 degrès.
Les plaines de Grosphutva
A peine arrivé, j'étouffe sous la chaleur ambiante, mon corps faiblit, mais rien ne peut m'arrêter dans ma quête éthylique. Après 17 pas, je tombe, raide de fatigue. J'ai a présent perdu 3/4 de l'eau de mon corps, mes yeux sont secs comme de la paille sèche, je ne sens ni mes doigts, ni mes orteils, mon audition me joue des tours, en effet, j'entends des bruits de Goret venant de toutes les directions... Je consens a ouvrir les paupières, et vois un Goret devant moi ! Je reprends quelque peu mes esprits en me disant que ce n'est qu'un banal mirage... Le mirage me met alors un coup de groin. Une seule conclusion possible : Ce n'est pas un mirage normal !
Il me dit alors des trucs bizarres, en gruwikant. Etrangement, mon esprit entendit ces paroles :
Je sentis une nouvelle force monter en moi, et m'en servit comme un bâton pour relever mon corps séché. Et, grâce aux pouvoirs des porcs, je pus franchir les quelques mètres me séparant des portes de Gémpalhèspaniole.
Mais quelle ville a la con bordel de merde putain chié merde !
A peine fus-je arrivé aux portes, qu'un pauvre gars en armure m'aborde, et me demande :
Devant cette langue de merde étrangère a ma connaissance, je ne pus répondre que :
Le pauvre-gars-en-armure me regarda avec une drôle d'expression que je ne saurai décrire, et pressa un bouton derrière lui...
Tout a coup, une cage en carton me tombe dessus, inutile de préciser que m'échapper n'entrait même pas en ligne de compte...
Après ce léger temps d'attente, le maire de ce bidonville cette ville à la con arrive devant moi, et me parle dans son dialècte à la con lui aussi. Ne sachant pas quoi répondre, je privilégiai le langage gestuel, et levai mon majeur droit vers lui. Il claqua des doigts, et des gardes se mirent à pousser ma prison de carton à travers les rues, pour m'emmener sur l'Agora.
Torture, souffrance et cris, le tout dans l'acide
Je repris conscience, allongé sur une table, une lampe ébouissante (le soleil) dans la gueule, les poignets et les chevilles fortement attachés a la table. (Je ne sais pas pourquoi j'ai perdu connaissance sur le trajet). Des pauvres-gars-en-armures étaient devant moi, des bouteilles contenant un liquide transparent entre les mains. J'osai espérer que ce fut de la vodka, mais non, quand ils m'en mirent sur la langue, je compris que c'était de l'acide... Mes molécules de langue commencèrent a se dissoudre sous l'effet de l'acide, je hurlai de toutes mes forces, quand les pauvres-gars-en-armures me demandèrent :
Ils se protégèrent des projection, et m'en firent avaler encore plus.
Les molécules d'acide avaient atteint leur but : mon estomac. Je braillai comme un porc, bougeai dans tous les sens, mais non, rien à faire, j'étais pris au piège.
J'implorai les Gorets mentalement, quand tout a coup, je en ressentis plus aucune douleur ventrale, ni buccale...
Je devais être mort. Pourtant, les pauvres-gars-en-armures étaient toujours là, alors j'étais vivant, mais je me fis quand même passer pour mort.
Décadance
Me croyant mort, les pauvres-gars-en-armures me laissèrent seul. Je pleurai un instant, et composai un poème, n'ayant que ça a faire... Le voici :
Seul je demeure
Attendant que tu me voie
Luisant sous la lune
Omniscience et décadence
Pouvoir te toucher est mon seul
Espoir a tout jamais
Oh ! Des gens qui ne veulent pas ma mort !
Après ce moment de faiblesse, d'une durée indéterminée, je repris mes esprits quand je vit trois personnes de mon âge, deux hommes, et un Ho-bite. Ils se présentèrent comme étant Anthony, Guillaume et Lucas, le Ho-bite, puis ils me détachèrent. Je fus très heureux de les rencontrer, et à mon tour, je me présentai à eux. Ils furent assez étonnés par mon histoire, et me dirent qu'un meeting d'informatique se tenait en bas. Je les y suivis, encore une fois, mon emploi du temps n'étant pas trop chargé. On vit en arrivant en bas, deux hommes. Anthony émit l'hypothèse que c'était un meeting d'informatique gay. On s'approcha pour éclaircir cette théorie, mais nous n'en eûmes pas le temps, le porc qui tenait le discours se tourna vers nous et les deux gays.
Les deux gays et nous comprîment le message, et nous nous agenouillions devant Gruwik 1er. Il venait de nous nommer les 6 assholes du Gorethéisme
Chapitre I : Abbattre le monstre
Sur ma demande intempestive, nous avons quitté cette ville au plus vite, puis on entama la discussion : si on devait répandre le Gorethéisme, autant que ce soit dans la cordialité et la bonne humeur générale...
Mais tout de suite, une énorme révélation, incroyable, démentielle, subjugante nous tomba dessus : Les deux inconnus n'étaient pas gays...
Et une autre : Ils s'appellaient Cyril et Antoine !
Halte a Jeuhs'wi-enhell
N'étant pas trop loins de Jeuhs'wi-enhell, on décida d'y faire une pause, Cyril, Guillaume, Lucas et Antoine, pour y vider leurs vessies, Anthony et moi, pour les remplir. Alors que nous étions en train d'avaler autant de vodka que nos moyens nous le permetaient, les autres assholes arrivèrent à notre table, et Anthoine déclara sans retenue :
Ensuite, ils ressortirent. Un instant après, l'histoire de 17 secondes, une autre personne vint s'asseoir a notre table, une jeune fille, sûrement attirée par notre charme bestial, et qui, selon mon jugement très largement abusé par l'alcool, était plutôt mignonne.
Elle parla avec nous de choses et d'autres, et commença a poser des questions chiantes, du style : "Vous êtes combien dans votre groupe ? Vous allez où ?"
Quand plus tard, dans la conversation, elle s'auto-trahit, et on découvrit qu'elle nous espionnait pour le compte de Pierre-Janine !
Elle prit ses jambes a son cou, et fuya Jeuhs'wi-enhell, ce qui valait mieux pour elle, puisqu'Anthony et moi étions sortis dans la rue pour la rattrapper, mais un policier nous arrêta pour ivresse sur la voie plublique...
Les monts de Sgaig
Le lendemain, après une nuit de garde à vue, Anthony et moi sortîmes de prison, et on retrouva les 4 autres assholes, qui semblaient avoir passé une nuit plus fructueuse que la nôtre...
Nous ne perdîmes pas notre temps à leur raconter les évènements de la veille, dans un souci d'amour propre. En effet, nous étions peu fiers de nous être fait berner par un espion atteint d'une insuffisance mammaire... On leur dit qu'on avait picolé toute la nuit.
Partout, le bruit courait que Pierre-Janine rôdait autour de Ghaimh'paht-ag-eul, village natal de Cyril. Nous prîmes donc la route des monts de Sgaig.
Ces cols, pas trop chiants à traverser, ne nous retinrent pas longtemps, et on arriva vite sur la cote du Sgagagobifidusactifree. Durant la marche, une nouvelle bouteille de vodka rendit l'âme, et Anthony et moi lui consacrâmes une sépulture décente.
Combat épique sur la côte du Sgagagobifidusactifree
Nous arrivions sur la côte, Pierre-Janine face a nous six...
Nous fîmes quelques pas vers lui, et, certainement impressioné par notre supériorité numérique, il prit la fuite comme un lâche.
Après avoir râlé un instant, nous entreprîmes de le poursuivre, et c'est finalement à Ghaimh'paht-ag-eul qu'il nous mena....
Aux devants du village, c'est lui qui vint vers nous, et bien qu'ayant la supériorité numérique, Lucas se pissa dessus devant l'imposante carrure de la bête...
Antoine, un peu plus malin se mit a discourir :
Aussitôt, le monstre, comme nous cinq, sentîmes nos réflexes baisser quelques peu. Mais, à notre grand désespoir, Pierre-Janine comprit que la magie d'endormissement venait d'Antoine, et avança vers lui. Anthony eut la présence d'esprit de protéger notre seule arme à peu près efficace en aggripant Cyril, et en le jetant sans ménagement sur l'hybride Somalien. Les innombrables craquements qui s'en suivirent laissèrent supposer que les os de Cyril avaient été broyés jusqu'au plus petit morceau. On ne prit pas le temps de s'inquiéter pour lui, tandis que Lucas asséna a notre opposant un coup de nez qui l'envoya au sol. Guillaume et moi, nous nous jetons l'un et l'autre sur les bras de Pierre-Janine, pour essayer de l'entraver un peu, mais nos efforts ne se firent pas vraiment sentir quand il se releva sans difficulté, Guillaume et moi toujours pendus a ses bras. Antoine réagit alors :
nb : le réçit s'arrête là, Alexandre s'étant endormi en même temps que les autres.
D'après ce que Guillaume aurait raconté, tout le monde, sauf Antoine et lui, se serait endormi suite à cette violente attaque, Guillaume aurait pris la tête de Lucas, et dirigé son nez sur Pierre-Janine, après avoir utilisé le poing d'Anthony pour frapper a mort la monstre. Les douloureux souvenirs qui restaient me laissèrent croire que Guillaume et moi avions pris la masse musculaire de Pierre-Janine sur la gueule...
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