Préhistoire
La préhistoire est une période de l'humanité dans laquelle veulent nous ramener les écologistes. Littéralement, la préhistoire est la période se trouvant avant l'Histoire. Étant donné que cette dernière commence seulement au moment où l'homme a appris à écrire[1], on peut considérer qu'à notre époque, près de la moitié des humains vivent encore dans la préhistoire.
L'homme préhistorique présente des caractères similaires au notre. Il est plus bête[2], plus moche, et plus poilu. L'homme préhistorique vit dans des cavernes où il passe sa journée à baiser, tailler des silex et chanter des chansons paillardes. Des fois, quand il a faim, il va chasser le mammouth avec ses copains. Des fois, c'est le mammouth qui le chasse. L'homme des cavernes est toujours en manque de feu, car il a la flemme d'aller acheter des allumettes.
L'homme préhistorique : d'hier à aujourd'hui
Bien que les hommes préhistoriques n’aient rien écrit puisque, comme on l’a vu, la caractéristique principale de la préhistoire c’est qu’elle ne laisse aucune trace écrite, nous savons énormément de choses sur cette période de l’Humanité. En effet, l’observation du Baraki dans son milieu naturel permet en réalité d’observer les descendants directs de nos ancêtres.
En effet, sans que l’on s’en rende compte, la mode de vie préhistorique a évolué jusqu’à nos jours parallèlement aux technologies mais en gardant son essence première. La suite traitera des différentes facettes de notre vie que nous avons toujours en commun avec nos ancêtres.
La Femelle
Je commencerai par la préoccupation principale de l’homme : la femme, sans laquelle l’homme n’aurait pas eu envie de devenir belliqueux et ainsi de tuer son voisin.
Comme on le voit sur l’image, on a beau avoir inventé des tas de tenues excentriques et sexy, tout comme les hommes préhistoriques, nous restons attachés à la valeur simple mais fiable des fourrures.
Sport et loisirs
Le deuxième point que j’aborde est un point non moins important que le premier, sans lequel la vie des cavernes n’aurait pas été aussi distrayante. Ce point que nous avons toujours en commun avec le passé : le sport et les loisirs. En effet, la vie de nos ancêtres se passant spécialement dans la nature d’où leur bonne condition physique et l’invention d’une alternative à l’activité sexuelle et à la chasse pour se défouler et impressionner leurs congénères : le « Dipolocus » qui donnera plus tard le bien connu « polo ». L’idiot du village, ou plutôt de la grotte[3], ne parvenant jamais à prononcer correctement « Diplodocus », influença ses camarades et, peu à peu, le nom du pachyderme tomba aux oubliettes pour finalement être raccourci et ne plus garder que deux syllabes à l’époque qui est la nôtre.
Ensuite, comme je l’ai dit, la vie des nos poilus-pères se déroulant principalement en pleine nature, il était opportun de profiter des beaux jours afin de déserter les grottes sombres et humides au profit de petites huttes mobiles que chaque ménage possédait pour ses membres que ceux-ci installaient dans un endroit paisible pendant quelques jours. Ainsi naquit le « camping ». Cependant, contrairement à maintenant, les gens se déplaçaient par village entier pour partir en camping, car,[4] n’oublions pas que les prédateurs étaient nombreux en cette époque sauvage.
Le dernier divertissement dont je vais parler s’adresse surtout aux jeunes damoiseaux fichus de pagnes de marques et trop longs, de couvre-chefs en fourrure. Crise d’adolescence et période rebelle obligeant, le vandalisme n’est pas le fruit de notre génération mais une habitude aussi vieille que l’homme. Ainsi, qui de nous n’est jamais passé sous un pont sans observer les multiples tags et autres graffitis inscrits sur les piliers de ces sombres endroits ? Comme on le voit, la comparaison des deux images est frappante.
Voir aussi
Notes
Portayl de l'Histoyre |
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.