Poutine
Élément 78 (Pt) la poutine est une arme de destruction massive développée au Québec, par Mom Boucher[2] au temps de Maurice Duplessis. Elle est à ce jour enregistrée comme l'une des cinq plus grandes menaces émanant du continent nord-américain.
Historique
L’origine du vocable « poutine », agrégacation du moyen-haut latin flamboyant cogito ergo sum poum au montréalais tinetine (pain de sucre), atteste toute la complexité de l’univers poutinien.
Si les résidus médico-légistes permettent de dater sans équivoque l’apparition des premiers carbones 14 à 1952, la légende attribue à la poutine une origine bien plus ancienne : Philippe Le Bel aurait ainsi déclaré à la reine Falah que « Naples valait bien une poue-tinne » (à moins que ce ne soit sa sœur). Depuis, la légende perdure, malgré les nombreuses invraisemblances, et, dans les années 1950, le terme est associé à des expérimentations qui auront une répercussion inimaginable au Québec, tout particulièrement sur les prestigieuses rives du Lac Saint-Quétaine-Les-Chaudrons.
En 1952, le Québec, sous la gouvernance du despote sado-masochiste Maurice Duplessis, amorce un programme militaire clandestin. Deux bases secrètes de recherche sont alors construites à Drummondville et Warwick près de Victoriaville. Des scientifiques originaires du Japon sont envoyés au Québec en échange de leur blanchiment par rapport à des crimes de guerre commis en Mandchourie occidentale au début des années 1940. Ceux-ci se voient mandater de développer de nouvelles armes pouvant aider la province à conquérir l'Ouest canadien et le Nouveau-Brunswick. En 1956, les autorités annoncent l'aboutissement des recherches.
La poutine fut inventé à Warwick. (Dans un bunker secret).
La poutine fut proposé pour la première fois dans un menu de restaurant à Drummondville.
Composition
La poutine est composée de deux mélanges chimiques/bactériologiques[3] particuliers camouflés en repas sur un lit de pommes de terre taillées en divers format (différent d'une région à l'autre) et cuit dans l'huile bouillante. Contrairement à une idée reçue, la Poutine n'est pas améliorée par l'adjonction de truffes.
Le "Gravy"
Le "gravy" (ou, comme l'appellent les chimistes, la sauce brune) contient des bactéries à développement rapide qui attaquent les parois de l'estomac de celui qui l'ingère. Tout contact avec la peau est à haut risque. Plusieurs soupçonnent le "gravy" d'être fabriqué à partir d'acide nitrique et de merde de vache, mais les rumeurs ont été démenties par le Ministère de l'Analogie Rurale et des Déchets Étroniques (MARDE). L'on considère plutôt qu'il s'agirait là d'un habile mélange d'eau avec un nouvel élément à ajouter au tableau périodique, soit le Brunium (communément appelé Élément Brun, dont on attribue la découverte à une chèvre de Ste-Madeleine, nommée la Brunette).
Le "Fromage"
Le "fromage" existait déjà au moment de l'invention de la Poutine. Il était développé dans les usines de recherches chimique et nucléaire de Warwick et Kingsey Fall[4]. La composition exacte est encore inconnue, mais certains ingrédients qui entrent dans la fabrication ont été dévoilés, soit: du lait de vache, et du liquid paper. Mais la vraie poutine se juge par l'aptitude de son fromage à faire "couish-couish" lors de la mastication, ce qui reste un mystère pour nombre de chercheurs de haut vol.
Effets
L'objectif de la poutine est de créer un dysfonctionnement du corps humain. Les symptômes observés sont les suivants:
- Obésité : la victime devient grosse.
- Bourgeonnement de la face : Les éléments faciaux normaux se camouflent derrière une mare de pus ou champs de mines.
- Zozotement : La victime se met à parler comme un fif.
- Délires hallucinatoires : La victime croit avoir une vie sexuelle active et ne peut s'empêcher d'écœurer tout le monde avec ça.
- Perte de matière grise: Le cerveau de la victime se verra réduire de moitié et il perdra les notions primaires tels que le langage courtois (poli) et le respect des autres.
Au final, avant de décéder d'un AVC, d'une crise de foie ou d'une diarrhée Sic: diary; journal de bord du grand Khalischt, la victime se transforme en copie conforme de Martin Luth Zuberkraut et monologue le fil de sa vie pendant 6 décennies non-stop, tout en maintenant les lumières allumées pour donner l'impression de voir la sueur de sa peur briller.
L'affaire Kennedy
En 1963, John F. Kennedy, président des États-Unis, détient le secret de la poutine. Le Québec est en état de choc. Des agents militaires provinciaux sont envoyés au Texas. Lors d'une parade du président, les agents réussissent à assassiner Kennedy. Ils camouflent le meurtre en faisant accuser un robineux, Lee Harvey Oswald, qui traînait dans un immeuble pas loin de là.
Vladimir Poutine
Pur produit du KGB et des services de renseiGnement KéBécois (dont le nom n’a toujours pas été dévoilé), Vladimir Poutine promet une lutte sans merci au terrorisme à l’islamique (qui veut en découdre avec le mode de vie à la Québécoise) en échange de l’assistance du Québec dans la recherche fromagère.
On remarquera une différence de goût notable entre le Vladimir Poutine et la recette classique. Dont le bon goût de l'orge et d'avoine(Muslik) contenue dans la poutine .
Tromperie
Plusieurs personnes ont essayé par divers moyens de se faire passer pour l'inventeur de la Poutine. On peut penser à la ville de Victoriaville, Raël ou encore Chuck Norris.[5] Adolf Hitler essayant de s'approprier l'invention de la poutine en 1942. Heureusement personne n'a réussi et tout le monde sait que c'est à Warwick que la première poutine fut inventée.
Le III Reich a même essayé d'utiliser la Poutine dans une affiche de propagande nazie. L'affiche d'Adolf Hitler portant une Poutine sur son bras et affichant le texte -"J'aime la Poutine". Pendant l'Occupation allemande, les soldats Canadiens-Français ont importé l'idée de nourrir les membres de la résistance françaises avec une recette québécoise peu dispendieuse. La Gestapo aurait volé la Poutine aux Français lors de l'invasion de France. Heureusement cette publicité n'eut pas le succès escompté. Après la guerre, les soldats Canadiens, experts de la Poutine locale du Québec, qui avaient volé les rations de l'armée allemande, ont affirmé que le fromage n'était pas frais et que ce fut sûrement une cause de l'échec de la Poutine Allemande.
Le dernier souper
Jésus admirant une poutine lors de son dernier repas. Les apôtres sont étonnés de la Poutine sauce au Christ. Ce fut son dernier repas et il le dit excellent, le fromage faisait "couick-couick".[6]
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Notes et références
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