Panneau solaire
Le panneau solaire est une arme de destruction massive (du porte-monnaie). Le mot «solaire» vient en fait de la contraction de «sol-air», faisant directement référence aux missiles du même nom.
Historique
C'est dans les années 2000 que cette arme fut mise au point par Noër Mamelle et Nicolus Allô, pour lutter contre la pollution. En effet, lorsque les deux compères remarquèrent que les centrales nucléaires ne rejetaient pas un gramme de CO2 , ils durent se rendre à l'évidence: ils n'avaient plus d'ennemi. Ils cherchèrent en vain un ennemi sur lequel il n'avaient pas essayé de taper. C'est alors que leur vint l'idée de s'en prendre aux avions, contre lesquels des mesures radicalement radicales n'avaient encore jamais été prises. (En attendant, je suis la première personne au monde à réussir une allitération en «radical» ahaha!!) Ils créèrent donc le «problème avions».
Puis, ils entreprirent la construction de missile sol-air, mais n'ayant que peu d'argent (dû aux nombres d'adhésions au parti), ils durent se résoudre à abandonner cette idée[1].
Mais les deux hommes, téméraires, ne purent rester sur un échec[2]. Ils contactèrent donc un ami proche, Oussama Benne Lordure[3], qui leur suggéra une thèse pour mettre fin au «problème avions». L'idée jugée cette fois trop radicalement radicale fut très vite abandonnée[4]. Suite à cela, on raconte que Benne Lordure se serait lancé dans l'écologie.
Alors qu'ils n'avaient pas eu d'idées depuis plusieurs élections semaines, un matin ils virent de leurs yeux un accident de voitures dû à un manque flagrant de panneaux sur la route, hormis les panneaux publicitaires. Ils eurent alors une illumination: voler les panneaux routiers et en faire des armes anti-aériennes, faisant ainsi d'une pierre deux coups, en éradiquant les voitures et les avions. Et ainsi, enfin, ils réussirent.
Fonctionnement
Choix du canon
Le fonctionnement des panneaux sol-air ou panneaux solaires est très simple. C'est un panneau, avec le symbole choisi en fonction de l'action à effectuer, qu'on place dans un canon, et que l'on propulse en direction de l'avion le plus proche -à condition que celui ci soit en train[5] de voler.
Le choix du canon est à votre guise. Nos deux héros ne voulurent pas de canon à explosion[6].
Nos héros optèrent donc pour un canon fonctionnant à l’électricité (produite par la centrale à charbon voisine). Plus tard, il fut remplacé par le canon à air conprimé (aux victoires de la musique 2004 pour son chant mélodieux).
Choix du symbole
Une fois projeté devant l'avion (et non pas dans l'avion -parce qu'honnêtement pour détruire un avion avec un panneau faut le faire quand même, même à haute vitesse-),
le pilote doit respecter comme tout un chacun le symbole indiqué.
Par exemple, l'interdiction de doubler un autre avion, ralentir en cas de traversée d'animaux sauvages (pigeons, faucons, ULM...) ou encore un panneau Stop. Le panneau indiquant une déviation est cependant inusité[7].
Les panneaux les plus dangereux sont le Stop, qui conduit à couper tous les moteurs d'un seul coup, la zone 30, qui oblige le pilote à aller à une vitesse bien insuffisante pour voler, ou encore le feu de signalisation (inefficace cependant contre les Canadairs de signalisation).
Bien sûr le choix de certains panneaux peut paraître incongru.
En effet un panneau «ralentissez pensez à nos enfants» est assez surprenant en plein ciel, tout comme un panneau «attention chute de pierres». C'est pour cela qu'il est bien important de savoir choisir le bon symbole, au risque de passer pour un con[8].
Il faut toutefois veiller à ce que l'avion se trouve au dessus d'un centre de tri au moment des faits, pour pouvoir gérer directement (et durablement) les débris de l'avion. Les cadavres humains sont quant à eux biodégradables (mis à part les os, qui une fois recyclés, pourront servir de jouets pour vos enfants).
Anecdote
Allô et Mamelle s'essayèrent à tirer des radars dans le ciel, pour photographier les avions au delà des 90km/h faisant ainsi de magnifiques photographies aériennes, concurrençant directement leur ami et allié Jean Arthur-Bernard, qui se plaignit par la suite au commissariat de Bénouard-lès-Bains. Les deux protagonistes abandonnèrent donc l'idée des radars. Et le pire dans tout ça, c'est que les radars n'étaient pas polluants !! (puisque certifiés ISO 40110)
Fin des panneaux solaires
Par la suite, les aéroports mondiaux interdirent donc tout décollage pour ne plus avoir à faire à ces accidents aériens fréquents, bloquant ainsi de très nombreuses marchandises et passagers, créant de de ce fait une crise économique sans pareil. Les Etats durent quant à eux repayer la totalité des panneaux disparus, coûtant ainsi une fortune aux contribuables, et plongeant le monde dans la dette. Plus tard la police mit fin aux exactions des deux compères, tout de même responsable de la mort de milliers de personnes, d'une crise économique et financière mondiale, et de la décrédibilisation totale du mouvement écologiste.
Notes
- ↑ Officiellement, elle fut qualifiée par nos deux amis écologistes d' «initiative beaucoup trop polluante en raison des gaz émis par le missile et les déchets qu'engendreraient la destruction d'un avion». Des propos démentis par Interpol et par la Secte des Adorateurs des Croûtes de Comté.
- ↑ C'est d'ailleurs pourquoi ils continuent en politique depuis si longtemps.
- ↑ Car le tri des déchets c'est important
- ↑ En réalité, l'opération avait été jugée trop polluante.
- ↑ Un avion dans un train, pff, ce qu'il faut pas entendre...
- ↑ jugé trop polluant (hein que c'est chiant quand tout est jugé «trop polluant»?)
- ↑ Le détour d'un A380 pour rien étant jugé trop polluant
- ↑ jugé trop polluant mouarf mouarf mouarf
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