Speedriding
Histoire de l'activité
Genèse
Tout le monde est conscient que le ski et le parapente sont deux activités vraiment très plaisantes. Un jour un gars s'est dit : "Il est stupide d'avoir deux sports amusants... C'est un peu comme avoir deux articles sur les bretons dans la Désencyclopédie, il vaudrait mieux les fusionner pour n'en avoir qu'un seul." Ce personnage inventa donc le skirapente, néologisme amusant mais possédant la contrainte notable d'être perçu comme totalement ridicule par Colin Jeanfoutre, parfait quidam aveyronnais que personne ne connait et dont tout le monde s'en fout, il fut donc rapidement renommé Speedriding pour attirer les adeptes qui étaient déja tentés par l'activité mais qui n'osaient pas la pratiquer par peur d'être raillés par leurs amis au sujet de la première dénomination. Évidemment les deux activités initiales ne disparurent jamais malgré le bandeau {{DEL}} qui leur fut collé.
Des débuts difficiles
La fusion de plusieurs sports n'est jamais une chose facile à mettre en œuvre et aboutit souvent à quelquechose de parfaitement ridicule, comme en témoignent le tennis-ballon (tennis+football)et le curling (pétanque+patinage). Le concepteur du speedriding décida donc de remplacer les skis par une voile de parapente et la voile par une paire de skis. Le résultat ressemblait fortement à des courses de sacs à patates dans deux mètres de neige poudreuse avec des planches qui viennent cogner la tête à chaque bond.
On décida par conséquent de conserver les skis aux pieds et la voile en l'air.
Le début de l'engouement
Un grand nombre de skieurs eurent le coup de foudre en voyant passer ces bolides sur leurs pistes et décidèrent d'essayer tout de suite ce nouveau sport. De plus en plus de ces fous volants se mirent à fleurter avec les pentes abruptes et à essayer de laisser des traces de skis dans la neige.
Une prise de conscience tardive sur un point de détail
Malheureusement personne ne se posa de questions sur la manière d'atterrir avec des skis aux pieds dans de l'herbe et les cadavres s'accumulèrent dans le fond de la vallée. Dans l'engouement général personne ne se demanda pourquoi les pratiquants ne remontaient jamais après leur premier essai. Et lorsqu'à la fonte des neiges les derniers malheureux qui n'avaient pas eu le temps d'essayer la pratique rentrèrent chez eux, leur surprise fut grande... mais ceci est une autre histoire.
Étymologie
Encore un mot composé de deux mots ?! C'est original ça !
- Nous avons donc en premier le mot speed qui désigne en langage standard international la vitesse. Pourquoi ne pas pas dire tout simplement vitesse-riding dans ce cas ? Eh bien tout simplement parceque parler anglais, ça fait plus futuriste... Personne n'a envie de pratiquer une activité démodée, n'est ce pas ? Il est à noter que ce stratagème ne fonctionne que dans le reste du monde car en Angleterre et aux Steïtse ça ne fait pas futuriste du tout de parler anglais...
- En deuxième nous avons le mot riding dérivé du mot français ride. En effet la vitesse du vent à pour effet de creuser plein de rides sur le visage du pratiquant.
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