Développement durable
« Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise » ainsi pourrait se définir la conception post-guitrienne du Développement durable, que l’on peut aussi écrire, selon l’Académie Française, DD ou encore dédé. La dernière orthographe, que l’on trouve encore dans certains écrits, fait cependant polémique de par sa proximité avec le patronyme d’un cochon, mascotte d’une publicité de la Française des gueux. Mais bien loin de nous intéresser à l’étymologie du développement durable nous chercherons à découvrir ses origines, aussi périlleuse que soit cette quête et bien que cela se rapproche en certains points de l’étymologie (comme quoi. lol). Nous expliquerons pour finir les tenants et les aboutissants de l’impact du DD (développement durable, vous suivez? De toute façon je poursuis j’en ai gros sur la patate) sur la conjoncture économique actuelle. Que se cache-t-il derrière la façade majestueuse du développement durable ? Ce dernier peut-il être une menace en cas de conflit armé ? Doit-on écrire π² « pipi » ? Réponse dans cette enquête exclusive de Thomas Tseriz et Léa Lcolik.
Thierry Gilardi, se retournant dans sa tombe aussi parce qu’il avait des fourmis dans la jambe : | |
Quelle intro de merde, mes teaser de Téléfoot étaient quand même plus bandants. En plus tout le monde sait que « π² » se prononce « caca » |
Origine comploteuse et kefta
Il existe plusieurs thèses concernant les origines du développement durable, mais le H8 (sommet international des pays les plus pauvres et les moins influents du globe parmi lesquelles on trouve notamment Tuvalu, Saint-Vincent-et-les-Grenadines ou encore Sao Tomé-et-Principe) s’accorde sur la véracité de la théorie du complot. Pour comprendre cette théorie, arrêtons-nous un instant sur l’origine du concept de dédé.
Naissance de dédé
L’histoire de dédé commença un beau matin de Mars 2008. À cette époque il ne s’appelait pas dédé, mais déesse et vous allez bientôt comprendre pourquoi. Il faisait donc beau ce mardi matin de mars 2008 et le G8 se rassemblait à Honolulu car les présidents en avaient marre de se cailler les miches en Europe ou de bouffer Macdo aux États-Unis. L’ordre du jour de cette réunion était aussi simple que la situation était alarmante : Comment faire pour que nous pays riches, ne subissions pas trop la crise économique majeure que nous avions déclenchée, car nous sommes des burnes, sans trop de dégât. On remarque tout de suite le ton peu officiel employé du fait de la gravité de ce colloque. Après une heure ou deux de discutions enflammées (parfois), de cocktail martini-mangue et de blagues graveleuses, les illustres dirigeants trouvèrent la solution : le Développement Soutenable (ou DS, ou encore déesse).
Une idée simple mais révolutionnaire
Le principe de déesse était en effet simple. Les pays pauvres qui ne pourraient d’ailleurs pas vraiment s’appauvrir davantage et qui ne devaient donc pas avoir grand-chose à foutre de la crise économique qui allait frapper la terre, devraient soutenir les pays riches qui avaient, eux, beaucoup à perdre. Le soutien se matérialiserait par les points suivants :
- Défaite volontaire aux guerres engagées contre eux et dans le seul but de les piller
- Fourniture de main d’œuvre bon marché et si possible infantile
- Don en nature pour les pays asiatiques
- Don en pétrole pour les pays arabiques
- …
C’est ainsi que le développement soutenable aurait dû permettre aux pays riches de ne pas subir les effets de la crise. Mais alors que la solution allait être mise en place, Nicolas Sarkozy pris la parole.
Nicolas Sarkozy, intervient: | |
Peut-être que cette solution est la bonne. Ou pas lol. Mais comme disent les jeunes des cités que je lave au "tuyau d’arrosage haut de gamme", elle est un peu tricard. |
Une idée révolutionnaire, mais un peu tricard
En effet, le pétochard président français ce qui est un pléonasme, avait un peu peur que les pays du Sud (tous pauvres) découvrent la supercherie (ce qui serait étonnant puisqu’ils sont tous cons, car tous pauvres, mais bon). Après avoir expliqué le sens du mot « tricard » aux autres dirigeants, ces derniers se penchèrent de nouveau sur le problème. Cette fois-ci il fallu bien une demi-journée de discutions enflammées, de Whisky-Coca, d’anecdote érotique et de partis de baises avec des mineurs ramenés par le président russe, pour trouver une nouvelle solution. Cependant, la chandelle en valait le jeu, puisqu’ils transformèrent cette fois-ci la déesse en dédé, DS en DD ou en plus politiquement correct, le développement soutenable en développement durable. Le principe était exactement similaire à l’exception faite qu’il continuerait après la crise ce que ne prévoyait pas la déesse.
Kefta (cette sous-partie à tout à fait sa place dans cette dissertation qui n’en est pas une)
« Le kefta (ou kofteh, köfte) est une boulette de viande que l'on sert dans les Balkans, dans le sous-continent indien et au Grand Moyen-Orient. Dans sa forme la plus simple, le kefta se compose de viande hachée (généralement du bœuf ou de l'agneau) mélangée avec des épices et/ou des oignons. Les formes végétariennes comme le kefta lauki, le kefta shahi aloo et le kefta malais sont populaires en Inde, tout comme l'est le kefta préparé à partir de viande hachée de chèvre » Source Pidiwékia
Conséquence du changement de déesse en Dédé
Les conséquences de ce changement de nom n’eurent pas l’effet escompté. En effet, au lieu de rendre ce principe plus opaque et plus facilement dissimulable, le principe ne fut pas pris au sérieux par les pays pauvres. Comme on peut le constater avec les images ci-dessous, le dédé n’était pas très crédible, contrairement à la déesse, qui elle l’était, mais qui était aussi cependant, trop tricard. Ainsi au lieu de soutenir les pays riches dans la crise afin qu’ils ne s’appauvrissent pas, les pays pauvres soutenu par le fils caché de Gandhi, reprirent l’idée du développement durable comme nous la connaissons aujourd’hui, à savoir : développer l’économie en garantissant de préserver l’environnement et de respecter les aspects sociaux et sociétaux que ce développement nécessité. Cette définition courte mais, chiante n’a aucun autre intérêt ici que de vous faire comprendre que le dédé tel nous l’imaginons aujourd’hui, cochon de joie prônant les vertus d’une économie qui respecte la nature a été détourné de sa fonction première à savoir enrichir les pays riches.
Théorie moderne de dédé
De nos jours, les poules ont des dents et cela va très bien à tout le monde. Cependant, un économiste, sociologue et collectionneur de papier bulle à ses heures perdues, Eric Zemmour, auteur de « Dédé, un complot mondial ? » nous confronte à un problème préoccupant : le dédé est-il un complot mondial ?
-On remarque qu’Eric Zemmour emploie des mots, soulignés en rouge par le correcteur orthographique de Word 2003 sur lequel je pré-écris cet article et qui n’existe donc probablement pas-
Dans son ouvrage, Zemmour (qu’il ne faut pas confondre avec le jeu les z’amour à 11h sur France 2) présente le dédé comme une théorie conformiste. Il serait en fait un mode de développement ayant pour but de nous forcer à consommer sur le long terme (durablement donc) et d’arrêter les achats compulsifs. Ces derniers bien qu’il soit le marché de beaucoup de marques jugées hypes (lien) par la populace adolescente, mettrait à mal l’économie.
Démonstration de la théorie zemourienne de dédé
Reprenons les bases du phénomène économique afin que tout un chacun puisse comprendre l’analyse qui suit. Les particuliers, les entreprises ou encore l’État, sont des acteurs du marché. Aujourd’hui le marché suit un modèle capitaliste qui veut que chacun soit bien rangé dans sa petite case, prenne un crédit à la banque, pour s’acheter une maison et une voiture. Il dépensera le reste dans des supermarchés ou dans des fast-foods. Ces éléments sont la base de toute analyse de l’économie. Si le DD veut s’attaquer aux achats et acheteurs compulsifs c’est parce que ces derniers dérèglent les schémas établis en matière d’analyse économique et qu’ils faussent les statistiques. Empêchant les analyses à long terme et les politiques économiques de moyens termes, les achats compulsifs font entrer dans l’équation de l’économie réelle des données aléatoires qui ne permettent pas de prévoir la suite des événements. Les incertitudes que créent les achats compulsifs seraient pour les gouvernements insurmontables et conduiraient à la chute du modèle économique actuelle.
Vision des pays du H8
A ce stade de la démonstration, la plupart des lecteurs ont davantage envie de faire une partie de kamoulox, voir d’être une partie de kamoulox plutôt que de continuer à lire la suite. Cependant, nous arrivons à la partie la plus intéressante (si si). Celle qui pourrait changer votre vision des choses comme lorsqu’à 16 ans vous avez compris que la publicité vous manipulait. Si vous ne découvrez que maintenant que la publicité vous manipule voici un tutoriel très rapide pour vous en rendre compte.
- Regardez les restos du cœur
- Regardez un épisode de Joséphine ange gardien
- Visionnez la dernière pub de lessive avec Mimie Mathy comme égérie
- Comparez lez différents rôles de Mimie Mathy dans ses œuvres, en vous aidant du corpus de texte définit précédemment et de vos connaissances personnelles. Vous avez deux heures.
- La conclusion devrait vous frapper et vous rendre évidente l’évidence.
Revenons à nos moutons cochons. Dans quel but les pays pauvres se sont appropriés dédé ? Pour la simple et bonne raison que les pays pauvres ont un peuple pauvre. Et un peuple pauvre ne contient pas d’acheteurs compulsifs. N’effectuant pas d’achats compulsifs, ils ne voulaient pas, et on les comprend, payer les erreurs de leurs voisins riches du Nord.
Paradoxe de dédé
Etablit en 2011 par Amartya Sen, honnête commerçant alimentaire indien, suite à une révélation qu’il eut en allant consulter une voyante suite à des problèmes personnels que nous ne vous ne dévoilerons pas, le paradoxe de dédé reste à ce jour un point d’interrogation pour les experts du monde entier.
Pourquoi le dédé ayant pour but de refréner les achats compulsifs et à terme les supprimer, est d’autre part le symbole d’un des plus grands outils de consommation impulsive ?
Bien loin d’avoir les capacités pour pouvoir répondre à ce paradoxe, Amartya Sen reçut quand même quelque réponse de la communauté scientifique qui s’intéresse à ce paradoxe de plus en plus. La seule réponse acceptable à ce jour est une approche philosophique de la question. Les achats compulsifs de ticket à gratter, ainsi que les paris en lignes auraient pour vrai but de nous accoutumer à ce type d’achat, afin qu’ils soient assez réguliers pour ne plus être qualifiés de compulsifs. Cette hypothèse plausible trouve cependant ses limites, en effet, car il existe aujourd’hui peu de cas de personne accro à ces différents types d’achats (sauf en France ou plus de 70% de la population achète des tickets à gratter tous les jours en buvant leur pastis/bière quotidienne)
dédé et le foot
Dédé est durant ses temps libres joueur de foot. Il joue pour l’équipe de Cruzeiro et l’équipe nationale du Brésil. Son vrai nom brésilien (tous les Brésiliens ont un vrai et un faux nom, comme par exemple Ronaldinho qui a honte de son vrai nom qui est en réalité Bugs Bunny) est Anderson Vital da Silva.
On remarque ici que la puissance de dédé s’est étendu partout dans le monde et dans tous les milieux car, même un joueur de foot accusé de pédophilie a peur de la réaction de dédé suite à un contact entre les deux joueurs.
Portail des Sciences de la dÉnature • Portail de Picsou |
Vous n’êtes pas autorisé à voir les résultats de ce sondage avant d’avoir vous-même voté.
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.