Honni soit François le mal-aimé
De notre envoyé spécial χλςmith ΤrismégistΞ ⇒ - le 27 janvier 2014
Brave gens, gentes dames, damoiseaux et oiseaux de malheur, l'heure est grave !
Gravons en nos méninges, ingénieux polissons, Son incroyable échec ! Chez qui se cachera-t-il, a-t-il encore une chance ? Ensemble, semblons croire en Hollande.
L'enduit casse enfin, fin de partie, participants rendez les copies : « pire Président de tous temps ? » Tentons de comprendre cette manie.
Cette manifestation de dimanche, enchères de slogans ensoleillés, y est pour beaucoup. Au couperet de ses condamnations, damnation et impopularité abyssale, salement s'ajoute cet état de fait : défaite. Fête à droite, ouate à gauche, hochet pour les extrêmes, aimer son président est si dangereux que ça n'est pour personne. Sonnons l'alarme, la larme à l’œil, l’œillade lancée par 60 millions de Français c'est « À mort François, sois empalé jusqu'à la Corrèze ». Résumer les banderoles et les chansons des relais reléguerait la dÉsencyclopédie directement en Division Closer.
Aux heures sombres de notre histoire, où arrivent à grands pas les plus grandes menaces, assenons donc le coup de grâce à ce conducteur d'ambulance en sursis ! Simulons de croire encore que Président sert encore à quelque chose, chose plus qu'improbable, probablement mentir en tirant des journalistes – liste à peaufiner – n'étant pas marque de confiance. Fiancé en mai, emmerdé ensuite, suite classique pour un couple normal. Or mal lui en prend, renversement de vapeur, apeuré par sa tâche de président si dantesque !
Est-ce que quelqu'un peut lui jeter des petits gâteaux la pierre ? Hier, il était encore un petit élu. Et lui qui n'avait jamais navigué, gaiement fut propulsé à la tête du pays.
Et il s'en sort mal, d'accord. Or qui voudrait être lui à ce moment là ? A priori tout le monde.
On dit que ce dimanche ils étaient tous là.