Théorie des strings
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Cet article n'est qu'une (d)ébauche à propos de la physique. Tout comme votre revenu après impôt, tout ce qui reste d'une idÉe grandiose est quelques miettes. On vous suggère de vous dÉbaucher.
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La Théorie des strings , Chat de Schrödinger est la meilleure des théories physiques à l'heure actuelle, la seule qui se focalise sur les choses intéressantes. On l'appelle en anglais "String theory", ce qui est stupidement traduit quelquefois "Théorie des cordes", alors que cette dernière est une théorie beaucoup plus ennuyeuse.
Selon cette théorie, tout dans l'univers est généré par les vibrations des strings. La physique confirme donc enfin que l'univers est gouverné par les fesses de femmes qui remuent. La théorie des strings prévoie un univers à 10 à 26 dimensions, y compris le septième ciel.
Alors que la physique quantique se pose des questions sans intérêt sur la supériorité de la force électrique sur la gravité, la théorie des strings démontre efficacement pourquoi les filles sexy en string sont une force attractive très supérieure à l'amour (une force attractive faible de l'univers).
La théorie des strings trouve son origine dans les travaux de Paul Dirac. Celui-ci, frustré sexuel notoire (il avouait n'avoir jamais approché une femme à moins d'un demi-mêtre), décida que la physique quantique serait quand même plus marrante avec une nouvelle notation: il inventa donc la notation bra-ket, dont on trouvera les pires élucubration sur Wikipédia: [1].
Comme le savent les signes savants gays, donc anglais, Bra signifie en anglais "Soutien-gorge", tandis que Ket ne veut tout simplement rien dire pour ceux qui n’ont pas vu qu’ils s’agit d’une demi-quéquette. Il apparu donc rapidement qu'il fallait trouver un meilleur complémentaire pour les soutiens-gorge. Ce furent les strings.
On avait découvert que la physique quantique devait vérifier trois symétrie fondamentales:
- La symétrie de charge, illustrée par la Règle de méchanceté quantique
- La symétrie de position, par rapport à un miroir
- La symétrie par rapport au temps
De plus, la quantification impose que tout objet n'a qu'un nombre limité de positions possibles.
On découvrit rapidement la position vérifiant ces trois symétrie: c'est le 69: en effet:
- Il vérifie la symétrie de charge, on peut remplacer les hommes par des femmes ou inversement, ça reste aussi cool
- Il vérifie la symétrie de position, on peut le pratiquer debout, couché, et vu dans un miroir c'est tout aussi intéressant
- Il vérifie la symétrie par rapport au temps, on peut inverser l'ordre des orgasmes, ça marche toujours.
Il apparut donc rapidement que le 69 est la position dans laquelle il est le plus agréable de retirer le string, et même le soutien-gorge.
L'équation fondamentale de la théorie des strings s'écrit donc en notation soutif-string:
La théorie des strings postule l'existence d'une taille minimale, la longueur de Planck, telle que rien de longueur inférieure à la longueur de Planck n'a de sens physique celui dont l'attribut viril a une longueur inférieure à la longueur de Planck ne satisfera aucune femme (voir Test de gros sexe). De même, on est un éjaculateur précoce si on vient en un délai plus court que la durée de Planck (un éjaculateur précoce est un homme qui éjacule rapidement des agendas des femmes).
La théorie des strings est la plus prometteuse pour la construction des ordinateurs quantiques, dont le fonctionnement repose sur les cul-bites (parfois écrits qubits). Le cul-bite permet la superposition du 1(symbole de l'attribut masculin) et du zéro (symbole de l'attribut féminin).
Rocco Siffredi est un des principaux amateurs de physique a qui le monde doit cette excellente théorie.
La théorie des strings permet aussi de calculer la fréquence d'oscillation à choisir pour obtenir:
- soit la plus grande profondeur de pénétration
- soit la fréquence de résonance, qui fait crier le plus fort lors de la prise de plaisir
| Bienvenu au pays du string qui dépasse du jeans | ||
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