Utilisateur:Monsieur Brouillon/Démocratie participative
La démocratie participative (voir: démocratie) est un concept vaguement flou, lancé dans le but de faire avaler au peuple la croyance qu'il participe à la construction d'un beau projet. Le principe est fondé sur la philosophie aléatoire qui stipule que si un million de singes tapent sur des machines à écrire, on finira éventuellement par en tirer l'oeuvre complète de Marcel Proust.
Sur ce principe, on élabore un projet, et on demande ensuite au peuple ses idées. Statistiquement, il y a une forte probabilité qu'une portion de la population propose des idées faisant déjà partie du projet. La phraséologie utilisée par la population à l'étude est alors incorporée au projet.
Historique
Le concept a vu le jour peu après l'invention de la démocratie par les romains, car il est bien évident que le concept même de la démocratie ne pouvait provenir que d'un empereur romain. L'organisation des plébiscites avait lieu au Circus Maximus, sorte d’Agora, où la personne ayant le droit de parole prenait place au centre de l’arène. Le concept est tombé dans l’oubli avec la chute de l’empire romain.
La démocratie participative a revu le jour au Moyen-Âge avec l’élargissement des pouvoirs de l’église catholique. À cette époque, le concept a malheureusement été abusé. En effet, la démocratie appliquée n’était pas tout à fait participative, mais plutôt représentative : le peuple était représenté par les évêques et cardinaux.
La démocratie réellement participative a revu le jour après la prise du pouvoir par les bolcheviques dans toutes les russies. L’instauration du régime communiste a eu pour effet de donner une voix à l’ensemble des citoyens soviétiques, en plus de donner une superbe taille aux russes.
De nos jours, les principaux pays appliquant la démocratie participative sont les États-Unis, sous la présidence de Bush, et la France, sous la présidence de Sarkozy.