Einstein avait raison et ça change tout : les ondes gravitationnelles existent
De notre envoyé spécial χλςmith ΤrismégistΞ ⇒ - le 12 février 2016
Mais que se passait-il avant ?
Avant cela, les ondes gravitationnelles existaient déjà, bien sûr, mais personne n’en savait rien. Depuis les assertions laissées par Albert Einstein sur un coin de table avant de mourir – ce même coin de table où il avait ce même repas du midi résolu la conjecture de Poincaré, mais où la serveuse avait renversé du café dessus, certains scientifiques avaient bien imaginé que cela était possible...mais sans jamais réussir à le prouver. Comme le fait que le sandwich de notre dÉracteur en chef disparaît régulièrement du réfrigérateur commun, la gravitation devait bien, pourtant, avoir une explication.
Si la gêne était très limitée du côté du grand public, le monde scientifique lui, frissonnait devant cette porte close derrière laquelle se cachait un océan insondable. Poètes, Marie-Jeanne Furoncle et Pierre-Maxence Broutard, deux jeunes chercheurs plein d’avenir, ne pouvaient se résoudre à cette incomplétude dans le domaine de la collision entre deux trous noirs ayant fusionné il y a environ 1,3 milliard d’années (une matière très en vogue) et en avaient fait le sujet principal de leurs études et de leur vie.
Pour la toute petite histoire et par commodité, ils ont annoncé qu’il se marieraient probablement (« =1 ») ensemble, d’ailleurs.
Les ignorants étaient bénis
Comme l’explique leur directeur de thèse le professeur Yolo, c’est une belle revanche pour ces scientifiques qui ont gardé la foi jusqu’à aujourd’hui, sans tomber dans la folie que pouvait provoquer de telles incertitudes. « Les ignorants étaient bénis, scientifiquement parlant j’entends », ajoute-t-il, du moins jusqu’à aujourd’hui. Car aujourd’hui, le professeur Yolo se moque bien d’eux.
« Être la cible de tous les quolibets et de toutes les railleries à la cantine du CNRS, ça ne pouvait durer qu’un temps. Un temps qui semblait se dilater et devenir palpable au voisinage de Gérard, l’informaticien du bâtiment 4, pour qui nous n’étions qu’une bande de rêveurs sans avenir. Mais il rit moins, maintenant que c’est de nous que les gens parlent à la machine à café, et plus de sa luxueuse BX break toutes options. »
Nous n’avons pas le temps de le complimenter que l’homme de sciences est déjà reparti dans ses explications alambiquées, en grand génie qu’il est, doté de cette abstraction mystique qui fait espérer avoir raison un jour, quand tout nous dit que l’on a tort et que cela ne servira à rien de toute façon.
Gageons le fait que cette immense nouvelle, qui bouleverse encore le monde à l’heure où sortent ces lignes, devraient dans les cent prochaines années ouvrir la voie à de nouvelles découvertes encore plus cachées.
Portail des Informations |
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.