Montréal

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« Les arbustes aux gros seins se baladent dans les rues de Montréal. »
« Je ne reviendrai pas à Montréal. »
« Montréal n'est pas la ville rivale de Tontbarça, tenez-le vous pour dit ! »

Cité Lumière et centre exact de l'Univers, Montréal est l'une des seules villes en Amérique du Nord, avec New Delhi, où le virage à droite est interdit au feu rouge (sauf dans le sens inverse du giratoire précédent).

Montréal est la seule ville canadienne à être constituée à cent pour cent de viande fumée et de poils (Windsor ne l'est qu'à 77%).

Selon l'article sur le Québec : « Montréal abrite le «gros bol de toilette», lieu des Jeux Olympiques d'été de 1976 et le défunt club de baseball Les Expos de Montréal. Les exportations principales de Montréal incluent la viande fumée, les bagels, la bière Molson et le hockey, sans oublier toutes les cochonneries qui vont avec – voir Produits dérivés. C'est la plus grande ville de langue française, après l'« autre » Ville Lumière ; pourtant, depuis 1990, c'est aussi la ville la plus multilingue. Montréal a été baptisée d'après le nom d'une des cinq grosses banques canadiennes, bien que le Siège Social de la banque en question soit déménagé à Toronto depuis longtemps, tout comme celui de la Banque Royale, maintenant très, très communément appelée la RBC. »

Montréal est considérée comme la ville la plus en dégénérescence au Canada, considérant que des villes, autrefois connues sous le nom de « trous », comme Calgary, Edmonton, Winnipeg et Huntingdon, réussissent à faire davantage parler d'elles dans les médias. À noter que c'est la seule ville au monde alliant à la fois une économie digne des États-Unis et un réseau routier à peu près équivalent à celui des régions les plus reculées du Liberia.

Montréal vis-à vis du reste du Québec

Montréal, et les hippies bourgeois qui pullulent sur son Plateau en particulier, se perçoit comme l'élite culturelle et intellectuelle suprême du Canada français, ce qui vaut à ses vernaculaires l'étiquette de « gaugauches pancartistes » dans les milieux moins portés à se décrire comme « progressistes ». Les Montréalais sont détestés par le reste du Québec, particulièrement quelques jaloux complexés de la Ville de Québec qui usent des ondes hertziennes pour diffuser leur fiel, ne pouvant accepter leur rôle qu'ils perçoivent eux-mêmes comme secondaire, perception qu'ils projettent sur les Montréalais (c'est le Doc Mailloux qui l'a dit). Malgré tout, le Montréalais moyen est un candide qui n'en a rien à foutre car il ne se rend pas compte de cette haine malsaine, vivant sur son nuage d'un Québec international (qui commence à Laval et se termine à Longueuil). À noter que le Montréalais prend le banlieusard pour un arriéré, mais qu'il le deviendra à son tour lorsque son compte de banque ne lui permettra plus de louer un logement à 1 200 bidous par mois.

Une théorie des ignares ne connaissant pas les Montréalais tend à vouloir faire croire qu'un taux de pollution extrême (et dont « l'extrémisme » perçu dans les songes n'existe pas dans le monde réel), aurait des répercussions néfastes sur les facultés cognitives de ses habitants, ce qui les empêcherait de comprendre qu'il y a toute une province autour de leur île. On pourrait ainsi croire que la majorité des Montréalais n'a jamais mis le pied sur le continent (cependant, ceci devient de plus en plus plausible grâce à l'immigration exagérément « massive » imposée par le fédéralisme canadien et dont le but est de créer une telle scission)...

Le conducteur montréalais (l'on notera les nombreuses similitudes avec son homologue français : le Parisien)

Règles de conduite sur l'île de Montréal

  • L'incompétence est un prérequis.
  • Le Code de la route est optionnel.
  • Le dépassement se fait par la droite et non par la gauche.
  • Dépasser plusieurs voies consécutives (ce que le reste du Québec ne peut se permettre) d'un seul coup est considéré comme « suivre le trafic ».
  • Prendre soin de bien ralentir, s'arrêter complètement et bien regarder la scène lorsqu'il y a accident ou une crevaison, est une obligation.
  • Le slalom à haute vitesse est la seule manière acceptable de conduire sur les autoroutes montréalaises.
  • Se souvenir que le but du conducteur montréalais est d'arriver le premier, peu importe la manière.
  • Les piétons ne doivent pas être considérés comme des obstacles, il ne faut donc pas ralentir face à leur présence. Les écraser en réduit le nombre et devient donc un avantage.
  • La lumière jaune est un avertissement signifiant qu'il faut accélérer.
  • Toujours klaxonner à l'instant où la lumière tourne au vert, sauf dans les quartiers chauds (et on ne parle pas ici des quartiers face au Sud...).
  • Oubliez-vous de freiner d'une manière agréable. Y'a des couchons là-bas au voiture, ils vous diront rien à une arrêt un peu sauvage.
  • Tenter d'éviter les nids-de-poule et les pièces des autres voitures sont l'un des sports les plus pratiqués.
  • La glace, la neige, la pluie et le brouillard ne sont pas des raisons valides pour réduire sa vitesse et cesser d'adhérer aux règles ci-dessus.
  • Klaxonner à un feu rouge donne automatiquement priorité de passage.
  • Un cédez-le-passage est en réalité un conseil.

La culture montréalaise

Montréal est reconnue mondialement pour ses nombreux bar de danseuses (clubs de danse permettant de socialiser avec ses « danses à 10 »), ses prostitués et ses salons de massage très gais.

Elle l'est également pour sa « festivalite », un trouble obsessionnel-compulsif d'organisation à tout crin de festivals et de pétage de bretelles concomittant qui culmina en 2009 avec l'inauguration de la place des Festivals, une sorte de stationnement « moderne » (moche) où l'on ne peut même pas se garer. Les Montréalais en raffolent pour la simple raison qu'il est mal vu de ne pas s'en enthousiasmer.

Le Montréalais moyen évite les musées car il les juge trop dispendieux. Malgré tout, le Montréalais est prêt à attendre des heures pour fréquenter les musées de la ville lors de la Journée des Musées, seul moment où l'entrée est gratuite. Les 364 autres journées de l'année, il fréquente son salon et les bars-tavernes.

Équipes sportives

La seule équipe sportive qui réussit à se rendre en finale de leur coupe, sont les Alouettes (Football Canadien). La preuve qu'ils sont bons, ils se rendent en finale même avec un quart-arrière de merde. Leurs joueurs étoiles sont : Ben "The Velcro" Cahoon et Damon "Iron Foot" Duval. Le club de hockey. Le Canadien rate son coup à tous les ans, il se plante en deuxième ronde. Leur équipe de soccer (foot), l'Impact, on s'en fout car le soccer c'est européen et donc chiant et sans intéret.

Activité annuelle

Début des festivités

L'activité annuelle favorite des Montréalais consiste à déménager le Premier Juillet de chaque année en prenant bien soin de laisser le plus de détritus – animaux de compagnie y compris – en bordure de la rue. Le gagnant est celui qui réussit à bloquer la rue avec ses déchets et son camion de déménagement le plus longtemps possible, jusqu'à l'arrivée de la police et/ou des sans-abris. Dans les quartiers plus chauds, le jeu varie légèrement en remplaçant les policiers par la balle de fusil et/ou le couteau logé dans le haut du corps.

Menace d'effondrement

Depuis longtemps, les scientifiques québécois s'accordent pour dire que la population de plus en plus importante sur l'île de Montréal pourrait constituer un risque géologique pour l'île. La grande concentration de la population et de gratte-ciels, particulièrement au centre-ville, pourrait déséquilibrer la plate-forme terrestre sur laquelle la ville est construite. Le cas échéant, un rapide effondrement de l'île de Montréal pourrait s'ensuivre, provocant du même coup la disparition de tous les biens et habitants de Montréal. Selon les dernières études scientifiques, si rien n'est fait pour remédier à ce problème, l'île de Montréal pourrait bien sombrer vers 2015.

Parmi les solutions proposées, il y a la lutte contre l'obésité ainsi que la suspension de l'île à de gigantesques ballons d'hélium pour aider à supporter une partie du poids en excédant. D'autres solutions ont aussi été proposées comme la fermeture des ponts ou le péage à l'entrée des ponts pour alléger le porte-monnaie des banlieusards. Pas celui des habitants de Montréal car c'est connu, lorsque les Montréalais sortent de l'île, c'est pour aller voyager à l'extérieur du Québec et dépenser leur argent afin d'acheter des objets utilisant l'électricité ou le internet.

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