Beignet
Aujourd'hui, nous allons traiter de cet artefact mystérieux et ô combien appétissant et plein de bonnes choses.
Le beignet permet donc de s'amuser à faire un jeu des sept erreurs (ou plus) si l'on s'ennuie vraiment, ceci prouvant donc sa supériorité face aux jumeaux.
Le beignet permet aussi de se sortir de situations critiques : Hitler, qui n'avait plus que des pruneaux dans son bunker [1] lorsque les gros et les ivrognes dont le rouge du nez s'était étendu jusque sur les habits[2] sont venus le prendre en sandwich, se saoula pour oublier sa défaite et la lâcheté des autres qui l'attaquaient à deux, tomba à la renverse, et s'en logea un dans le crâne, alors qu'un beignet l'aurait épargné et laissé aux bienveillantes mains de ses vainqueurs qui auraient beaucoup mieux su quoi faire de lui.
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Mr.T dit : |
| « dans un esprit d'égalité des sexes, il ne faut pas non plus négliger l'étude de la femelle du beignet, et allez voir mon film[3] si vous n'êtes pas contents, vous aurez un peu de conduite au moins. » |
C'est juste, cher ami. Penchons-nous dès à présent sur le cas de la femelle beignet, et là, préparez-vous à en prendre plein la gueule. La femelle beignet, communément appelée la beigne, à l'instar des animaux sauvages, ne sort que lorsqu'un vague sentiment d'énervement paroxystique plane dans l'air. Ou pour moins que ça. Après tout, c'est un mot de genre féminin. Alors que le mâle n'a pour seul but dans l'existence de se faire dévorer[4], la beigne venge l'honneur de l'espèce en, n'ayons pas peur des mots, imprimant carrément sa marque là où elle frappe[5].
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Mademoiselle Agnès s'écrie : |
| « et comment ils se reproduisent ceux-là ? » |
J'y venais, j'y venais. Il s'avère que, contrairement à l'humain, le beignet et la beigne se reproduisent de façon violente, tout comme les microbes. Bien que l'on dise parfois d'un beignet qu'il est bien fourré ou d'un beigne qu'elle est placée là où il faut, il ne faut pas s'y tromper, ces gens-là ne sont pas comme nous. Un schéma explicatif vaudra mieux qu'un long discours pour expliquer tout ça.
C'est donc le moment de faire des maths, afin de comprendre ce mécanisme complexe. Nous appellerons B le beignet, B' la beigne, et M les miettes, nom des descendants du couple. Plus f (force de B') est importante, plus Ve (vitesse d'écrasement de B) sera élevé. Il faut aussi tenir compte du coefficient de dureté d du milieu où a lieu la fornication, mais après ça devient trop compliqué[6]. Bref, plus B' marave la face de B, plus il y a de M.
Il paraîtrait que quelqu'un a réussi à adapter ce système aux humains, mais cela semble souffrir de quelques inconvénients.
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En France et dans toute l'Europe le 5 Juin et le jour national du beignet
- ↑ Comme quoi c'était un tendre quand même, ce brave homme.
- ↑ Et je ne parle pas de ça. Les communistes ont quand même un minimum d'humanité, s'il vous plaît.
- ↑ intitulé Be Somebody... or Be Somebody's fool si cela vous intéresse.
- ↑ Ou de moisir si il est vraiment mal fichu
- ↑ joue, postérieur, oreille, parties génitales... rayez la mention inutile.
- ↑ et j'ai personnellement autre chose à faire que d'expliquer comment se passent les gâteries.
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