Arlette Laguiller
Arlette Laguiller est une femme politique française, née le 18 mars 1940 dans une famille populaire. Contrairement aux petites filles de l'époque qui naissaient d'une rose quelconque, Arlette est issue d'un lilas rouge, signe d'un destin exceptionnel.
Sa formation politique
Arlette est une vraie butineuse affairée qui est allée à l'école des abeilles (insectes ouvriers bien connus pour leur sens du travail). Dans le malheur, elle sait qu'il ne faut pas pratiquer la politique de la fleur sèche. Et c'est pour ça que nous l'aimons.
Une « volonté de faire » dans un élégant retour
C'est actuellement celle qui a tenté le plus de fois sa chance à l'élection présidentielle. Malheureusement, elle n'a jamais été élue ni même n'a jamais dépassé les 5%. Le 22 Avril 2007, elle ne fait que 1% des voix. Après enquête, on se rend compte que les seules personnes à avoir voté pour elle sont son mari, son chien et elle-même.
Arlette, idole des jeunes postiers
Arlette est aussi connue pour avoir enregistré un disque sans chansons ni musique nommé "Travailleurs, travailleuses" en 1974, et le repasse depuis à chaque élection.
La misère noire et rouge
S'étant endettée à la suite de sa dernière campagne en 2007, elle se retrouve contrainte d'effectuer un appel aux donateurs afin de pouvoir rentrer dans ses frais.
(Surtout n'hésitez pas à la contacter, si ce n'est pas par amour du communisme, souvenez-vous que la diversité est une richesse et que heu... enfin, si, appelez-la, quoi... à titre de sauvegarde du patrimoine politique français, merci.)
Ses plus grands succès
Arlette Laguiller, qui grâce à son single hip-hop « on vous spolie » (anagramme classieux de « on s'poile »), passe régulièrement sur les plateaux de télé à l'heure des plateaux-repas, a décidé, après plus d'une vingtaine d'années, de se retirer de la vie politico-musicale, pour aller vivre sous une autre identité à l'étranger (certaines mauvaises languesIl n'y a pas de mauvaises langues, il n'y a que des filles frigides. parlent de Gssadt, ville suisse connue pour sa population immigrée française).
Une retraite active
Depuis Mai 68, elle était la Leader de la multinationale des grèves, LO (Lutte Ouvrière, mais d'après certaines sources, Lutte Obstinée) et dirigeait ce grand groupe, encore très actif parmi les plus de 75 ans, d'une main de fer en tant que grande patronne capitaliste (période pendant laquelle elle se lia d'amitié avec Mme Parisot, alors chef d'un mouvement ouvrier en Seine Saint-Denis). Depuis, touchée par la limite d'âge, elle s'est reconverti dans la soupe aux potirons. Grâce aux conseils judicieux de ses meilleures copines, elle a monté une grosse compagnie de vente de soupe à la criée, qui s'est avéré très populaire et lucrative.