Ramón Mercader

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Chanteuse.png La nana aux cheveux rouges dit :
Page contenir aucun message subliminal... Da?


State Coat of Arms of the USSR (1958-1991 version).jpg
Stalinevers.JPG La quatrième internationale n'a pas survécu à cette page!



« Ramón, j'ai pas une bestiole dans le cou? »
~ Léon Trotsky à propos de ses chatouillements scapulaires
« Et bim! Un de plus que les boches n'auront pas ! »
~ Sacha Guitry à propos des actes de Ramón Mercader.
« Ben non, j'ai pas vu le meurtre ! »
~ Paul Binocle à propos de son appartenance aux témoins de Jéhovah.

Ramón Mercader, mieux connu sous le nom de Jaime Ramón Mercader de los del Río con Patrick Hernández, est un ancien tenancier du bar associatif "El Picahielo" situé à Coyoacán, un quartier Mexico.

Caméra espace.png Big Brother dit :
Tout va bien


L'enfance

Quand il est né, il était déjà énervé !
Question.png
Saviez-vous que...
ça pique les cervicales de se gratter le cou avec une tronçonneuse.

Le petit Ramón est né à l'age de deux ans ennemis et demi dans un chou (là où naissent tous les garçons), oui mais dans un chou provenant d'un Kolkhoze temporaire de Catalogne.

Il a ensuite été recueilli par un couple de parents divorcés Franco-espagnol. Son père était un alpiniste réputé qui fut le premier à gravir les glaciers de l’Himalaya avec des pics à glaces attachés à ses après-ski et sa mère était technicienne de surface spécialiste du "grand ménage" et du "nettoyage ciblé clefs-en-main".

Le divorce de ses parents a été un élément bouleversant pour le petit Ramón qui à vu en cela une marque d'individualisme exacerbé de la race humaine, c'est donc tout naturellement qu'il s'est rapproché vers l'âge de 5 ans du Parti Communiste.

« Da ! Il sera très bon conducteur de Katiouchka ! »
~ Joseph Staline à propos du petit Ramón .


Formation

Extrait du manuel du "Bon barman soviétique"
« On ne vous apprend rien à l'école ? Si vous y aviez été vous le sauriez ! »
~ Coluche à propos d'un adjudant alcoolique

Le rapprochement du PC du petit Ramón lui a valu en très peu de temps un ticket d'omnibus pour Vladivostok. Il a été inscrit d'office a un institut d'étude spécialisées. Il se fit rapidement repéré par ses instructeurs car il avait la fâcheuse manie de planter des crayons à papier bien taillés dans différentes parties du corps de ses petits camarades. Il a tout de même fini par décrocher son premier niveau d'étude en 1920.

Il a, par la suite, suivi une formation en hôtellerie au Lycée technique Alekseï Stakhanov de Leningrad avec pour spécialités "reconnaissance des clients outrageurs" et "préparation de cocktails à base de glace pilée". Il s'est d'ailleurs fait un peu oublier car, tel son père des années auparavant, il pouvait massacrer la glace en toute sérénité. Il fini premier de la promotion 1927 "Царь убийцы" (cherche toi même la traduction), et fut muté aux cuisines personnelles de Staline, qui n'était encore qu'un petit partisan, limite jésuite. Ramón put alors apprendre les petits trucs qui font qu'on devient un VRAI patron de bistrot. Il a appris un certain nombre de cocktails qui feront la renommée de sa guinguette mexicaine.

Rôle contesté durant la Guerre d'Espagne

Quel mauvais montage !
Bernard Blier : Il était dans les chars?
Francis Blanche : Non, dans la limonade!

Certaines mauvaises langues diront que Ramón a été envoyé en Espagne en 1937 pour tirer sur des soldats amis ce qui est totalement faux. En effet une lettre officielle écrite de la main de Staline, aujourd'hui égarée, proposait l'envoi de son cuisinier personnel pour soutenir les braves troupes qui se battait pour le triomphe du peuple. On pourra d’ailleurs aisément remarquer le grossier photomontage ci-contre réalisé par des opposants cryptotroskofascistes au grand stalinisme triomphant. On pourra confirmer, par un serment sur l'honneur de Me Gilbert Collard, que Ramón Mercader en aura fait bouffer pas mal durant la sanglante guerre. Cependant durant toute la durée du conflit et en particulier face a la percée fasciste dans le pays qu'il l'avait vu naître, il songea à se mettre à son compte et pencha vers le statut d'auto-entrepreneur qui, il faut le noter, représentait un certain nombre d'avantages fiscaux. Il choisit donc de s'implanter en zone franche dans un quartier huppé de Mexico pour monter ça petite affaire qui ne pouvait être autre qu'un bistrot.

L’installation à Mexico

Un charmant petit estaminet.
« Ya une ambiance de folie ici »
~ Sacha Guitry à propos de Dominique Farrugia dansant à poil sur de la Drum and Bass.
« La cuvette est pleine de bouillon ! »
~ Jean-Pierre Darroussin à propos de la clientèle du Picahielo.

Le bistrot, nommé El Picahielo, connu très vite un succès important car il était fréquenté par des personnalités célèbres, allant de Klaus Barbie à Michel Sardou en passant par Patrick Balkany, Casimir et le fameux Sacha Guitry. Ramón était de plus reconnu pour être un fin larron usant de plaisanteries de bon goût comme le "devine qui c'est derrière toi avec mon pic à glace"? La popularité de se petit café est également due à des soirées dansantes comme des Siberia Party qui consistaient à boire de l'eau glacée contenant une grande quantité de Laxatif pour faire " comme si on y était", des soirées "Gloire au Tsar" ou encore "1, 2, 3... Piolet" qui faisaient le bonheur des camarades Trotskystes !

« 50 kilos de patates, un sac de sciure de bois, il te sortait 25 litres de 3 étoiles à l’alambic ; un vrai magicien ! »
~ Francis Blanche à propos du Méxicain

L'influence hispanisante du tenancier se ressentait également par la proposition dans la carte du bar, en plus du Pepsi et de Zubrovska, des célèbres tapas soviétiques étaient proposées dont la recette est pour le moins originale : sur un pic en bakélite disposez entre deux tickets de pain, un cou de corbeau farci au chou bouilli agrémentée de sauce Léon et hop vous voici comblé par les tapas les plus hypes du moment! Alors pourquoi se priver? Il paraîtrait même que ces étonnants mets soit à l'origine du lien entre lui même et le grand et vénéré camarade Léon Trotsky qui passait des Vacances à Mexico entre deux critiques autobiographiques de ses propres supporters qu'il détestait ouvertement.

Comme il l'est visible ci dessus, des soirées karaoké étaient également organisés dans cette petite guinguette. La venue du groupe Gengis Khan et du très regretté Eddy la censure n'étaient pas sans rappeler les performances des Chœurs de l'Armée Rouge chantant MC Hammer pendant les opérations d'Afghanistan.

Le Drame

« Écoutez, laissez la police faire son travail, dès que j'aurai de plus amples informations croyez bien que vous en serez les premiers informés. »
~ Gérard Darmon à propos de l'accident.
« Écoutez, laissez la police faire son travail, dès que j'aurai de plus amples informations croyez bien que vous en serez les premiers informés. »
~ Gérard Darmon à propos de l'accident.
« Well listen, let the police do the job, be sure I'll give you answer as soon as possible okay ? »
~ Gérard Darmon à propos de l'accident.
«  Låt polisen göra sitt jobb, jag kommer att informera er så fort jag vet mera. »
~ Gérard Darmon à propos de l'accident.


Comme il l'a été mentionné précédemment dans ce glorieux et objectif article, le grand Léon Trotsky fréquentait avec amusement ce bistrot pour le moins réputé.Un jour ou le #grandpetitpèredespeuplesquiaratésavoiemaischutfautpaslediretropfort, commanda son dessert favori, un banana split avec des éclats de Knacki Ball et du caramel au Beurre de cacahuète sur la crème Chantilly. Ramón pendant la préparation de ce dessert phare, à malencontreusement laissé trainer par terre un demi millier de peaux de bananes, imbibées de cyanure, d'essence, de poudre de nitrocellulose, recouvrant des tapettes à souris, de clous rouillés, des baïonnettes de Kalachnikov, des obus de T34 malencontreusement oubliés, et une ogive nucléaire iranienne.

Pauvre Léon, après avoir effleuré d'un coin de talonnette, une peau de banane, il a glissé en direction du Grand Ramón qui pilait la glace pour la préparation d'un Cuba Libre pour un moustachu qui était de passage par hasard. Léon s'empala, alors, froidement sur le pic à glace. Prévenu dans les plus bref délais, les secours arrivés sur place au bout de 36 heures n'ont pas réussit à réanimer Léon. L'enquête de police, menée en co-tutelle par le Commissaire Maurice Biales et le ministre Wilhelm Zaisser conclut naturellement à la thèse du suicide.

AHAH
AHAH
AHAH
rires enregistrés AHAH
AHAH
AHAH



La retraite

« Ramón Mercader était un camarade! »
~ des militants de la JC de Neuilly-sur-Seine à propos d'Arlette Laguiller fustigeant sa 103 vogue en panne.

Après ce drame affreux, une cellule d'aide psychologique a été ouverte, pour permettre à l'innocent Ramón de recouvrer ses esprits. Le diagnostic initial mené par les psychologues cubains, ont mené à la conclusion suivante. Le patient était dans état proche de celui ci :


Pour revenir dans la glorieuse voie du bon sens commun, le patient devait faire, pour se remettre de ce choc, 15 ans de stage d’expression corporelle à La Havane ainsi que 18h d'écoute par jour du Leader Maximo prononçant un discours stadier mais pas moins objectif et pertinent sur la condition des fabricants de machines utiles à la récolte de betteraves sucrières. Peut être est-ce une pointe d'ironie mais, le très vénéré Ramón est mort des suites d'un accident vasculaire cérébral alors qu'il assistait à la remise du prix Isabelle Balkany de la transparence en politique, prix qui était remis sous contrôle d'huissier à Patrick Balkany. Pour un homme courageux à ce point, mourir en présence de tricheurs capitalistes... cela s'apparente à de la cocasserie!


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