Utilisateur:Monsieur Brouillon/Nanotechnologie
La nanotechnologie n'est pas vraiment la technologie des personnes de petite taille. « Quoique... » comme disait Raymond Devos.
Cette nouvelle maladie mentale à la mode fait des ravages dans de nombreux domaines.
En technologie technique
L'époque macro
Avant, aux débuts de l'informatique, on pouvait chasser les bugs à l'aide d'une simple loupe. Quand ils n'étaient pas collés contre les lampes des ordinateurs fonctionnant au pétrole, on arrivait à en dénicher dans les programmes rédigés en macro-assembleur. C'étaient de gros bugs, bien visibles, qui plantaient tout.
Les ordinateurs étaient des macro-ordinateurs qui étaient étudiés pour. On les retrouvait facilement quand on ne savait plus où ils étaient après avoir été pisser et boire un coup, ou le contraire.
Celui qui confondait un ordinateur avec une calculette ou un téléphone était mis en congé pour se faire soigner.
Les programmeurs mettaient des commentaires utiles dans leur texte source (voir le document 1 ci-contre) et tout le monde était content.
L'époque micro
Puis on inventa le microscope pour étudier de plus près le micro-ordinateur.
On voit sur le document 2 que les premiers micro-ordinateurs nécessitaient d'énormes microscopes pour aider les microcéphales qui les programmaient à faire un programme qui serve à quelque chose.
Les microcéphales les plus célèbres se nomment Bill Gates et Untel qui se planquait déjà derrière un pseudonyme. Les individus qui pratiquaient la micro-informatique étaient souvent surpris à faire le pitre debout sur les tables.
Leur état permanent d'ébriété a provoqué la prolifération des logiciels mille-feuilles qui font qu'un système d'exploitation n'est exploitable qu'avec un nombre croissant de machines virtuelles posées dessus.
Exemple : BIOS+DOS+Windows+machine Java+Wiki+HTML+Destrucscachés+Internet+..., juste pour écrire « Hello, World ! »
Ca ne se plante jamais car on recoit toujours des messages publicitaires qui écrivent plein de « Hello, World ! Enlarge your penis ».
Mais on se doute bien que les prochains progrès, à ce tarif là, risquaient de s'avérer coûteux. Remplacer la manivelle du dernier perfectionnement du micro-ordinateur tout-terrrain par un moteur électrique alimenté par une éolienne, demande de lourds développements.
L'époque nano
Ça ne pouvait plus durer. L'industrie manufacturière, après avoir dans un premier temps délocalisé sa production dans les pays où la main-d'œuvre est presque gratuite, a décidé de frapper un grand coup.
La nanotechnologie c'est tellement petit qu'on en a honte. Petit dans le sens de mesquin. Il s'agirait, d'après les savants [1] qui parlent à la télé, d'implanter directement des puces dans les ovules et les spermatozoïdes.
L'avantage c'est que c'est facile à transporter, ça se développe sans l'aide de machines-outils, pas besoin de main d'œuvre, pas besoin d'énergie et les produits sont recyclables.
C'est quand même super, a priori, la nanotechnologie, on économise du pétrole. Mais il y a un truc qui peut déranger les plus intelligents.
Un nanoscope, c'est quoi ? C'est simple :
- la loupe, c'est facile à comprendre, voir l'article,
- le microscope, c'est facile aussi, c'est plusieurs loupes, voir l'article,
- le nanoscope, c'est une entourloupe en fait, car ça fonctionne comme un endoscope de gastroentérologue, mais ça porte un autre nom et ça fait mal.
C'est simple, aussi il n'est pas utile de faire un dessin. Et en plus, le nano-ordinateur existe déjà depuis longtemps, tout bénef : c'est l'Homme.
Voir aussi, ailleurs, dans les technologies avancées
- nanobiologie
- nanohistoire
- nanogéographie
- nanoécologie
- nanosociologie
- nanomathématiques (presqu'une science, du coup !)
- nanopataphysique
Notes et références
- ↑ dont il vaut mieux ne pas citer les noms ni leurs bouquins