Cloud (informatique)
When God closes a Gates' bank account, He opens a Windows' new version.
Je trouve que la traduction française de ma blague pourrie en anglais est nulle, alors je la laisse comme ça. Ceux qui ne maîtrisent pas l'anglais, allez vous faire former bien profond à cette belle langue, ça va vous enrichir jusqu'au Coude, lol Cloud, c'est une blague.
Le Cloud c'est super, le Cloud c'est génial. Tu connais pas encore le Cloud ? Ce n'est pas grave, cet article est fait pour toi, toi qui vis de toute évidence dans une grotte sur la lune d'une autre dimension où les Humains n'existent pas, à part peut-être des péquenots.
Tu crois connaitre le Cloud ? Alors cet article est fait pour toi aussi, jeune néo-sataniste, car il va t'en dévoiler plein le visage des vérités sur ton idole informatique, le Cloud. Par exemple, saviez-tu que Cloud, ça veut dire Je t'aime en lituanien ? C'est mon ami Google Traductionner qui me l'a dit. Eh ben voilà, maintenant tu sais. Et j'en ai plein d'autres comme ça dans mon chapeau melon et dans mes bottes de cuir et dans mon plug anal en latex.
Le Cloud, une introduction qu'elle est belle
Il y a 10 ans, un ami me disait : « Tu verras, dans 10 ans, le Cloud sera partout. », et il avait raison. 10 ans plus tard, le Cloud est partout, bravo à mon ami, il en a de la chance d'avoir un ami comme moi qui l'inspire tant.
Cet ami, appelons-le Joseph Staline, aimait se balader dans les champs fleuris de la campagne tout autour. Il reniflait à même le sol pour sentir l'odeur de la terre et des pétasses de roses. Sales pétasses de merde. Alors, Joseph Staline décida de brûler la totalité des pétasses de roses du monde, tout en consultant ses mails et en gérant son calendrier, le Cloud était né. Sauf qu'à l'époque, il avait appelé ça « le Glaude », en référence au film La soupe aux choux, qu'il adorait.
Le Cloud, une vie comme sur un nuage
Avec le Glaude, mon ami Joseph Staline pouvait à présent brûler les pétasses de roses sans cesser de solliciter ses assistants, que ce soit par mail ou par le calendrier. Mais ce n'était pas suffisant, alors il se laissa pousser la moustache, et regarda vers le ciel...
Quelques jours plus tard...
Le Cloud, un interface auto-évolutive et bucolique
Mais mon ami, Joseph Staline, n'avait pas dit son dernier mot. Il décida alors de transférer sa conscience dans son ordinateur afin de s'intégrer au Glaude, qu'il appela le Cloud. Jusque là, rien de surprenant, mais ce qu'il y a d'étonnant, c'est ce qu'il décida de faire avec ses nouvelles capacités électroniques...
Oups !!! | |
Bon, je viens de chercher une image du Cloud, et il semblerait que ça n'ait aucun rapport avec ce que j'ai dit avant, c'est plutôt un système pour atteindre ses fichiers depuis n'importe quel appareil (le côté mail/agenda/musique n'a rien à voir en fait), donc on va dire que c'est ça que j'ai dit avant... |
Jusque là, rien de surprenant, donc, mais ce qu'il y a d'étonnant, c'est ce qu'il décida de faire avec ses nouvelles capacités électroniques...
Le Cloud, un avenir qui fait la promesse d'être prometteur
Ainsi vogue Joseph Staline dans nos ordinateurs. Par exemple, en écrivant cet article, mon ami Joseph Staline me lit depuis Dropbox, Google Drive, One drive, e cætera (je vais y revenir). Oui, moi j'ai mis mon dossier dropbox dans celui de google drive, lui même dans mon one drive, comme ça j'ai une sorte de Méta-Cloud3, c'est vachement utile... par exemple pour... le truc là, avec l'autre machin... ben là c'est génial. Et puis, pour mon ami Joseph Staline, c'est comme s'il prenait méta-conscience de sa méta-conscience, ça lui fait découvrir un autre monde, ou la lune serait blonde, à qui il demanderait, mais elle s'est moqué de lui, alors il a demandé un autre oiseau moqueur, mais son père lui a promis une bague en diamant, ce qui est étrange.
Je disais quoi moi déjà ? Ah oui ! E cætera ! C'est dingue qu'on écrive etc., pour et cætera, alors qu'en latin, la conjonction et se décline en fonction de la première lettre du mot le suivant, si c'est une voyelle, il reste et, mais si c'est une consonne, il devient e, donc : « E cætera », et « ec. », pas « etc. » C'est pourtant pas compliqué de bien faire les choses, non ? Mon père disait toujours : « Il ne faut jamais manquer une occasion de jouer du haut-bois sur un arc du Pérou bucolique », comme je le comprends maintenant.
Ainsi vogue Joseph Staline dans nos ordinateurs, disais-je donc.
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.
Portail de l'Informatique • Portail du Portnawak |