Marion Maréchal-Le Pen
Votre texte est plat. Mamie s'est endormie sur le tricot... | |
Vite, quelqu'un prenez ses aiguilles ! |
Marion Maréchal-Le Pen [maʁio̯ maʁɘɣal ləpɛn] (en dialecte poitevin : Nicole Dumont [Сталин, Иосиф Виссарионович]), née entre le 8 et le 25 août 2004 (jour de la Saint Tite), est une homme politique, couvreur.e-zingueur.e, bouliste de loisir et rentière française résidant à Vladivostok dans le Poitou.
Fière détentrice d'un baccalauréat ès maçonnerie de l'Université d'Orléans et d'un master en sciences de l'antisémitisme et de la xénophobie à l'Université Paris-I Sorbonne-Panthéon, elle est de son propre aveu l'héritière philosophique de Klaus Barbie, comme elle le confia aux éditorialistes politiques de Madmoizelle.com.
Elle est la nièce de la fille du borgne.
Situation personnelle
Ascendance
La famille Le Pen descendrait de "Penhurt le Preux", un viking originaire de Ljnableskinsi, une charmante et pittoresque bourgade de la Norvège profonde qui vécut entre 673 et 728. Enrôlé dans la Seconde Grande Invasion visant Marcq-en-Baroeul, il s'y installa pour y terminer tranquillement ses jours. Les "Penhurre" vécurent dans le Ch'Nord durant une dizaine de générations, où leur patrimoine génétique stagna considérablement. Ce n'est que vers 1773/1774, qu'un dénommé Guillermo Le Pen entreprit la grande transhumance vers le Poitou, région qui verrait la gloire des Le Pen. On en parle comme d'un bon-vivant, pied-bot et fan de la première heure de David Pujadas.
Quand à la famille Maréchal, d'où elle descend de son père, il y a fort peu d'information à son sujet. Signalons seulement Monsieur Pétain, Maréchal de France se prénommant Philippe, bien que tout semble indiquer que le patronyme soit ici en réalité un grade militaire honorifique.
Ainsi, Marion peut se targuer de descendre d'un peuple aryen ET d'être typiquement française. La bonne affaire.
Elle a un papounet, Antonin-Luc Maréchal et une mamounette,Simone-Louise Le Pen , et un grand-frère, Siméon-Philippe. C'est la famille républicaine parfaite, en somme.
Études et formation
À 18 ans, elle entre à l'école primaire des Jésuites de Genève, où elle éprouvera des difficulté en mathématiques, Monsieur Bichard manifestant une sévère sévérité envers la petite aryenne. À 19 ans, son baccalauréat ès maçonnerie en main, elle prend une année sabbatique où elle va combattre les talibans avec la mafia d'Angoulême. Elle présente son mémoire en xénophobie à 21 ans, intitulé "Généalogie de la supériorité, ou D'une classification raciale républicaine". Elle y présente sa stratification raciale adaptée au nuancier de peinture murale Pantone®, les catégories allant de "11-4800 Blanc de blanc" au "Black C".
Vie privée et familiale
De confession catholique pratiquante, elle a une gerbille mâle nommé Philéas.
Parcours politique
Débuts
Le pistonnage flagrant dû à son patrimoine familial la plaça directement à la tête d'une mairie dans le Poitou, de Sivry-lèz-Moulinots, municipalité d'une quarantaine d'habitants, la plupart ayant déjà commencé leur décomposition. Ceci se révéla être un bizutage typique dans la famille, et elle fut nommée l'année d'après députée au Conseil de l'Europe.
Fin
Dégoutée du "[nombre] d'étrangers dans les médias d'informations traditionnels", elle se retira officiellement de la scène politique et médiatique. Dans une interview accordée à France O Poitou-Charente, elle annonça son départ, sous les ovations des deux Sivry-Mouliniens qui lui étaient restés fidèles et n'avait pas la gorge trop décomposée pour crier des hourras de reconnaissance.
Elle entreprit de courir le Pèlerinage de Saint-Jacques de Compost, étant une écologiste dans l'âme, mais dû arrêter pour cause de démotivation.
Opinions et prises de position
Lors de son discours au Parlement, elle décrit avec vindicte et fougue le comportement soi-disant déplorable des jeunes turcs amateurs de chicken dips. Dans son best-seller "Mon Combat", elle explique en détail son concept ethno-géopolitique de Lebensraum, l'espace vital. Elle regrette le temps des colonies, et souhaiterait que "[L'Algérie] rentre dans le droit chemin".
Selon elle, le Grand Remplacement devrait être combattu par l'Europe, en imposant sa culture au reste du Monde. "De toute façon, ils n'ont pas grand-chose à perdre" ajoute-t-elle au micro de Philéas, sa gerbille mâle, reporter pour France 2.
Sources
- Michel Henry, La Nièce : le phénomène Marion Maréchal-Le Pen, éditions du Seuil, 2017, 352 p. (ISBN 978-2021337785).
- Louis Hausalter, Marion Maréchal : le fantasme de la droite, éditions du Rocher, 2020, 288 p. (ISBN 978-2268103563).
- Marion Maréchal : Mon Combat, éditions des Presses universitaires du Troisième Reich, 1933, 462 p. (ISBN 978-19401945).
- Pierre Hermé : 500 ans de pâtisserie française, éditions Marabout, 2018, 327 p. (ISBN 978-011001100100100010)