Théorie de la démocratie quantique
La théorie de la démocratie quantique explique les dynamiques démocratiques à l'aide du formalisme de la physique quantique relativement peu relativiste.
Cette théorie n'est pas à confondre avec le Parti Démocrate Quantique, dont le programme est à la fois d'appliquer son programme et de ne pas l'appliquer, pour mettre tout le monde d'accord.
Genèse de la théorie
Cette théorie émane d'une thèse en physique très controversée. Intitulée "Mein Kampf", et écrite sous la supervision d'Erwin Schrödinger, elle reste cependant inaccessible au lecteur moyen car écrite en allemand et nécessitant un QI supérieur de bon Aryen pour la comprendre.
Cette thèse a pour objet principal l'écologie, notamment la préservation de la faune locale, l'extermination des espèces invasives et un projet écologiste de décroissance démographique radicale pour l'Europe.
Cependant, la partie sur la démocratie quantique est synthétisée dans l'article "über Kartoffeln kochen", A. Hitler, E. Schrödinger et al., 1926. Le lecteur avisé remarquera que c'est aussi écrit en Allemand, mais là, ça ne fait que 4 pages et il y a beaucoup d'images (pas comme dans cet article, accrochez vous).
La nana aux cheveux bleus dit : | |
La théorie c'est chiant, concrètement ça sert à quoi ? |
La motivation principale de cette étude était de développer la technologie du vote quantique. Le vote serait dans un état superposé jusqu'à ce qu'on ouvre l'enveloppe. Le résultat est ensuite déterminé aléatoirement entre "A. Hitler" et "A. Hitler mais j'avais voté pour quelqu'un d'autre". A ce jour, il n'existe pas de consensus parmi les historiens quant à l'utilisation de cette technique lors de sa prise de pouvoir.
Vulgarisation
La théorie repose sur une analogie parfaite entre la démocratie et les atomes. L'espace tridimensionnel est défini par les axes gauche/droite sur la politique économique, sociale et sur le montant des APL.
Dans un atome, les électrons (électeurs) orbitent autour du noyau (politiques), mais leur masse étant beaucoup plus faible que celle du noyau, les électeurs n'ont presque aucun poids dans les décisions politiques. Ce dernier point a inspiré des travaux récents ("감사합니다, 구글 번역", K. Jong-Un et al., 2015), où il est démontré qu'il n'existe aucune différence entre être élu à 105% des voix et ne pas tenir du tout d'élections. A part quelques économies, parce que ça coûte cher quand même les élections.
Comme expliqué dans l'article du Fonctionnaire de Schrödinger, les électrons sont dans un état dit superposé et définis par une onde d'amplitude d'opinion publique. C'est à dire qu'ils sont partout à la fois, et se foutent de la politique, jusqu'à ce qu'ils soient "mesurés" par un sondage ou un vote, au moment duquel ils prendront arbitrairement position.
Une fois "mesurés", les électrons camperont leur position et la défendront becs et ongles, notamment dans les bars PMU ou sur les réseaux sociaux comme Twitter :
Et si tout cela vous parait vulgaire, vous aviez été prévenu, ici c'est la section "Vulgarisation".
Les sections suivantes illustrent les principales prédictions de cette théorie.
Physique nucléaire
Le noyau atomique représente la classe politique et est constitué de deux types de particules : les protons et les neutrons.
Les protons représentent les cadres de parti politique, électriquement et donc idéologiquement chargés, alors que les neutrons sont des politiques purement carriéristes, neutres et d'accords avec tout le monde du moment que ça peut aboutir sur un poste bien payé.
Il arrive parfois que les partis politiques se fissurent, aboutissant à la création de deux entités distinctes. Des recherches préliminaires sur le sujet ont été réalisées dès les années 50, notamment grâce à des réacteurs à fission nucléaire. Les travaux de Malou et al. ont abouti à la conclusion que la fission des partis étaient généralement émettrices de petits noyaux, c'est à dire d'un ou deux protons idéologues et quelques neutrons opportunistes.
Propriétés électriques et magnétiques
Une propriété commune des atomes est qu'ils peuvent émettre ou absorber des électrons et s'ioniser. Nous pourrons distinguer les atomes d'extrême droite qui n'aiment pas recevoir de nouveaux électrons et veulent même virer certains électrons non assimilés, des atomes d'extrême gauche brandissant des bannières "Free electrons welcome" et accueillant le monde entier.
La confrontation entre ces ions est souvent électrique lors des débats télévisés.
Une autre propriété intéressante est la possibilité de polariser le spin des électrons grâce à un champ magnétique. Il a donc été théorisé qu'il était possible d'influencer les votes lors d'un référendum populaire par l'application d'un champ magnétique externe. A. Hitler pensait que l'Antarctique et le Groenland étaient peu peuplés parce que l'opinion des gens vivant près des pôles n'arrêtait pas de tourner comme l'aiguille d'une boussole et que faute de consensus, la société humaine ne pouvait pas s'y organiser.
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Mais pourtant, il y a bien des pingouins en Antarctique non ? |
Après l'échec des dictatures au XXème siècle, un nouveau champ de recherche visant à exploiter ces propriétés était né. En effet, les scientifiques pensaient que l'électeur moyen était trop bête pour voter et qu'il fallait donc trouver un moyen de contrôler l'opinion en laissant penser aux gens qu'ils étaient libres.
Certaines sources de la CIA affirmeraient que de tels dispositifs de contrôle de l'opinion publique auraient été utilisés par la Russie lors des élections américaines de 2016.
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