Phishing

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Véritable pratique ancestrale se rapprochant du hunt1ng, le phishing est une technique principalement utilisée par des h4ckerz qui aiment le poisson et certains fruits de mer tels que les écrevisses ou les tortues. On peut également citer les huîtres, ou encore les chattes, femelles du chat et cousines éloignées de la moule et du bigorneau. Pour la tortue il est difficile d'expliquer en quoi c'est un fruit de mer, on ne ne dénoncera personne sur cet article (la délation, c'est vraiment minable).

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Le saviez vous ? ...
Le phishing existe depuis la nuit des temps.

Le phishing est né au port de Lanviannard dans les années 60. Cependant, on ne sait pas de quel siècle ces années 60 sont issues (1760 ? 1860 ? 1960 ? etc. On n'en sait rien). Ce qui nous donne : « le phishing a été inventé en 60 (modulo 100) ». On suppose alors quand on écrit un article de Désencyclopédie que le phishing existe depuis la nuit des temps.

Il consiste le plus souvent en l'utilisation d'un filet (net/web en anglais) combinée à celle d'un appât. S'il parait fou de pêcher avec un filet et un appât en même temps, il ne l'est pas pour XXXX XXXXX, son inventeur dont le nom nous est inconnu mais qui est né en XXXX et qui aimait beaucoup les XXXXXX. L'appât utilisé ici est le plus souvent de forme rectangulaire (contrairement aux appâts en crochet ou en nez-de-Juifs) et se comporte exactement comme une page d'accueil ou de connexion d'un site célèbre et très fréquenté, style Pucine, ArdKorPédia ou encore Poney-Club de Désencyclopédie. Certains pêcheurs traditionnels ("de père en fils", pathologie héréditaire[1]) affirment que le phishing, « c'est pwn des n00bzor' ».

« C'est pwn des n00bzor', oui oui, je l'affirme. »

Principes généraux

Le débutant, ou n3wbie, s'en va à la pêche aux poissons les plus débiles (n00bs, lamerZ) avec une technique de suXxor : la canne à pêche (pages truquées de type Google, Facebook, Skyblog, etc.). Illustration des années 60 [mod. 100]

Pour le pêcheur, il est essentiel que sa proie soit un minimum enthousiaste à l'idée d'aller "surfer sur le web" (= "naviguer sur un réseau de pêche"). Il s'agit là de la base : sans envie d'aller dans le filet, il n'y a pas de phishing.

Si vous désirez devenir bon pêcheur, vous devrez réussir à faire aimer la "toile d'araignée" à vos proies. Habituez-les en leur proposant de manger des crottes de pseudo-scorpions pour commencer, puis vous les enfoncerez dans cette passion en leur faisant bouffer des glandes de mygales et des toiles en tout genre (Magritt, Picasso, etc.).

Le première étape est donc : le petit Kévin se scotche à son ordinateur. C'est un cas simple à réaliser avec suffisamment de patience et de ruban adhésif. Scotchez-le bien fort. Il ne doit pas s'échapper. Bon.

Ensuite, ce "lammerz" (petit poisson) devrait se mettre à naviguer de ses propres nageoires, parcourant les courants. C'est le principe du streaming. Une vidéo de cul gratuite en ligne, et Kévin est emporté par la folie internet. Continuez à bien le nourrir de toiles d'araignées, jusqu'à ce que ce petit crétin (= "menu frétin") tombe sur votre page de phishing. Le filet doit être difficilement visible. La page de phishing est en tout point ressemblante à une toile d'araignée normale. La seule différence, c'est que cette toile d'araignée n'est autre qu'un filet de pêche.

Pour le moment vous devriez avoir tout compris.

Kévin le lammerZ-n00b devrait normalement taper ses mots de passe, numéros de CB et cie. Là, M le hacker fait ce qu'il veut.

Histoire

Notes en bas de page

  1. La pêche est une pathologie


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