Les frites : une approche sociologique

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Les frites : une approche sociologique est un livre de Alain Soral sur les frites. Le sujet est traité sous l'angle de la sociologie, mais aussi de la politique et de l'anti-sionisme. En sociologie, il s'agit du seul livre qui traite des frites ; ce fait est important à noter car il montre bien qu'Alain Soral est le seul à avoir les couilles d'aborder cette thématique malgré la censure qui plane au dessus de nous tel le fantôme de Jean-François Copé.

Les classes de frites

Les frites : une approche sociologique s'articule autour de l'idée qu'est celle d'existence de classes au sein même des frites : les frites paysannes, les frites islamo-racailles, les frites ouvrières, les frites petit bourgeois trotskiste, les frites ultra-libérales, et les frites sionistes.

Les frites paysannes

Les frites paysannes sont probablement les premières frites à être apparues, ou en tout cas elles en paraissent ainsi du fait de leur physique relativement rustique et traditionnel. Parce qu'en général, ce qui est grossier est ce qui est arrivé avant, et on le vérifie beaucoup de choses. Leur apparence dénote naturellement d'une honnêteté, d'un certain caractère assumé : de bonnes grosses frites bien primitives, découpées avec franchise, cuites à la graisse animale (oie, canard, chien, etc.). Le ketchup est produit artisanalement avec les pieds. Les frites paysannes sont consommées dans nos campagnes françaises, par le vrai peuple des campagnes, celui qui fait notre pain, nos légumes, notre fromage. Attention à ne pas confondre avec les frites que certains sous-campagnards traîtres au vrai peuple achètent chez Auchan ou Mammouth : ce ne sont pas les vraies frites paysannes - mais des frites ultra-libérales, cf plus bas.

Exemples de consommateurs de frites paysannes : Jean, Marcel, Pierre Richard (des vrais Français du peuple).

Les frites islamo-racailles

Les frites islamo-racailles sont les frites de prédilection des arabes. Attention, pas d'amalgame, ici nous parlons des arabes élevés à SOS Racisme et Suprême NTM, pas des bons musulmans anti-sionistes. Généralement consommées dans les kébab, ces frites peuvent aussi -plus rarement- être accompagnées d'un filet-o-fish (le sandwich McDo que mangent de préférence les arabes). Dans ce cas elles sont cuites avec une huile de friture McDonald's, et on parle alors d'islamo-racailles sous contrôle ultra-libéral, ou frites du rappeur, les frites des sous-prolétaires américains d'imitation, des Sylvie Vartan modernes, des yéyés du rap américain. Dans le cas où l'huile utilisée est une huile sioniste (cf plus bas), on emploiera plutôt le terme islamo-racailles sous contrôle sioniste, bien qu'il ne s'agisse que d'une nuance étant donné les liens étroits entre sionistes et ultra-libéraux de l'axe américano-israélien.

Exemples de consommateurs de frites islamo-racailles : Les blaireaux, La Fouine, Ben Laden.

Les frites ouvrières

Celles-ci sont ont vu le jour dans le nord de la France. Ce sont les frites des vrais gens utiles, ceux qui produisent de la matière. Toutes les autres frites sont les frites de parasite, aussi bien appelées parafrites (jeu de mots). Pour récapituler : il y a les frites du nord, et il y a les autres (sauf peut-être les frites paysannes qui sont honnêtes - mais bon). D'ailleurs, ça n'est pas pour rien que les frites sont meilleures dans le nord, comme le montrent les études sur le sujet menées par Alain Soral lui-même (il en a mangé). Parce que, quand on produit de la matière, on sait faire des frites, puisque justement les frites c'est de la matière (une matière un peu jaune qu'on retrouve aussi dans les pommes dauphine par exemple). Et cette faculté à produire de la matière (de frites) se retrouve sur les papilles et dans l'estomac.

Exemples de consommateurs de frites ouvrières : Etienne Lantier dans Germinal, Alain Soral.

Les frites "petit bourgeois trotskiste"

Ce sont les frites des juifs parisiens de gauche. Par exemple, Olivier Besancenot mange des frites de petit bourgeois trotskiste. Ces frites-là ont des répercussions physiques néfastes sur ceux qui les mangent, ce qui explique bien la tronche de patate d'Olivier Besancenot. Et aussi, son gros nez. Et puis, son regard de chien battu. Ce mec est un lâche, Alain Soral l'a pris par le col et lui a mis deux baffes : il a pété. Il aurait pu faire caca, c'est pour vous dire un peu le niveau. Ces frites sont des copies ratées de frites ouvrières, des prolofrites d'imitation, mais bien de véritables parafrites hélas. Elles sont les petites frites idiotes utiles du système, qui servent le mondialisme des frites ultra-libérales et des frites sionistes.

Exemples de consommateurs de frites petit bourgeois trotskiste : Olivier Besancenot, Jean-Luc Mélenchon, les gens qui votent pour Olivier Besancenot ou Jean-Luc Mélenchon et qui ont une écharpe.

Les frites ultra-libérales

Exemples de consommateurs de frites sionistes : Sarkozy, Bush, vieilles putes.

Les frites sionistes

Exemples de consommateurs de frites sionistes : Jacques Attali, Julien Dray, Manuel Valls, Benjamin Netanyahou.

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Demain : la gouvernance globale ou la révolte des Nations ?

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